Overview
Je suis le premier surpris, mais je prends goût à un jeu que j’ai fortement décrié lorsque je l’ai rencontré à sa première mouture.Certes, malgré les dernières MaJ, il garde des défauts, dysfonctionnements et affiche une bibliothèque de craft des plus délirante, mais il permet néanmoins des activités des plus variées : culture, minage, découverte de donjons, exploration d’un vaste territoire aux biomes variés,sylviculture, construction bien entendu, chasse, craft divers, dont vêtements, armures et armes, mobilier et coffres, éclairage, etc.C’est ce qui fait qu’on y prend goût…Le jeu étant en anglais et pas de guide francophone un tant soit peu consistant n’étant au menu, j’entame donc aujourd’hui mon second « guide », le premier ayant concerné The Long Dark.
D’abord la préparation…
Bien préparer son jeu…
Avant d’y entrer, faites attention aux différents onglets de création de votre nouveau monde, car vous ne pourrez plus changer certaines options une fois qu’il sera lancé.
1. Le menu de création d’un monde et les menus/onglets de configuration :
Dans ce menu – à ne pas négliger – vous pouvez générer un monde selon vos souhaits, y compris (voir illustration), les animaux que vous pourrez y rencontrer…
Dans mon premier jeu, novice et ne sachant pas que je pouvais me mettre en mode « pacifique » (accessible une fois le jeu lancé), j’en avais exclu des animaux pouvant se révéler dangereux – comme l’ours – en décochant certaines cases.
Malheureusement, je n’ai pu les inclure par la suite, ce menu de création du monde n’étant plus accessible.
Donc, un conseil : Laissez tous les animaux présents dans le jeu et optez plutôt pour l’option pacifique, ce qui ne vous empêchera nullement de chasser et de crafter votre descente de lit en peau d’ours – ce qui « en jette » quand même…
Outre l’option “Peaceful mode”, d’autres options utiles, dont “Keep inventory”, qui vous permet de conserver votre inventaire en cas de mort, et la touche ESCAPE, qui met le jeu en pause…
Attention aussi pour les usagers francophones Azerty, à la fonction “Drop item” est associée la touche “A”, voisine du “Z”, que vous attribuerez bien sûr à la fonction “Avancer”…
Combien de fois m’est-il arrivé de pester d’avoir envoyé dinguer mon arme ou mon outil dans les herbes, rien que par le fait d’effleurer celle-ci par mégarde… Combien en ai-je perdu de la sorte ?
Alors, un autre conseil – Faites comme moi : Associez cette fonction “Drop item” à une touche distante des touches de mouvement – “Delete”, par exemple…
Premiers pas… Votre premier campement et son contexte
Comme dans tout jeu du genre, vous allez commencer avec votre basique hache de pierre…
Ne vous en faites pas : contrairement à certains jeux, elle est solide et, avant de la remplacer, vous aurez fort probablement crafté d’autres outils bien plus performants et adaptés aux différents besoins…
N’oubliez pas de mettre en bonne position vos items les plus utiles, dont cette hache, dans les cinq cases de votre menu d’actions rapides (Vous aurez bien entendu coché l’option “menu rapide” dans l’onglet ad-hoc – oublié de le signaler, ça… Mais je crois que c’est coché par défaut).
Accès aux différrents items : 1/2/3/4/5 – Vous l’auriez deviné…
Dans un premier temps, elle va donc vous servir aussi bien à abattre un arbre qu’à miner vos premiers cailloux et minerais de surface qu’à trucider votre premier gibier – pourvu que vous couriez assez vite (Shift+”Z” – puisque vous avez reprogrammé votre clavier) ou l’ayez coincé dans un coin, ce qui n’est pas une tactique à négliger…
Attention ! Vous remarquerez que la souche reste au sol. Pour débiter le reste, toujours prendre le tronc dans ce sens, avec un certain recul… Si, puisqu’il s’agit d’un bouleau, cela n’a pas beaucoup d’importance, sinon pour la sylviculture plus ♥♥♥♥ sur le même principe, cela pourrait en avoir dès à présent, puisqu’il vous serait déjà possible d’envisager un verger d’arbres fruitiers proche, c’est-à-dire une source de nourriture régulière à portée… et de quoi vous constituer des réserves faciles à accumuler en attendant de vous aménager un petit jardin, dont nous reparlerons par la suite, un autre outil, plus évolué – la faucille -, l’exigeant…
Mais reprenons l’explication par le visuel :
Tout au bout de ce tronc débité en x bûches (eh oui, selon le type d’arbre, le nombre de bûches varie… les cônifères et cyprès étant les plus prolixes, les fruitiers les moins), vous trouverez, ce qu’ils nomment en anglais, des “saplings” – des ramures ou boutures -, en nombre de 1 à 3, qui vont vous servir à vous constituer ce verger…
Grosse difficulté : repérer ces “saplings” dans l’herbe, d’où cette orientation et cette vue à distance, de facon à pouvoir évaluer le mieux possible, toutes les bûches tombant d’une traite, où se trouverait la dernière bûche, celle de tête, et le(s) “sapling(s)” proches…
Pour les arbres fruitiers, pensez à cueillir les fruits (touche d’interaction – “F” en mon cas -, sur le tronc), avant d’abattre l’arbre, sans quoi ils seront perdus.
Après cette petite parenthèse, qui pourrait donner ses fruits (hé hé), reprenons donc où nous en étions…
Rien que pour vous, j’ai lancé une nouvelle partie afin de reprendre les bases, de pouvoir commenter au fur et à mesure et de vous conseiller sur la façon d’évoluer le plus rapidement…
Malheureusement, je suis tombé dans une région et un biome, qui, si on peut y trouver citronniers et piments (chilis) absents d’autres territitoires, n’offre guère de points d’eau – sinon à proximité des montagnes – ni de cabanes abandonnées…
– Quelle importance ?
L’eau, ça me paraît évident, même si certains fruits – et surtout, ce qu’ils appellent en anglais le “melon d’eau” (watermelon) et que je nommerai “pastèque”, mais également rares en cette région – peuvent y pallier ou constituer une excellent complément aux besoins en eau et en moindre mesure en nourriture.
Les cabanes abandonnées, quant à elles, recèlent généralement, outre des armoires déglinguées, des tables brisées, de vieilles chaises toujours solides et des pianos envahis par le lierre, au charme certain, qu’on peut emporter tous deux par “Shift”+”F” (ou touche d’interaction : je vais pas le répéter chaque fois), un coffre en bois (qu’on peut également emporter une fois vide, un contenant ne pouvant être emporté que vidé – il faut le savoir -).
Et bien sûr, ce coffre n’est pas vide…
Que peut-on y trouver le plus souvent ?
…une gourde en peau, des vêtements, un outil, un ou deux cuirs tannés, des bâtons de dynamite, une boussole, une vieille montre, etc. – surprise ! – mais aussi et souvent …une carte, ce qui nous manque dans ce cas cruellement : Comment retrouver mon campement ?
Aussi, dans un premier temps, ne vous en éloignez pas trop, éclairez-le de torches placées en hauteur, que vous pouvez aisément fabriquer dès à présent (menu ressources : des bûches ou “logs” donnent 4 “lembs” – utiles, surtout pour la fabrication de meubles -, qui, eux-mêmes, donnent chacun quatre “sticks”, qui, à leur tour, peuvent donner chacun deux porte-torche en bois ou une torche.
Donc, cette carte, il faut soit nous donner les moyens de la fabriquer – ce qui va prendre du temps -; soit, changer de région pour la trouver…
Quel intérêt à disposer d’une carte ?
D’abord parce que ce monde est immense et que vous ne pourrez vous passer de cette carte, qui affiche – en haut, à droite – des coordonnées doubles en + et -.
Je vous en donnerai l’illustration dès que nous l’aurons trouvée…
Pour retrouver un lieu, vous traitez en priorité, selon les obstacles (mer, montagne), l’une ou l’autre de ces coordonnées… Vous comprendez plus ou moins vite : c’est comme une latitude et une longitude.
Malheureusement, elle ne renseigne pas la profondeur, ce qui serait utile dans le cas du minage en sous-sol, mais nous en sommes bien loin encore…
Après avoir effectué les premiers aménagements de votre base – si l’emplacement vous convient et que vous la voulez définitive -, vous allez donc partir en exploration… Mais pas plus loin que les régions limitrophes !
Vous vous en apercevrez aisément : les biomes changent.
Et dès que vous aurez trouvé une cabane avec cette foutue carte… Retour !
Nous aurions pu aussi choisir de voyager d’abord en emportant notre petit bagage….
Que mon choix ne soit pas des plus facile n’est pas plus mal dans le sens où nous en apprendrons d’autant mieux les “ficelles” de Rising World.
Nous avons abordé le bûcheronnage, le bois étant une ressource incontournable…
Nous allons donc partir maintenant sur ce scénario et nous consacrer en préliminaires aux premiers aménagements de cette base, avant de la quitter momentanément pour l’aventure et – espérons-le – y revenir bientôt…
Mais dès que nous aurons quelques lingots de fer et fabriqué une enclume, nous pourrons crafter montre et même boussole… – C’est déjà ça… –
Une autre option serait de se donner les moyens de crafter tissu (“cloth”), seau à eau, et la très encombrante presse à papier, mais un peu d’aventure, que diable… !
Petites astuces pour débutants :
– certaines cavernes offrent une entrée accessible et un espace plus ou moins horizontal;
– voisines d’un point d’eau, elles offrent deux avantage supplémentaires : l’eau et la possibilité de pêcher : il faut peu de choses pour fabriquer une canne à pêche…
– à proximité de montagnes, vous trouvez souvent des “cirques” plus ou moins cachés, facilement accessibles; ceux-ci recèlent souvent, outre charbon et minerais sur leurs parois, des arbres, dont des fruitiers et nombre de ressources telles que le coton ou des melons d’eau douce, que vous pourrez cultiver…
– Proche d’une zone de peupliers, vbus trouverez des mules à proximité, donc la monture idéale (2 onglets = 94 emplacements dans les fontes)…
Si ces conditions sont remplies, c’est le bon emplacement et un excellent abri pour débuter ! Ne visez pas directement une habitation : Equipez vous d’abord pour survivre, chasser, vous vêtir et ensuite voyager, explorer et trouver l’endroit qui vous convient…
En outre, c’est bien plus amusant…
Ce qu’il faut savoir et ce dont il faut disposer avant de vous établir…
Dans ce chapitre déjà et dans le suivant, nous allons aborder dans l’ordre de leur importance dans votre évolution les principales “stations de travail” et leur impact dans les bases de votre implantation…
En d’autres termes, nous n’en serons pas encore à parler murs, portes, fenêtres et toitures…
Chaque chose en son temps !
Mais d’abord, il faut s’y préparer
Nous aurons déjà assez à faire, ne serait-ce que pour délester votre inventaire – Vous vous apercevrez vite de ses limites -, constituer des provisions de nourriture, de bois, de pierre, de fer, de charbon et vous munir d’outils plus adaptés…
Trois choses s’imposent pour l’établissement de votre campement, puisque c’est aussi un jeu de survie :
– la proximité d’un point d’eau;
– les opportunités d’approvisionnement en nourriture;
– la proximité de minerais, combustibles (bois, voire idéalement charbon -) et surtout d’une autre ressource incontournable, la pierre, qui, tout comme le bois, va permettre de vous construire à terme votre “petit chez vous”…
– 1. La proximité d’un point d’eau :
Ca a été ardu, mais c’est réglé : y’en a deux !
Maintenant, lequel choisir ? On va pas changer les habitudes : le plus haut, celui qui paraît le plus difficile.
Comment ? Cet espace rikiki ?
Et pourquoi donc ?
Parce qu’il va offrir, de par sa hauteur, une vue dégagée sur la plaine (première illustration) et de l’autre côté, la même vue sur une vallée quasiment fermée, d’une jolie étendue, avec une ou deux grottes à explorer dans le futur et des gisements apparents en minerais et charbon sur ses contreforts, d’autres gisements étant probablement proches dans les colline avoisinantes.
De toute façon, il sera envisageable, bien plus ♥♥♥♥, d’étendre les constructions en contrebas, cette première pouvant alors être convertie en une sorte de donjon…
Mais comment construire sur ce mouchoir de poche ?
Vous allez voir les changements, les matières premières – la pierre et le “dirt”, la terre, qui peut servir de remblais (mais aussi de base à la culture) – étant à portée de la main et naturellement dégagées et intégrées à votre inventaire rien qu’en nivelant le terrain… L’exploitation de minerais et de charbon sur les collines avoisinantes pourvoira au reste.
Cela, ainsi que l’approvisionnement en bois, nous allons nous y consacrer dans un premier temps, car nous allons en avoir besoin…
Mais s’il est assez rapide de collecter suffisamment de bois pour crafter les premières “stations de travail”, le minerai, quant à lui, nous allons d’abord devoir le collecter, puis le fondre sous forme de lingots – ce qui va occuper nos nuits (consacrez le jour à d’autres activités : minage, cueillette, bûcheronnage, …) – pour pouvoir fabriquer nos premiers outils et, surtout, notre première enclume, (23 lingots de fer pour sa fabrication), qui nous permettra de transformer les lingots en produits dérivés, bien plus utiles – En quelque sorte, l’aboutissement de notre cycle de fabrication -.
Ne resteront alors que le tissage, le cuir, le papier…
– 2. S’approvisionner en nourriture…
Nous allons bien entendu profiter de cette recherche de minerais, bois et charbon pour glâner pommes, tomates, choux, betteraves, etc. au passage…
Attention à la gestion de l’inventaire : évitez de bloquer une case pour une ou deux ressources. Vous apprendrez vite que les tomates, c’est par 8 et qu’on les récolte par 4, que les citrons, on les récolte par 6, mais qu’on peut en mettre 8 dans une case, les bûches, 32 par case, la pierre, le minerai, le dirt, 64, la pastèque occupe une case, mais débitée (clic droit appuyé) permet 8 rations par case, etc. etc. – Je vous laisse découvrir …et gérer au mieux.
Surveillez régulièrement cet inventaire ainsi que vos jauges de faim et de soif – en bas, à droite.
Entamez de préférence les packs incomplets : les deux patates, plutôt que les huit tomates…
Vous pouvez également en profiter pour vous essayer à la chasse, même avec votre hache de pierre.
Attention ! Certains animaux ne donnent pas de viande – que des peaux (mouton, chèvre, cerf, élan,…); d’autres, aléatoirement… Le porc donne toujours du bacon (par 4), mais aléatoirement des “ribs” (côtes de porc en longe) et/ou une peau (> cuir); le sanglier, par contre, s’il donne toujours une peau, ne donne qu’aléatoirement des “ribs); la vache, elle, est une valeur sûre : elle donne deux à trois steaks et, invariablement, une peau – de vache, sans vouloir être injurieux -; le poulet – c’est idiot – donne un poulet, mais déjà déplumé; le lapin, mignon à faire s’attendrir les filles, ne donne rien – même pas la patte -.
Et vous allez pouvoir aussi vous essayer à la cuisine… – de préférence, la nuit –
Les plus rapides à cuire, dans l’ordre : le bacon et le steak. Par contre, “ribs” et poulet, vous allez presqu’y passer cette nuit et ça crame qu’on n’y a vu que du feu…
De toute façon, vous n’êtes pas encore équipé idéalement… Nous en reparlerons…
Premières stations à crafter, à partir de votre onglet “Crafting” dans votre inventaire : le “workbench” et le “primitive furnace”. Si vous disposez déjà de charbon et de minerai de fer – ce qui doit être le cas si vous vous êtes bien préparé – , commencez par construire la fonderie, fournissez la en combustible (accès sur le côté), en minerai de fer et allumez-la – idéalement de nuit – pendant que vous vous occupez à d’autres besognes, tout en surveillant le point de fusion en lingots, afin de ne pas gâcher de ce précieux charbon… Vous allez être occupé quelques nuits à fondre, tout en continuant de jour à recueillir des ressources, afin d’obtenir suffisamment de lingots de fer (ne vous encombrez pas d’autres minerais tant que vous n’avez pas d’autre rangement que votre inventaire)
Placez-les au mieux en veillant à pouvoir alimenter votre fonderie en charbon par le côté. De toute façon, il faut savoir qu’à part les fonderies, toutes les stations de travail, y compris l’enclume, peuvent être déplacées, un simple Shift+F appuyé les réintégrant à votre inventaire. Et la fonderie alors… ? – Aucune importance : quelques coups de pioche et nous la remplacerons par une plus performante (24 emplacements de fonte au lieu de 8).
Profitez-en pour voir ce que vous offre déjà ce nouvel établi ou “workbench” (touche “F”)…
Et nous pouvons passer au chapitre suivant…
Les outils, les rangements, le terrassement, les bases de la construction
Avec ce “workbench”, nous allons pouvoir réellement démarrer…
Vous remarquerez que nombre d’outils plus solides et mieux adaptés que notre hache primitive vont pouvoir maintenant être fabriqués, puisque nous disposons théoriquement de quelques lingots de fer…
Dans un premier temps, nous retiendrons ces trois-là :
La pioche va, bien sûr, remplacer avantageusement votre hache en pierre, déjà remplacée par votre hache en fer, pour le minage. Votre hache primitive, vous pouvez l’abandonner au sol : elle disparaîtra.
Mais à quoi sert donc ce râteau ? – A désherber (voire à niveler le sol : clic gauche, l’abaisser – clic droit, le rehausser – attention ! Ne marche pas sur la pierre)
Et voilà le travail :
Voilà le sol préparé pour le pavage : Nous y voyons déjà plus clair.
Mais il y a plus urgent ! Un peu saturé, votre inventaire… – non ? Et bien, nous allons fabriquer des rangements (caisses ou coffres) et pour cela, d’abord crafter une nouvelle station de travail, qui va nous y donner accès : le “sawbench”, dans le menu Working Stations de votre “workbench” :
Enfin, nous allons être en mesure de délester notre inventaire… Nous allons en avoir grand besoin…
Attention ! ce type de coffre contient deux onglets, ce qui offre déjà une belle contenance; les caisses, quant à elles et selon leur modèle – petite, médium ou large – deux, trois ou cinq onglets.
Utilisez les à bon escient pour y ranger nourriture, matières premières, etc.
Mais ça ressemble à rien cet espace rikiki avec sa mare, son sol bosselé et ses stations de travail suspendues en l’air… !!!
Et bien, nous allons y remédier en fabriquant à partir de votre pierre collectée, des blocs… afin de paver ce sol et pour cela nous allons crafter – toujours à partir de notre workbench – une “blockbench” :
Sélectionnez votre texture de blocs selon votre convenance : non seulement, il existe différents modèles (blocs simples, demis-blocs, rampes, escaliers, etc.), mais aussi différentes textures… A vous d’explorer les menus de votre nouveau “blockbench”…
Remarque : Selon le type de blocs choisi, vos 64 pierres vont donner 64 ou 128 blocs : certains types de blocs sont donc plus “économiques”…
Ici nous utiliserons le bloc simple celui illustré ci-dessus, avec la texture de votre choix. Votre choix fixé, vous pouvez très bien cocher la petite étoile dans le coin supérieur droit afin de mémoriser ce choix dans les favoris, qui ainsi, apparaîtront dans votre menu d’entrée de cette station de travail – ce qui vous facilitera grandement la vie…
Mais il va nous falloir beaucoup de pierre… Vous voyez ce petit pic derrière la fonderie (dans son état originel, avant que je dispose des outils en fer) ? Et bien, nous allons nous y attaquer ainsi qu’à tous les blocs ou pic environnants : ça nous fera un espace supplémentaire et pas mal de pierre et de “dirt” (terre), dont nous allons avoir besoin…
Avant et après ! Nous avons commencé à paver en utilisant alternativement pioche et dirt pour remblayer et fournir une assise, crafté un nouveau coffre que nous avons déposé sur le sol pavé, tandis que nous transférions le contenu de l’ancien à celui-ci, afin que débarassé de son contenu, il puisse être récupéré (Shift+F) et placé à son tour sur le pavage. Du pic, il ne reste que les torches que j’y avais fixées et que vous voyez suspendues…
Une petite parenthèse illustrée afin de vous montrer comment utiliser blocs et dirt…
Vous pouvez vous apercevoir dans ces deux illustrations (que j’ai laissées dans leur grand format, afin que vous distinguiez mieux la trace blanche du bloc qui va être placé) que le bloc serait dans le dirt ou dans la roche… Et bien c’est possible à partir du moment où vous positionnez votre petite croix de visée sur la tranche ou l’arête du bloc voisin…
L’avantage, c’est que vous pourrez remblayer avec du dirt (ou de la pierre, si par exemple, vous voulez masquer vos travaux…) sans vous soucier des débordements. Comme pour la roche, dans la photo suivante, il vous suffira d’éliminer les affleurements sur le pavage sans détruire pour autant l’assise constituée. Avec un peu de pratique, ça va tout seul et vous pourrez bientôt placer une petite dizaine de blocs dans la pierre ou le dirt de la sorte… Un petit coup de pioche – ou, plus ♥♥♥♥, de marteau-piqueur – sur les affleurements, et c’est nettoyé, sans même endommager le bloc.
Dans la prochaine illustration, vous pourrez remarquer que mon pavage est pour le moins peu régulier près du vide… Pour le moment, on s’en fout. On s’en occupera plus ♥♥♥♥ en comblant avec du dirt et en construisant des murs de soutainement…
Le plus urgent, c’est d’établir un espace où travailler, cuisiner, entreposer… On fignolera après avoir trouvé cette fichue carte…
Une petite parenthèse pour vous signaler un outil très utile… Sous sa version fer, il ne fonctionnait pas dans les anciennes versions du jeu, mais, sous sa version acier (fabricable via le Tier 2), il se révèle très utile : la masse, qui permet de démonter les blocs dejà mis en place, plutôt que de les détruire par la pioche ou le marteau-piqueur. Quant au pieds-de-biche, je ne l’ai pas encore réessayé depuis lors.
Et cette mare, on va en faire quoi ? …la combler ? …bâtir dessus ? Ben non ! Comme je suis un gros fainéant et que je ne vais pas m’amuser à aller chercher de l’eau à l’extérieur, on va l’intégrer à l’habitation, ce qui pourrait être très joli.
Voici ce que ça a donné dans ma précédente partie :
Au fait, oublié de vous le signaler tant ça me semblait évident : un clic gauche et vous agrandissez l’image…
Comme arbres un citronnier, qui ne porte pas puisque je venais de récolter, et un palmier.
Vous voyez donc ici une application du bouturage, dont je vous ai donné les bases plus haut.
Cette technique va aussi vous permettre d’établr, outre un verger, une ou deux forêts des meilleures essences (cônifères, peupliers, chênes donnant le plus de bûches ou “logs”) à proximité de votre habitation… Bûcheronner donnant chaque fois plus de boutures que la forêt initiale, il vous suffira dès lors de repiquer pour l’agrandir.
Donc, des fruits et du bois “à portée de main”. Nous devrons encore aborder le jardinage…
Le voyage et sa préparation… – Le retour et ses acquis…
Le temps d’étendre cette surface pavée pour pourvoir placer convenablement les stations de travail et de préparer mon départ, nous allons nous occuper de cette carte, histoire aussi d’aborder d’ autres biomes et de dégotter l’une ou l’autre de ces cabanes abandonnées… avec un coffre contenant pour le moins cette indispensable carte… Je vais néanmoins me crafter une boussole, voire une montre et, pour cela, une enclume…
Et bien voilà, plus qu’à prendre quelques provisions et je suis prêt au départ, muni en outre d’un arc, ce qui m’a obligé à construire un rouet, afin de filer le coton et de fournir une corde à mon arc (Préférez un bon arc à l’arbalète, qui est lente et pas plus efficace), du plein de flèches (4 x 16), qui – vous le remarquerez- , tout comme la montre et la boussole, se placent hors inventaire, d’une tente de fortune et même d’un grill, l’enclume m’ayant permis de fabriquer les composants nécessaires pour crafter flèches, montre, boussole et grill via l’établi.
Une ou deux illustrations afin de montrer l’état de la base et mon petit bagage et en route pour l’aventure…
Malheureusement, je n’ai pu construire la nouvelle forge, ne disposant plus d’assez de pierre.
J’ai bien pris soin aussi de peaufiner l’éclairage de ma base pour qu’elle puisse être repérée d’une certaine distance, parce que, avec juste une boussole, l’expédition ne va pas être évidente…
Dès à présent, vous connaissez l’essentiel et êtes prêts à démarrer du bon pieds dans Rising World…
Vous remarquerez les 32 sticks : ils sont utiles non seulement pour les torches et porte-torche, mais aussi, quand vous aurez crafté vos premiers tissus et pansements à vous fabriquer une attelle en cas de jambe cassée… Oui, ça arrive et c’est très embêtant.
Prenez donc l’habitude d’avoir toujours 32 sticks sur vous : ce sera très utile surtout en grottes, mais aussi en voyage, parce que, dans l’un ou l’autre cas, vous allez revenir avec un inventaire saturé et n’aurez probablement pas la place au retour pour traîter des bûches, des lumbs et fabriquer des sticks.
En voyage, si vous comptez chasser et griller le produit de vos chasse, il vous faudra néanmoins un peu de pierre et une bûche (log) pour faire un feu de camp. C’est une des raisons pour lesquelles il est bon de vous munir pour le moins d’une hache et d’une pioche. De plus, vous pourriez tomber sur des métaux rares en surface – de l’aluminium, du tungstène, ou… plus bêtement, du charbon, qui, à ce stade du jeu où vous n’avez pas de stocks, est une ressource cruciale… Il vous faudra faire des choix et traiter votre inventaire en fonction…
Un autre truc que je pratique depuis peu en exploration des territoires : je me munis, avant le départ, de plusieurs feux de camp tout préparés – je ne savais pas qu’ils pouvaient se cumuler dans une case d’inventaire – , ce qui me fait gagner pour le moins une case…
La boussole et la montre (hors inventaire) disposent de touches de raccourci dans le menu “Contrôles”. Bien entendu, vous pouvez, elles aussi les modifier… Personnellement, je leur ai attribué la touche “B” pour “boussole” et “H” pour “heure… – A vous de voir… Attention à ne pas la même touche pour deux fonctions différentes…
Dès que nous aurons une carte, celle-ci dispose aussi d’une touche par défaut : la touche “M” pour “Map” – Vous l’auriez deviné, je parie…
A + et bons débuts ! et à bientôt j’espère…
Et bien me revoilà… J’ai cru ne jamais retrouver cette base, mais j’y suis néanmoins arrivé.
Evidemment – le contraire serait trop beau – une carte n’affiche les coordonnées et celles des régions visitées qu’à partir du moment où vous l’avez intégrée à votre inventaire… Donc, nulle trace de l’aller !
Je savais juste que j’étais allé plein Nord, traversé une savane, puis une chaîne montagneuse, jusqu’à rencontrer la mer, le sable et les palmiers, puis plein est pour finalement trouver cette fichue carte dans la septième cabane visitée, de nuit, à la limite d’un territoire enneigé… avec des ours blancs, des manchots (ils appellent ça des pingouins dans le jeu ! ça se mange pas; ça donne rien du tout, comme les lapins mignons – maintenant, je peux vous le dire).
Mais d’abord, voilà à quoi ressemblent ces cabanes :
J’avais enfin une carte, mais après y avoir monté ma tente pour y passer le reste de la nuit (la quatrième), ça me faisait une belle jambe…
Le retour a donc été deux à trois fois plus long que l’aller, et fort tâtonnant, mais vrai que j’ai un peu batifolé…
Et qu’ai ramené de mon voyage ? …Et de ces cabanes ? du charbon, du fer, de l’aluminium, des peaux, dont deux d’ours, trouvées dans une cabane, pour ma descente de lit, du cuir, des chaises et des coffres (8 de chaque, le max’ qu’on puisse emporter dans une case d’inventaire), un mousquet pas bien utile, surtout sans munitions, des disques que j’ai abandonné dans un coffre en chemin, tout en cochant leur position sur la carte…plusieurs vieilles boussoles, 6 ou 8 papiers (permettent de faire des cartes, des blueprint, de la dynamite…), trois bâtons de dynamite, plusieurs cartes, le produit de mes chasses (peaux, laine et viandes), des flare (fusées éclairantes, qui ne durent que cinq minutes – abandonnées dans la nature, elles), deux gourdes (utiles en exploration), que je me suis empressé de remplir à une mare (clic droit) et quelques pansements.
Une bonne occasion de parler de la carte, que nous allons voir au prochain chapitre…
Addendum 31/03/19 : petite check-list idéale pour l’exploration :
1 rack de tannage + 1 couteau de chasse;
8 feux de camp + 2 grilles de cuisson;
1 hache + 1 pioche ou 1 mining drill (marteau-piqueur) + 1 chainsaw (tronçonneuse)
1 tente (possede un rangement, utile pour délester votre inventaire avant une descente en grotte, par exemple) + 1 rateau;
16 pansements + 4 attelles, voire 1 ou 2 med-kits;
1 carte + 1 montre + 1 boussole;
1 canne à pêche;
1 lampe frontale;
arc et flèches ou fusil et munitions + arme de poing
1 monture, munie de fontes : la mule pour la capacite (2 onglets d’inventaire), le chameau pour la vitesse et la vision (deux lignes d’inventaire à présent) …ou le cheval.
Pourquoi le rack de tannage et le couteau de chasse ? parce que vous allez être très vite encombré de peaux qu’il serait facile de traiter à l’étape pour les transformer en cuir, qui prennent bien moins de place (16 cuirs par case d’inventaire)
Pourquoi le rateau ? parce qu’en aménageant votre campement d’étape (clic gauche pour abaisser le terrain, clic droit pour l’élever), auprès d’une mare par exemple (les mares permettent de pêcher), vous allez découvrir ces précieux vers de terre pour la pêche.
Un petit conseil : ne détruisez pas vos feux de camp, mais notez-les sur la carte – Vous repasserez peut-être par là… et n’oubliez pas en partant d’emporter votre tente, vos grills, voire votre rack de tannage.
La carte : comment s’orienter – comment l’utiliser…
Elle va servir non seulement à vous orienter, mais à marquer certains lieux :
Premier réflexe à adopter : Notez la position de votre base – En notre cas : 106, 462
Et oui, il y a des positions + et -. Dans mon aventure, je suis allé de positions +6000 à -6000 en deuxième coordo – Vous dire si la carte est grande…
Là où ça se complique, c’est qu’il y a des mers – ou très grands lacs -, parfois très découpé par des falaises, et des montagnes qu’on ne peut traverser qu’en zigzaguant ou qu’on choisit de contourner…
A ce moment, il faut choisir une coordonnée ou l’autre à traiter en fonction du lieu à atteindre… Pour savoir quelle direction adopter, vous déplacer votre curseur dans les zones blanches, selon les ouvertures qui s’ouvrent à vous, afin de vous rapprochez au mieux, c’est-à-dire aussi le plus rapidement possible de l’une des coordonnées de votre destination, tout en tenant compte, dans une moindre mesure de la seconde…
Oui, je sais… C’est pas évident, mais vous prendrez vite l’habitude… Et c’est si amusant, l’exploration…, tout autant que celle des grottes en sous-sol.
Quant aux repères, il est assez ardu de poser des repères sur la carte – on peut choisir (clic droit) le repère, sa couleur, voire même un commentaire…
En fait, on choisit d’abord le type de repère et sa couleur par un clic droit… Une fois qu’il est sélectionné : ESC ou M, puis on rentre à nouveau dans la carte par M – clic droit pour marquer et c’est à ce moment que vous pouvez poser votre commentaire/légende, qui n’apparaîtra que lorsque vous passez votre curseur sur le repère – ENTER (ne pas oublier !), puis M pour ressortir et théoriquement ça doit y être… Vérification conseillée par M.
Attention ! Parfois, il est bon d’éloigner votre perso’ de la marque à poser…
Pour supprimer un repère, le sélectionner par un clic gauche, puis DELETE
Bien sûr, vous pouvez agrandir / rapetisser la vue de votre carte avec la mollette de votre souris, comme illustré dans la capture d’écran précédente.
Comme – et j’ai oublié de le signaler – vous pouvez faire un zoom visuel par une touche programmée. Perso’, via le menu “Contrôles”, je l’ai programmée sur le 8 (flèche vers le haut) de mon clavier numérique – Parfois très utile, peut-être plus même en grottes -.
Les couleurs seront très utiles pour différencier par exemple les grottes visitées des non-visitées ou en cours d’exploration (parfois, les explorations souterraines sont très longues : il m’est arrivé, à partir de la même grotte, de trouver trois donjons à des profondeurs différentes) ou à visiter – par exemple, parce que vous avez cru apercevoir tout au fond une petite lueur qui pourrait être un donjon, mais que vous n’êtes pas équipé pour y descendre et/ou que votre inventaire est déjà bien rempli
Par ailleurs, avant de vous essayer aux descentes en grotte, je vous conseillerai d’être équipé d’une lampe…, les torches ne servant qu’à repérer votre chemin vers la surface. Ce qui sera possible avec le workbench 2, que nous n’avons pas encore abordé…
Ces marques sur votre carte vont aussi permettre de savoir où vous avez laissé – dans un coffre, pas au sol : ça disparaît – les surplus de votre inventaire saturé – Je vous l’ai dit : il y aura toujours des choix d’inventaire à faire… (Perso’, j’emploie une croix bleue)
Se vêtir, s’armer pour la chasse, s’éclairer, cuisiner et se préparer à la descente en sous-sol…
Avec mon départ à la recherche d’une carte, j’ai zappé certains passages, puisque je me suiis équipé, d’un arc, de flèches, d’un grill, d’une boussole et d’une montre, ce qui impliquait la fabrication d’une enclume (anvil) et d’un rouet :
L’enclume est essentielle dans le jeu; elle va nous permettrre – à partir de lingots – de crafter des plats (plates) et des – appelons-les ferrailles – (rods), qui vont entrer dans la fabrication de différents produits… – Un plat donnant 4 rods –
Le rouet, lui, va nous permetrre de filer le coton récolté au fil de nos pérégrinations ou cultivé et va donner une fois filé (clic droit pour faire tourner et F à chaque progression à 100%) des bobines (threads), qui telle quelles m’ont déjà permis de faire une corde pour mon arc, mais nous permettront aussi de fabriquer du tissu ( et donc des vêtements, chaussures, etc), mais parfois aussi, des vêtements et armures plus évolués en y ajoutant cuir et parties métalliques.
Pour les parties métalliques, nous avons l’enclume dont je viens de parler.
Pour le cuir, nous allons devoir disposer d’un outil : le “couteau de chasse” et d’un “rack de tannage”
Pour l’utiliser, vous placer le couteau dans un emplacement rapide et la peau à traiter dans un autre (attention, il faut que vous placiez la peau sur le côté le plus vertical du rack, donc réorientez-le au besoin correctement (shift+F et flèches de direction) : clic droit pour fixer la peau, puis on revient sur l’autre emplacement, celui du couteau et clic gauche appuyé pour tanner j’usqu’à ce qu’une main s’affiche… F pour récupérer le cuir et on passe à la suivante.
Vous êtes en mesure maintenant de vous servir pleinement du métier à tisser, presque tous ses articles vous étant accessibles, SAUF les deux modèles de casques avec éclairage frontal, qui me paraissent essentiels pour la descente en grottes, puisqu’ils vous laissent la main libre pour la pioche.
En outre, il vont vous permettre (dernières MaJ) de pêcher la nuit ! – Avantage non négligeable… –
Parce que – si vous agrandissez l’image -, vous allez vous apercevoir qu’il vous faut un “lightbulb” – une ampoule, quoi – et pour la fabriquer, un nouvel établi : le Tier II, illustré ci-dessous à gauche :
Vous voici à présent presqu’équipé pour la descente en grotte… Restent à crafter…
– une tente (dans la rubrique “Camping” de votre métier à tisser, parce qu’une tente vous offre également un rangement et, en déplacement, va vous permettre d’y déposer toute chose inutile avant de descendre…
– des vêtements et chaussures, pour lesquels il va vous falloir du cuir, donc vous allez devoir chasser, ramener par la force des choses de la viande aussi et …la cuisiner. Donc nous allons parler un peu aussi de la cuisine…
Voilà, à mon sens, la meilleure façon de vous installer une cuisine efficace…
Ne vous encombrez pas d’un barbecue, trop petit, ni d’un grill-fumoir, trop difficile à surveiller…
Maintenant, pour que vos grill – les mêmes que celui que j’emporte en déplacement – s’alignent correctement, un petit truc que je viens seulement de répérer…
Agrandissez la première image… Vous voyez une peite tâche verte au fond de votre feux de camp… Au placement du feu (une bûche + pierres), faites tourner (flèches directionnelles) votre feu de camp de façon à ce que cette tâche verte soit alignée de la même façon que celle du premier… (en position horloge, à 17 H ou 17 H 30), sans quoi votre second grill va se placer en biais, n’importe comment.
La seconde illustration vous montre comment utiliser une rampe – un des rares blocs à pouvoir se placer dans tous les sens (utile pour les meurtrières, cheminées de coin, …) – . Pour l’orienter verticalement, flèche directionnelle haut une ou deux fois, puis gauche – droite…
Ici, ça évite l’encombrement et, ma foi, me semble rendre la construction plus jolie…
Et on peut charger en viandes… !
Vous remarquerez aussi que cette petite cuisine est proche de mes deux fonderies…
Pourquoi ? …Parce que cuisine et fonte des minerais seront des activités auxquelles vous vous consacrerez souvent la nuit, ayant d’autres choses à faire le jour, et l’une comme l’autre des activités étant à surveiller, histoire de ne pas gâcher du charbon d’un côté et à ne pas crâmer vos viandes de l’autre (ça brûle très vite !).
Autre avantage, je trouve q’un feu permanent – le feu de camp ne nécessitant pas de combustible – confert une ambiance plus chaude à un intérieur.
Si j’ai encore la place, dernière illustration pour vous montrer à quoi pourrait ressembler votre équipement grotte, hormis ces deux articles – marteau-piqueur et détecteur de minerais – pour la fabriquation desquels il va nous falloir de l’or, qui se trouve rarement en surface…
N’oubliez pas les pansements (16), une viande (poulet ou ribs) pour vous requinquer en cas de chute, les sticks, les portes-torches et torches, deux gourdes bien remplies et de la nourriture…
Nous voilà prêts pour l’aventure souterraine …et – espérons-le – quelque donjon et son loot -.
Grottes et donjons… Les pièges – les astuces…
En route vers l’aventure…
Je suis entré par une grotte, très proche de ma base pour ressortir par une autre, au fond de la vallée plus ou moins fermée dont je vous ai parlé…
Niveau gisements, je n’ai trouvé jusqu’à présent qu’un peu de tungstène, du fer, du charbon, du cuivre (que je n’ai pas exploité pour ne pas me charger outre mesure, le cuivre étant par ailleurs très abondant et peu utile dans le jeu – Les trois minerais les plus utiles étant le fer, le tungstène et le sulfure, voire l’aluminium, dans un premier temps du moins -).
Dans la seconde, il y avait néanmoins une petite lueur qui m’a intrigué… C’était – ô bonheur ! – rien de moins qu’un affleurement de muraille de donjon (les lueurs de ses torches intérieures suffisent à le signaler).
Donc, scrutez les fonds, en utilisant au besoin votre zoom (touche assignée)
Pas trop profond, pas trop innaccessible, mais néanmoins d’une bonne taille et dont, dans un premier temps, j’ai ramené des lingots et du minerai d’or, dont j’avais besoin pour crafter non seulement mon marteau piqueur, mais aussi le détecteur de minerais et …une tronçonneuse via la nouvelle station de travail illustrée à la fin du chapitre précédent.
A la seconde descente, j’en ai ramené aussi l’une des meilleures armes de poing du jeu (demonic sword – épée démoniaque), ainsi que le nouvel arc de la dernière MaJ et deux armures dont je n’ai pas l’usage…
Ici, un conseil : Dans les donjons, vous trouverez beaucoup de choses, certaines originales ou décoratives (porte-torches en bois uniques, etc), voire utiles, des ressources toujours bienvenues, mais aussi beaucoup d’inutile (armes communes, etc).
Par ailleurs, vous allez y arriver le plus souvent avec un inventaire presque saturé de pierres et de minerais…
Alors dès que vous avez franchi ses murs et trouvé un ou deux coffres, videz-les, emportez-les et placez-les près de l’entrée : vous pourrez dans un premier temps délester votre inventaire, puis y ramener au fur et à mesure vos trouvailles. Il suffira dès lors de faire la navette avec votre base…
Au départ, je pensais parler des pièges, mais je ne vais pas spoiler… Faites attention ou vous mettez les pieds et trouvez un moyen de les contourner ou de les neutraliser… – Je n’ai pas encore trouvé le moyen de les emporter…
Quelques autres conseils concernant les grottes :
– Il est toujours possible de descendre, même dans les puits qui semblent les plus verticaux : il suffit de creuser en colimaçon autour de celui-ci en vous assurant toujours d’avoir suffisamment de distance avec le vide;
– Si vous pouvez descendre, c’est pas pour ça que vous pourrez remonter : pensez à dégager également au-dessus de votre tête… et faites de fréquents retours pour vérifier votre chemin, parfaire son dégagement et le jalonner de torches signalétiques, voire en cas de multiples embranchements de panneaux signalétiques; pensez également à récupérer les torches des chemins inutiles, menant à des impasses sans intérêt;
Ces deux signes sont annotables.
Le premier va vous indiquer un chemin; le second, placé sur un mur, au-dessus d’un coffre, d’un tonneau, d’une caisse, va vous permettre d’identifier d’un coup d’oeil son/ses contenus et de savoir où ranger les choses… Parce qu’il y a beaucoup de choses à ranger : minerais, nourriture, graines pour le jardin et boutures pour la sylviculture… Si on peu se passer au début du jeu d’un rangement efficace, ce n’est plus le cas par la suite – Un exemple de mon ancienne partie :
Mais revenons à notre sujet, la descente en grottes :
– Attention au piège de la veine de minerais au sol : par moment, vous aurez l’impression de ne plus très bien savoir où sont le bas et le haut et vous aurez la désagréable surprise de vous apercevoir qu’en creusant la veine ou les veines successives, vous avez bousillé votre chemin : raison supplémentaire pour prendre l’habitude de fréquents regards et retours en arrière…; la lueur d’une torche se révélant parfois le seul indice de la direction à prendre…
– si vous trouvez un ou des veines en hauteur, commencez toujours par les affleurements les plus hauts : il est plus facile de redescendre que de monter, car en montant, vous êtes le nez sur la roche et ne pouvez vous orienter…;
– N’hésitez pas à descendre : c’est le plus bas que vous trouverez l’or et surtout le sulfure (jamais trouvé de mithrill depuis les dernières versions), nécessaire à la fabrication de munitions pour fusils et explosifs; par ailleurs, il m’est arrivé de trouver un donjon vide, pour plus bas, en découvrir deux autres, bien plus riches en surprises…. Une exploration de grottes, surtout assortie de donjons, va vous prendre plusieurs jours de jeux le plus souvent.
Un dernier conseil – général, celui-là – : Ne vous séparez JAMAIS de votre pioche ou de votre marteau-piqueur !
Pourquoi ? Parce que, même si c’est moins courant que dans les premières versions du jeu, il arrive que vous soyez envoyé dans le décor et y restiez bloqué. Cas le plus courant : Vous ouvrez une porte, que vous n’avez pu placer autrement qu’ouvrant vers vous et, malheureusement, en êtes trop proche… Vous allez vous balader dans murs et roches en voyant alternativement le ciel, etc et en prenant des pelles (n’oubliez pas l’utilité des soins, des 32 sticks et de la nourriture pour vous requinquer…). Cela peut aussi arriver en posant du dirt ou dans des lieux trop étroits.
Ne paniquez pas en vous disant que le jeu est foutu, parce que le quitter ne réglera rien, les sauvegardes vous ramenant systématiquement là où vous en êtes resté…
CREUSEZ ! Ce sera le seul moyen de vous en sortir ! …et creusez au meilleur endroit en essayant d’éviter autant que possible les dégringolades et les jambes cassées…
Aujourd’hui-même ( Ajout de ce 04/08/18), en posant de l’herbe sur des remblais, au pieds des murs de ma base (2ème partie), je me suis retrouvé en sous-sol (avec un donjon bien en vue en contrebas) et n’ai apparamment pas creusé au bon endroit : dégringolade, mort et fin de la partie. Plutôt que de “respawn” tout de suite, je quitte, recharge la partie et me retrouve en plein ciel : second viandage, sur le toit de l’habitation, re-mort et fin de la partie : tout mon inventaire perdu (marteau-piqueur, tronçonneuse, boussole, montre, carte et – pas le moins grave – une bonne cinquantaine de boutures de peuplier.), puisqu’il doit être sur mon premier corps en sous-sol, dans quelque grotte… Les bugs sont donc toujours bien là : Soyez toujours prêts à les affronter au mieux.
D’autant plus que, dans les options, la fonction “Disparition du corps” – “never / jamais” n’est pas effective et, quoique sauvegardée, se remet automatiquement sur 60 minutes.
Bûcheronnage et tronçonneuse, le verger, le jardin…
Petite astuce sur le bûcheronnage, à partir du moment où vous disposez d’une tronçonneuse : lorsque vous tronçonnez un arbre, à l’instant où le tronc se sépare de la souche, tout en continuant à l’actionner, vous remontez votre tronçonneuse le long du tronc et vous verrez bûches et bouture(s) tomber toutes sur place au lieu de s’étaler. Bien plus pratique pour repérer ces boutures/ramures dans l’herbe ! – Vous en prendrez vite le coup de main et l’habitude –
A mon sens, le peuplier est sans conteste la vedette de la sylviculture : Non seulement il donne plus de bûches – 7 y compris le tronc -, mais, je pense, également plus de boutures (sampling). Je viens de faire un rapide calcul : 48 peupliers m’ont donné 94 samplings après bûcheronnage.
Vous doublez donc quasiment votre plantation après récolte; pour comparaison, 27 cônifères (sapins – 5 bûches) donnent 42 samplings. Je vous laisse vérifier pour le chêne, n’ayant pas développé cette essence… S’il a un bon rendement en bûches je pense (6 ?), il prend cependant plus de place.
Malheureusement, si vous trouvez de grandes forêts de cônifères, les peupliers, eux, sont plus isolés et constituer une première plantation est donc plus laborieux.
Vous vous souvenez de la vallée quasiment fermée derrière notre première plate-forme, espace de travail, qui ne dispose pas encore de toiture…
Cette vallée, je l’ai consacrée au verger et au jardin.
Ma première initiative fut de faucher l’herble dans toute la vallée.
Pourquoi ? Non seulement pour l’esthétique mais par le fait que si je veux reproduire mes arbres fruitiers, il va falloir les abattre pour en recueillir les boutures/ramures et simplement que celles-ci seront bien plus visibles dans une herbe rase. – Trop de pertes dans l’herbe haute ! –
Prenez le temps, lorsque vous commencerez à planter des arbres forestiers (sylviculture) d’aussi faucher auparavant : ça vous évitera beaucoup de pertes et cette désagréable impression proustienne de jouer à ce jeu infantile et exaspérant de recherche de cocognes dans l’herbe…
Ne confondons pas l’usage de la faux et celui de la faucille : la faux coupe l’herbe sans la recueillr, tandis que la faucille la recueille, ce qui permet, par exemple, en la replantant, de masquer vos remblais.
La faucille, dont vous allez vite prendre l’habitude de vous munir lors de vos périgrinations, va dans un premier temps vous permettre de vous constituer un stock de graines pour votre futur jardin.
Consacrez-leur un coffre, comme illustré ci-dessous :
Comme vous pouvez le constater, j’y ai rangé les graines pour le jardin sur la première ligne; puis les boutures d’arbres fruitiers sur la deuxième; je m’apprête à y ranger l’herbe sur la troisième, tandis que nous trouvons les boutures d’arbres forestiers, pour la sylviculture, sur la quatrième.
Une fois que vous aurez un stock suffisant de graines, vous pourrez aménager votre jardin, avec un outil indispensable, la houe; le râteau ne servant qu’à faire disparaître les résidus d’herbe, à égaliser le sol grossièrement et à recueillir des vers de terre pour la pêche (dernières MaJ).
Sur la photo du jardin que vous voyez plus haut, vous aurez certainement remarqué que j’en ai entouré les parcelles de chemins pavés…
Un intérêt à cela, c’est que le dirt (la terre) que vous allez utiliser sera beaucoup plus “facile” à niveler avec la houe (j’emploie les guillemets, parce que ce ne sera pas évident d’alterner monticules de dirt et usage de la houe pour obtenir une uniformité satisfaisante).
Après quoi, vous aurez enfin le plaisir de planter et de voir grandir le fruit de vos efforts :
A ce sujet, attention !
Il existe deux types de plantes – et même trois :
– celles qui se reproduisent sur plants en place, sans devoir être resemées à chaque récolte (tomates, maïs, fraises, brocolis, piments, coton) : je leur ai consacré une parcelle particulière;
– celles qui disparaissent une fois récoltées et qui doivent être resemées chaque fois : patates, carottes, salades, betteraves sucrières, “hemp leaves” (qui permettent de faire une sorte de tissu).
Celles-ci doivent être impérativement cueillies à la faucille, afin de récolter à la fois fruits et semences;
– la troisième sorte est particulière (melon d’eau et potiron) en ce sens que cueillie à la main, elle donne bien entendu le fruit, mais cueillie à la faucille, elle ne donne QUE des semences :
A vous de d’abord vous constituer un stock de semences en récoltant les premiers exemplaires exclusivement à la faucille, puis par la suite de toujours consacrer une partie de votre récolte à la collecte de semences.
Ayant fini (07/08/18) d’aménager l’un de mes jardins, j’y ai construit 14 parcelles couvrant tous les types de végétaux (hormis “hemp leaves”, dont je n’ai pas encore compris l’utilité).
Deux d’entre elles sont consacrées à la récolte de potirons et pastèques et deux autres, un rien plus petites, à la récolte exclusive de leurs semences – chaque exemplaire donnant deux semences (mais j’ai dans l’idée que le nombre de semences, du moins pour certaines espèces, augmenterait peut-être avec la maturité…? A vérifier) -.
Le melon d’eau (pastèque) est, à mon sens, la production la plus utile en déplacements par sa teneur en eau et par le fait qu’il nourrit aussi. J’en emporte souvent deux, surtout en grottes. Après lui viennent la pomme et, étonnamment, le brocoli qui désaltère aussi et dont la pousse est probablement la plus rapide (avec la fraise). Le citron, quant à lui, ne désaltère pas, mais nourrit plutôt bien. Pour nourrir, rien ne vaut évidemment la viande.
Un dernier conseil pour la récolte des permanents : Commencez par récolter brocolis, voire fraises. Le temps de récolter le reste et de resemer les parcelles des non-permanents, ils auront repoussé…
Dans le prochain chapitre, nous aborderons enfin l’habitation…
Parce qu’il ne faut pas croire : je ne suis pas resté sans rien faire… Outre le verger et le jardin, j’en suis à ma deuxième forêt, qui doit maintenant avoisiner la centaine d’exemplaire et à une maison, toujours en cours d’aménagement, dont je suis ,ma foi, assez satisfait, mais cela a nécessité beaucoup de pierre, beaucoup de bois, entre autres, tandis que je continuais à étendre mon aire de travail…
L’habitation : la toiture, faire un étage en dur/logia en bois, pose des fenêtres, caves – Partie 1
Nous allons ici aborder en deux parties l’avant-dernier chapitre…
J’avais déjà bâti une maison sur une hauteur, mais je devais de toute façon remettre ça pour l’atelier et en ai profité pour faire des captures d’écran plus éloquentes…
Je n’ai pas parlé des matériaux…
Pour la toiture, vous pourriez très bien utiliser poutres en bois et planches pour créer une charpente et son recouvrement ou, comme dans ma précédente partie, deux logias :
En combinant la touche “R” avec les touches directionnelles, vous pourrez modifier la section de vos poutres et leur longueur de même que la largeur et la longueur de vos planches, tandis que les touches directionnelles employées seules vous permettront de les orienter en tous sens.
Dans ce chapitre, nous allons parler de la toiture (comme sur la capture d’écran) en rampes, mais de l’étage avec son plancher en blocs et non en bois.
Ici, un avertissement… Attention si vous désirez installer une fonderie grand modèle (60 emplacements de fonte) au rez-de-chaussée, installez-la d’abord afin de pouvoir évaluer la hauteur de vos murs et du plancher de votre futur étage : elle est haute et prend beaucoup de place, bien plus qu’une fonderie à 24 emplacements et – je le répète – la fonderie est la seule station de travail qu’on ne peut déplacer : choisissez donc bien son emplacement en garantissant l’accès à son volet de chargement de combustible (côté gauche de la fonderie, lorsque vous êtes face au placement de minerai).
Une autre station de travail, qui mérite aussi un avertissement, c’est la presse à papier…
Si j’ai pu, dans ma précédente partie, installer une fonderie gros modèle en haut d’une tour 12 blocs sur 13), il n’en a pas été de même pour une presse à papier que j’ai voulu installer à l’étage : elle perçait le plafond de l’étage inférieur… Donc celle-ci, trop lourde, doit être impérativement placée au rez-de-chaussée, sur du sol ferme.
Mais parlons des matériaux :
Même si vous ne construisez pas en poutre et planches, vous allez avoir besoin de pas mal de bois, de pierre bien-entendu, mais aussi de sable pour la fabrication de vitres.
Sans compter qu’il faudra la meubler, la décorer et que pour cela aussi, il va vous falloir du bois, des métaux, de la pierre, du tissu, voire de la laine si vous désirez un modèle particulier de lit (32 laines; un mouton donnant 4 ou 6 laines).
Je ne m’étais pas rendu compte de prime abord de la chance que j’avais eue au lancement de la partie d’échouer sur cette localisation. Je me suis aperçu que non seulement j’étais dans un environnement montagneux riche en pierre et minerais, juste à côté d’une plaine dotée de toutes les plantes propices à la culture, avec en plus le chili et le citronnier, mais aussi disposant de peupliers, autre arbre donnant le plus de bûches (7) , voisine de la savane, mais aussi, en explorant quelque peu, que je n’étais pas loin d’une forêt de cônifères(5 bûches) avec son gibier, près de la mer, de son sable et de ses palmiers et aussi proche, au-delà d’une bande de savane, d’une autre forme de désert, celle, non littorale, dotée de cactus agave et qui recèle, outre le sable, nombre de grottes et une pierre particulière : la pierre de sable…
Après ces deux parenthèses, revenons maintenant à la construction :
La première chose dont vous allez avoir besoin, c’est d’échafaudage (“scaffolding” ?)…
Disons qu’avec 4 échafaudages avec pente et 8 sans pente, vous devriez être à l’aise…
Attention cependant, il est assez facile de se viander… Un étage, même pas mal, deux étage, ça commence à faire mal… Donc veillez à tomber du bon côté et à emporter votre petite trousse de secours au cas où…
Un petit conseil aussi : veillez à ne rien avoir en main pour entamer l’ascension d’une rampe – cela semble bloquer celle-ci ou du moins la rendre difficile…
Ensuite il va vous falloir fabriquer des “tuiles”, en fait des rampes (blocs coupés en diagonale), non en pierre, mais en bois, toujours par le blockbench, une bûche (“log”) donnant 6 tuiles :
Vous allez ensuite construire, sur les deux côtés les plus étroits de vos murs, ce qui va constituer le support de votre toiture…
Particularité des échafaudages : un échafaudage peut être suspendu dans le vide, à condition qu’il soit attenant à un autre – très utile, particulièrement en hauteur – :
Une fois de plus, attention ! Il est impératif au sommet d’avoir deux blocs, afin d’avoir l’assise pour la pointe de votre toiture
Sinon, c’est pas grave : vous détruisez un mur latéral et élargissez votre habitation d’un bloc… Mais bien sûr, prévoyant, vous avez calculé tout ça – Non ? C’est bête, hein…
Solution de rechange : vous rempladez vos deux rampes de faite par un bloc-cube en bois.
C’est le moment d’installer votre girouette (si ! si ! ça existe… Allez un peu fouiner dans les menus…)
Et là, ça y est : Vous pouvez commencer votre toiture… Vous faites la même chose de l’autre côté, on déplace les échafaudage et on allonge jusqu’à se rejoindre…
Sans oublier de peaufiner l’aspect extérieur :
Dans la seconde photo, on pourrait même imaginer d’allonger la toiture pour en faire une sorte d’auvent – à condition de le soutenir par des pilier, bien entendu -…
Fin de la première partie : Nous allons maintenant nous consacrer à l’étage…
L’habitation – partie 2
Nous voici avec un rez-de-chaussée protégé par une toiture…
A présent, nous allons faire un étage en dur et pour cela, la première chose sera de mettre en place un soutien sur les murs les plus longs pour ce plancher en blocs… J’ai choisi la rampe, mais cela pourrait être aussi cette variante (deuxième illustration), orientable de la même façon à l’aide de la touche Shift et le la flèche directionnelle “haut”
Nous allons donc nous y prendre de cette façon : d’abord le placement de la rampe, puis l’insertion du bloc :
Ensuite, nos premiers blocs étant en place, nous allons construire un escalier afin d’accéder à l’étage et d’y poursuivre la construction :
Mais problème – que vous comprendrez mieux avec ces captures d’écran après construction – : si je poursuivals la construction de l’escalier dans cette direction, j’allais gêner l’accès à mes fonderies (qu’on ne peut déplacer)…
J’ai donc changé l’orientation de mon escalier par un palier de quatre blocs (aussi applicable au “colimaçon” pour la descente en minage – 4 escaliers – 1 palier, en changeant à chaque palier de direction, toujours dans le même sens des aiguilles d’une montre et en consolidant les mur au fur et à mesure, plutôt que les échelles – nous en parlerons plus ♥♥♥♥ – ,mais ça fout le tourni ! est plus lent à l’usage et nécessite beaucoup plus de ressources – cfr. donjons, pour ceux qui ont déjà visité) :
Après quoi, il suffisait de terminer le plancher à partir de l’étage, ce qui m’a permis d’y transférer l’essentiel de mes stations de travail et même d’y aménager un petit appartement :
Tandis que pour le bas, je conservais mes deux fonderies, l’enclume, un coin pour le blockbench – que je voulais conserver au rez-de-chaussée pour un meilleur accès, puisque j’ai encore beaucoup de travaux entamés – et que j’y aménageais auprès de la cuisine, un réfectoire :
J’allais oublier la pose de fenêtres et de vitres…
Le châssis de fenêtre, extensible en hauteur comme en largeur, s’adapte à l’espace.
Personnellement, je préfère les poser dans la position la plus extérieure possible afin de disposer d’un appui de fenêtre susceptible d’accueillir une plante décorative…
Il en existe plusieurs modèles, comme vous pouvez le voir dans la deuxième illustration…
Quant à la vitre, positionnée telle que montrée (croix de visée sur châssis), elle s’adapte automatiquement et se place par un clic droit – ce qui est confirmé par un bref message -.
Malheureusement, s’il existe tentures et stores, eux ne s’adaptent pas.
J’allais oublier aussi les caves :
Pas grand’chose à dire, sinon l’avantage qu’il y a à construire sur une hauteur – outre la vue offerte -, à partir du moment où les murs de soutainement sont constitués assez bas, il est toujours possible d’étendre l’habitation vers le bas, quitte à renforcer ces murs de l’intérieur, afin de constituer dépôts, ateliers, appartement, voire d’établir une mine à partir des sous-sol de votre habitation – ce que j’ai fait dans ma précédente partie. Dans ce cas, évidemment, vous privllégierez, l’accès non pas par des escaliers, mais, à partir de l’étage inférieur, par un puit couvert par un soupirail, avec échelles, afin de descendre assez provondément.
Attention, les échelles sont à prendre très prudemment… Une chute de six ou sept échelles mises bout à bout, ça fait très mal et jambe cassée assurée.
Ainsi, en sous-sol, j’ai installé une fonderie big format, deux appartements, une cuisine-salon et un atelier complet, dont je peux rayonner, en profondeur, vers les grottes avoisinantes, sans devoir y descendre par la surface. J’ai donc mon exploitation minière à domicile. Avantage :Je pave les chemins souterrains et descend plus bas avec des escaliers, de ce fait rapides, au fur et à mesure que je creuse la roche. Evidemment on ne peut paver qu’à angle droit, mais il suffira de prévoir des carrefours, dans lesquels je compte installer des blockbench, pour rayonner vers telle ou telle grotte avec l’aide de la carte.
C’est une partie de mon donjon, que je me suis même amusé à rendre secrète…, du moins camouflée.
Les points verts marquent les grottes non encore explorées…
A ce propos, j’ai parlé un moment de l’utilité de parfois masquer les travaux par de la pierre plutôt que par du dirt, c’est parce qu’à un moment j’ai affleuré une grotte voisine, déjà visitée, et dans laquelle il y a déjà un chemin de descente depuis la surface. Du “dirt” ou terre à cette profondeur n’aurait pas été naturel… On sait jamais : si les dev’ décidaient un jour de passer le PVP en mode naturel ? J’aime pas trop ça, m’enfin… Et puis du PVP quand il suffit d’un marteau-piqueur ou d’une bête pioche pour percer un mur en quelques secondes… ? Faut pas rigoler…!
La station de travail oubliée – Les inutiles… – Deux derniers conseils
1. La presse à papier :
J”ai fait une parenthèse sur la presse à papier en signalant le fait qu’il était nécessaire, apparamment en raison de son poids, de l’installer sur un sol ferme, en rez-de chaussée, mais je n’ai pas parlé de la façon de s’en servir…
Je n’en ai pas encore installé dans cette partie, n’ayant pas encore trouvé de sulfure, nécessaire à la confection de munitions pour le fusil cinq coups craftable, comme à celle de dynamite ou de fusée-artifice…
Je vais donc me référer à mon ancienne partie pour les capture d’écran illustratives…
Vous vous munissez d’abord dans votre écran d’action rapide de tissu et d’un seau d’eau que vous aurez préalablement rempli; vous placez le tissu (cloth) dans les emplacements prévus sur la presse; vous actionnez la presse par votre touche d’interaction – “F” en mon cas – et obtenez cette espèce de platée de frites refroidies qu’il appellent “rags” (fallu que je les passe dans l’inventaire pour m’en souvenir)…
Après quoi, vous vous munissez de votre seau d’eau, le versez sur les frites-mayo’ – pardon ! “rags” – par un clic droit appuyé et actionnez à nouveau la presse pour obtenir du papier.
Et à quoi ça va servir ce papier ? à vous imprimer ces fameuses cartes que je cherchais en début de partie, des blueprint (une façon de reproduire une habitation simple en d’autres lieux), mais aussi des cartouches pour votre fusil cinq coup craftable, de la dynamite, des fusées-feu d’artifice dès que vous aurez trouvé du sulfure…
Un minerai, d’un jaune plus vif que l’aluminium, plus citron… Je ne sais si ça donne correctement, mais j’en ai placé trois exemplaires, en premier plan, à gauche d’une fournée d’aluminium. En lingots, par contre, on ne pourrait se tromper : bien plus vif que l’or et l’aluminium :
Je rappelle : clic gauche pour agrandir l’image…
Ce minerai, j’ai eu la chance d’en trouver de nombreuses veines dans une grotte de la précédente partie, souvent cachées par d’autres métaux et à grande profondeur, mais pas encore dans celle-ci.
2. Les inutiles :
D’abord, une station des plus encombrantes, que j’ai prise au départ pour une presse à vin, mais qui n’a que deux utilités à ma connaissance :
– broyer des pierres, pour en faire du gravier, qu’on trouve à l’état naturel puisqu’il tapisse les mares (dans d’autres biomes, c’est l’argile, plus rare, ou encore le dirt sec) ou, à foison, dans les régions côtières, au pieds des falaises;
– broyer du tissu pour en faire des “rags” – les frites-mayo’ – ce que fait la presse à papier…
– Un matériau parrticulièrement inutile : les “hemp leaves”, avec lesquelles on peut fabriquer des “hemp fibers” avec le métier à tisser… Et puis après… ? On serait censé pouvoir fabriquer du tissu, mais l’option n’existe pas – pas avec le métier à tisser, du moins -.
Si quelqu’un leur connaît une application… (?)
3. Deux derniers conseils …pour la route
– Dès que vous avez développé et entretenez un jardin, pensez à vous établir un local-Réserve, dotée de caisses grands formats (5 onglets). De même, consacrez un autre local à l’entreposage des semences – en ce cas, des tonneaux (plus étroits que les coffres) suffisent, comme illustré précédemment, lorsque j’ai mentionné les panneaux d’affichage, dans le chapitre consacré à l’exploration des grottes.
– Pensez également à équiper vos locaux éloignés de la mare d’un point d’eau, petit ou grand :
Pour le remplir, vous utilisez le seau d’eau rempli, que vous videz en visant les parois du contenant… ainsi un bac de deux sur deux (blocs) en intérieur et de 1 de hauteur va demander quatre seaux d’eau et est à ma connaissance, inépuisable…
La seconde illustration fait je pense 3 blocs sur 2, mais avec 2 de hauteur : Vous pourrez donc le remplir de deux fois 6 seaux, en augmentant au second tour d’un bloc la hauteur de visée (petite croix blanche) pour vider vos derniers seaux.
Je termine donc sur ces derniers conseils et vous souhaite bon jeu et plein de surprises, en espérant ne pas trop avoir anticipé vos découvertes…
Vos commentaires et questions sont bien entendus les bienvenus… Abonné au fil de discussion, j’essaierai d’y être attentif.
Excellent jeu à tous !
Dernières nouvelles (1)…
– 04/06/18 : Une excellente nouvelle – ce qui fait gagner beaucoup d’espace – les panneaux signalétiques peuvent maintenant s’apposer sur les coffres et les caisses (sauf petite : trop grand) – pas encore sur les portes -, ce qui permet de superposer ceux-ci tout en les identifiant.
14 grandes ou moyennes caisses à 5 ou 3 onglets (64 lumbers par grande caisse) pour les produits du jardinage et des arbres fruitiers (pommes, cerises et citrons) et une pour les viandes. Vous saurez ce qu’il vous faut pour vivre heureux et ordonné…
Quelques nouveaux articles : jumelles, téléscope (longue-vue) – ça sert à quelque chose ? On a de toute façon la touche de zoom… -, des palmes pour combinaisons de plongée (mais toujours pas de bombonnes), short en peau, … et déjà un petit temps que l’acier remplace le mithrill pour un lot d’outils, mais ne vous retournez pas la tête comme moi en vous disant “Tiens, ils auraient inclu un four Bessemer dans les work stations… ? Ben non ! Gros bêta que je suis ! Suffit d’apprendre à lire : acier oui…, mais avec des lingots de fer !
J’allais oublier… Apparition de trois type différents de selles et fontes pour montures : cheval, âne et dromadaire. Très agréable à diriger : touche “Z” pour avancer et orientation souris gauche / droite pour diriger; galop avec Shift. Shift+F pour déseller en commençant par les fontes.
Malheureusement, il ne recule pas et problème, les laborieux : Il s’enlise les pattes dans les blocs de pierre comme dans du ciment frais et ne bouge plus.
J’ai donc abandonné ce projet d’écurie dans l’enceinte, du moins dans l’état actuel du jeu, et construit un enclos extérieur, en bois, sans pavage…
Mais ça ne résout pas encore tout : en grimpant la falaise, ils arrivent encore à jouer leur “passe-muraille” dans le haut de l’enceinte et il faut les seller et les monter pour les en dégager, vu qu’on n’en voit plus que le postérieur… Help, les dev’ !!! – please !
J’ai aussi doté cet enclos d’une mare peu profonde – expérience oblige : un cheval s’étant empressé d’aller se noyer dans une mare classique -.
Pour tapisser la mare, trois matériaux possibles selon les biomes – outre les bloc de pierre, qui permettent, comme je l’ai montré auparavant, de constituer des réserves d’eau à l’intérieur des habitations – : le gravier, l’argile et, comme je l’ai employé ici, le dirt sec :
Pour l’accès à l’enclos, vu qu’il n’existe pas de portes adaptées aux montures, j’ai combiné deux grilles en fer, l’une s’ouvrant vers l’intérieur et l’autre vers l’extérieur :
Me reste encore à construire un petit abri pour la pluie…
Vous remarquerez aussi que j’ai préféré l’âne au dromadaire ou au cheval… Une simple raison à cela : les fontes de l’âne ont la plus grande capacité en vous offrant un espace supplémentaire de 4 x 12 cases de rangement = 48 cases x 2 onglets = 96 cases : C’est énorme ! Pour vous donner une idée, votre inventaire n’en fait que 4 x 8 = 32.
L’apport de montures est donc un plus fantastique dans ce jeu, qui va fortement limiter les aller-retour et permettre les explorations plus lointaines ! Bravo, les dev’ !
Quant à ma participation au jeu, j’en suis maintenant à 609 heures.
Après avoir repris un temps mon ancienne partie afin de poursuivre l’exploration souterraine à partir de ma base, ce qui m’a permis, non seulement, de cumuler les ressources minières, de découvrir plusieurs donjons, j’ai également créé – mon exploration me menant très loin -, des ateliers – carrefour, à partir desquels je pouvais rayonner.
A ce propos, si vous adoptez le principe, n’oubliez pas de les doter de points d’eau – outre
les sources de nourriture, c’est ce qui manque le plus en sous-sol -.
Actuellement, ma base n’apparaît même plus sur la carte de surface et je suis en zone non encore explorée en surface : Voyez mon marqueur de position en haut, à droite :
Une fois la bonne profondeur acquise (il faut descendre très bas), vous rencontrez nombre de donjons et grottes, tandis que vous cumulez les ressources, tout en vous déplaçant rapidement, les chemins étant pavés au fur et à mesure…
Ca m’a permis aussi de m’apercevoir que nombre de donjons ne sont pas reliés à la surface et ne peuvent donc être découverts par l’exploration commune de grottes à partir de celle-ci.
Malheureusement, dans cette partie ancienne, j’avais exclu à la création du monde, nombre d’animaux et suis donc revenu à celle-ci – celle que j’avais lancée pour le guide…
Deux dernières captures d’écran pour vous illustrer ce qu’est devenue ma petite mare d’origine, à l’espace rikiki :
17/06/18 :
Lors du chapitre de la construction, j’avais conseillé de bâtir les fondement de la toiture sur les côtés les plus étroits de votre future habitation…
Ici, j’ai fait l’inverse, avec une maison que j’aurais voulue un peu plus bucolique, la destinant au forestier / sylviculteur, genre “chalet suisse”, toute en bois excepté le pavage du rez-de chaussée et le mur de fond.
L’embêtant, c’est que pour “étaler” la toiture, il faudrait des demi-rampes (même profondeur, même largeur, mais demi-hauteur : on obtiendrait ainsi une pente de toiture réduite de moitié – 22,5 au lieu des 45°, ce qui permettrait d’allonger grandement la façade), afin de pouvoir les combiner avec des blocs et demi-blocs déjà existants…
Je suis néanmoins assez satisfait du résultat… J’avais aussi parlé de l’éventualité de prolonger la toiture par un auvent : en voici l’application, avec une zone couverte en terrasse.
Un avantage de ce type de construction adossée à une muraille, c’est que salle(s) de bain, cheminée pour âtre, voire dépôts peuvent être creusés à même la muraile sans empiéter sur l’espace habitable.
Dans un dépôt creusé derrière cette maison, j’ai construit, sous soupirail, un puit, non pas de 6 ou 7 échelles comme dans ma première partie, mais d’une trentaine par paliers de 4 ou 5, afin d’atteindre une bonne profondeur de départ, et suis en train d’aménager une nouvelle base souterraine pour le minage et la fonte des minerais… Je devrai probablement encore descendre plus bas par des escaliers, mais j’espère en limiter ainsi grandement le nombre…
19/06/18 :
A ce propos, les chutes d’échelles, avec jambe cassée sont de plus en plus courantes… Quoiqu’ayant limité le nombre d’échelle à 4 ou 5 entre chaque palier (6), aménagé avec nécessaire de soins, nourriture consistante et matelas, il semble que le sommeil ne répare pas…
Pourriez arranger ça, les dev’ ? Parce qu’il n’y a pas grand’chose à faire dans un espace confiné…
S’il vous arrive de me lire, merci d’avance.
Dernières nouvelles (2)… Placement des taques de puits et des échelles
En ayant moi-même plus qu’assez des dégringolades et jambes cassées, j’ose espérer que ce chapitre va vous aider à en limiter le nombre, …”parce qu’il y a des trucs à connaître”, pour les éviter au mieux :
D’abord, le sens d’ouverture de sa partie moblie de la taque, va dépendre de l’orientation de la marque qui est sur le pourtour… Cela n’a pas grande importance, puisque celle-ci glisse même à travers les murs…
“CASSAVANT” à 12 heures : elle s’ouvre vers vous – C’est râté : elle était à 11 -.
Bonne nouvelle : les taques / soupiraux sont, depuis mon nouveau passage sur le jeu (déc. 2018), elles aussi récupérables après placement par un Shift +F; mais – ATTENTION ! – pour les positionner, j’ai cru qu’il suffisait dorénavant d’utiliser la grille, mais ça déconne à fond… Le seul moyen de bien la positionner, c’est ceci :
Quatre blocs en guise de guide, qu’on détruit par la suite… – HELP les Dev’ !!! –
Il faut savoir aussi que vous ne devez positionner votre taque que sur un sol déjà pavé. Une fois placée, vous l’ouvrirez pour en enlever le pavage (quatre blocs) puis passerez à la finition :
DYSFONCTIONNEMENT MAI 2021: Il faut Il faut enlever trois blocs sur 4 pour pouvoir poser la taque !!! Elle ne se pose plus sur un sol intégralement pavé !
Je l’ai déjà signalé, ce type de bloc – tout comme la rampe – peut se placer verticalement : Shift + Touche directionnelle Haut (1 fois), puis vous utilisez les touches directionnelles sans le Shift pour l’orienter correctement…
Maintenant que vous avez une taque cellée correctement dans votre pavage, vous allez creuser le sol afin de placer votre échelle :
Et c’est là que ça foire :
Votre échelle est de traviole et, comme vous avez pu l’apercevoir sur l’image précédente, vos barreaux ne sont pas apparents, mais partiellement dans les blocs : Très difficile de poser une échelle dans le bon axe! Et il est très important de poser la première correctement, puisque les suivantes vont s’aligner sur celle-ci… (comme le suggère le prolongement proposé par l’échelle verte – ici en hauteur et non vers le bas)
Bien sûr, la pose serait plus aisée si le soupirail était dans un coin, avec un mur en face de vous :
Mais là, vous allez vous heurter à un autre problème, qui occasionne beaucoup de chutes….
Pour la descente, pas trop dangereux, à condition qu’avant d’aborder celle-ci, vous placiez votre viseur non pas sur l’échelle, mais au-dessus : sur le sol ou sur le mur (mais à déconseiller, le mur : nous allons voir pourquoi…)
Imaginer la remontée…Vous allez sortir le dos à la direction que vous devez prendre pour atteindre le sol ferme !
De plus, vous initiez une sortie – tout comme une montée – par la touche “Espace”, qui correspond à un saut… – tout en utilisant de concert la touche “Z” de déplacement avant, voire éventuellement la souris pour orienter votre sortie s’il y a un mur en face…
– Plutôt scabreux ! –
Alors comment placer facilement une échelle dans un puit sans mur à proximité ?
Un truc tout bête, mais “Fallait y penser” ! Du puit, une fois sa maçonnerie de base faite, vous fixez une première échelle à l’extérieur – sur le sol – (Observez les bouts inférieurs de l’échelle en les positionnant au mieux avant votre clic droit pour le placement) et n’avez dès lors plus qu’à aligner votre échelle de descente sur celle-ci… Après quoi, “Shift” + “F” appuyé : Vous récupérer l’échelle extérieure :
Une fois la première échelle posée, vous n’aurez plus qu’à continuer à creuser en mettant en place la maçonnerie au fur et à mesure, et en alignant bout à bout les échelles, celles-ci se plaçant même au-delà, en contrebas, du sol creusé :
Les chutes à répétitions m’ont obligé à modifier mes six paliers de descente vers ma base souterraine de minage et d’exploration (sept en comptant mon arrière-salle de départ), d’abord en reculant mes murs de deux ou trois blocs afin de permettre une sortie sans changer de direction et ensuite, en remontant les plafonds à six ou sept blocs de hauteur, puisque vous sortez par un saut.
Depuis, plus de problème – et même plus mal à la caboche -.
Ces paliers, je les avais construits toutes les quatre ou cinq échelles, afin de limiter les dégâts des chutes et d’avoir de quoi me réparer (table de nuit dans une alcôve), ce qui, dans leur conception originelle, n’a pas empêché les jambes cassées…
Si j’y ai placé des matelas afin de pouvoir me reposer d’une chute, il semble que le sommeil ne répare pas – à moins peut-être de sortir et relancer le jeu (une seule expérience concluante par le seul fait du hasard…) -.
Je n”ai malheureusement appris que par l’expérience et c’est la raison pour laquelle je partage avec vous cette matière peu évidente, sinon particulièrement casse-gu…
J’en profite pour renseigner un petit truc utile pour une matière proche, parce qu’également souterraine : Avec la pratique, je me suis vite aperçu de l’utilité de tracer le parcours souterrain et, pour cela, j’emploie des points de couleurs : points blancs pour le tracé lui-même, points verts pour les donjons etc, cercles plus larges pour les ateliers-relais… – ce qui me permet de les visualiser directement sur la carte de surface et de me diriger.
Malheureusement pour poser ces marques, il faut que la carte ait été explorée en surface, ce qui n’est pas possible quand on est sous les fonds marins… Hep’ les dev ! Je sais pas nager, moi : M’faudrait un bateau… une bête chambre à air à la limite, un matelas pneumatique comme sur la Costa del Sol… Allez, me contenterais même d’une bouée-canard : ça sera plus dans l’esprit de votre catalogue…
Nous allons donc clôturer ici ce guide par le petit album d’au-revoir qui suit : Je crois avoir fait le tour de bien plus que l’essentiel…
De mon côté, je pense me consacrer un peu à d’autre jeux…
Bon(s) jeu(x) à tous et au plaisir de vous lire !
Album d’au-revoir, histoire de vous donner des idées peut-être…
Ici quelque capture d’écran de ce qu’est devenu mon chalet de forestier (2 étages – atelier et cuisine en rez-de-chaussée), y ayant adjoint en quelques jours réels de jeu un jardin, creusé à même la roche et comblé au dirt, un verger, deux “pavillons” en poutres, blocs et rampes de bois en guise de tuiles – pas évident, car les blocs ont tendance à pénétrer les poutres, quoique d’une section correspondante (sauf aux zones de croisements de poutres … et encore ! – Help ! les dev !!! -), et un local creusé à même la roche pour accueillir toutes les essences forestières et fruitières (rampling/boutures) et, accessoirement une moyenne fonderie à 24 emplacement pour les éventuelles découvertes de surface.
Ce chalet – et son complément souterrain de minage – constituent à présent une unité autonome, avec toutes les stations utiles et un jardin pour alimenter la base souterraine de minage, complètement installée, avec cuisine, atelier, local de stockage, deux appartements, déjà plusieurs donjons découverts et de nombreuses ressources exploitées.
Quelques vues d’ensemble des jardins et pavillons, dont l’un avec un stockage de semences :
Un appartement de ma base de minage et vue de l’autre sur le paysage souterrain :
L’exploration minière interrompue par le passage d’un donjon :
Et enfin, des captures issues de ma précédente partie, avec une réalisation dont je ne suis pas peu fier – un donjon fait de deux tours séparées par un double pont-levis, ce pont-levis étant le seul accès à la seconde tour, avec, en surplomb de celles-ci, entre elles, deux étages, seulement accessibles de la seconde tour, dont un atelier en pierre de sable au-dessus d’un vaste appartement – :
Pour amateurs de PVP, si une bête pioche ne suffisait à percer un mur en quelques secondes, ce truc serait imprenable, d’autant plus qu’intégrant mini-jardin – comme vous pouvez le voir sur la première illustration, nombre de sous-sols, réserves et, aussi, base d’exploitation minière souterraine…
Cette forteresse est en surplomb de la maison dont j’ai déjà illustré l’intérieur dans le guide. Ce sont également deux unités indépendantes, la maison disposant de bien plus grands jardins et vergers en outre de plusieurs plantations forestières…
Une petite anecdote pour terminer : un jour, étant parti de ma base souterraine, je me suis égaré dans un réseau de grottes en n’ai eu d’autre choix que de creuser pour remonter à la surface… Après une interminable creusaille, le nez sur la roche, j’ai enfin fait surface, mais tout n’était pas résolu, car quand je suis rentré à ma base… Le pont-levis côté habitation était LEVÉ ! Crénom ! Dû percer les murs au marteau-piqueur pour réintégrer mes pénates…
Et puis réparer les trous, bien entendu.
J’aurais aimé pouvoir passer l’une ou l’autre de ces réalisations en serveur, la solitude lassant, mais je ne suis pas assez fortiche en anglais…
Si quelqu’un pouvait m’expliquer, voire traduire la procédure, ce serait quand même plus marrant à plusieurs…, d’autant plus que dans chacune de mes deux parties, il y aurait de quoi accueillir et occuper une bonne douzaine de joueurs… Sinon, une nouvelle partie à plusieurs francophones pourrait aussi être fun…
Contact soit sur Steam, en commentaire du présent guide, soit plus facilement sur [email protected]
Décembre 2018 : Merci à deltaone pour la vidéo explicative YouTube – Lien dans commentaires
décembre 2018 : dernières nouvelles 3
– Je le répète ici : Attention ! Pour le placement des soupiraux / taques, grille ou pas grille, ça déconne à donf’. J’ai expliqué le seul moyen fiable dans le chapitre dans dernières nouvelles 2, essentiellement consacré aux puits et placement d’échelles et taques. Référez-vous y, sans quoi vous allez vous arracher les cheveux…
– Plus embêtant : plus possible de placer un échafaudage en deuxième étage à partir du sol (première photo). Ceux-ci se positionnent toujours sans problème en latéral, même dans le vide (deuxième photo).
Pour pouvoir positionner un deuxième étage, il faut impérativement grimper le premier escalier (à droite sur la photo) et, à partir de celui-ci, placer le second sur une plate-forme normale attenante. Et encore ! Il faut pas mal tâtonner…
Il faut en plus que ces premiers étages soient placés tout contre le mur, ce qui ne facilite pas une descente déjà périlleuse…
Je rappelle : Surtout, ne rien avoir en main, ni pour monter et encore moins pour descendre… Ménagez donc une case du menu rapide vide et sélectionnez-la.
– Pour les montures, pour seller, ce n’est plus la touche de fonction, mais, après avoir placé selle et fontes dans les emplacements rapides, et avoir sélectionné l’adéquat par 1 / 2 / 3 / 4 ou 5, le clic droit qui va placer l’objet sur la monture.
Je crois avoir oublié de le préciser, mais pour équiper une monture, d’abord la selle, puis les fontes. Pour déseller, d’abord vider les fontes, puis l’inverse : fonte et puis selle par un “Shift” + touche de fonction.
Petite amélioration graphique : lorsque vous sélectionnez votre emplacement de menu rapide à utiliser, le menu rapide, voire l’emplacement utilisé, qui reste affiché, apparaissent en haut à droite de votre écran.
– Trois nouvelles apparitions dans les menus :
– Dans le workbench (table de travail de base) : le canot en bois une personne (rubrique “Boats”) et la canne à pêche (rubrique “Utilities”). Ce canot en trois kits prend donc trois places dans votre inventaire et doit être apparamment monté sur place. Fabriqué mais pas encore expérimenté.
La canne à pêche va – je l’espère – enfin nous permettre de varier quelque peu les menus…
– Dans le Workbench Tier II (celui oû on peut faire les ampoules et lampes – le plus évolué -), vous allez trouver, dans la même rubrique “Boats”, le canot pneumatique 4 personnes à moteur.
Moi qui me serait contenté d’une bouée canard, suis gâté…
J’avais repris le jeu à partir d’une base que j’avais entamée sur un site similaire au précédent, mais plus ambitieuse, avec l’intention de reprendre le système de double pont-levis entre tours.
Mais avec les changements, dont la pêche – que je suis impatient d’expérimenter, tout comme la navigation, j’ai l’intention d’abandonner provisoirement ce site et y ai donc aménagé au plus vite une seule tour avec habitation et atelier, dont je viens de terminer la toiture.
Je pars donc bientôt à l’aventure en me dirigeant vers un biome comprenant mer et falaises, avec ma mule, le temps de fabriquer toutes stations de travail utiles et bien sûr canne à pêche, canot et une bonne provision de blocs, dont je vais la charger…
Pratique d’avoir ressources et matériel pour entamer une nouvelle base !
Je vous envoie des cartes postales…
Voilà ! L’avancement de ma nouvelle base rien qu’avec le contenu en blocs des fontes de ma mule – qui, par ailleurs, s’est empressée d’aller se noyer, alors que je l’avais laissée loin de l’eau -. Heureusement, elle était déchargée et désellée. Faites attention, car ce n’est pas la première fois que ça m’arrive : mules et chevaux ont des tendances suicidaires dans ce jeu, que ça en devient obsessionnel… Et pour en retrouver une, c’est la joie !
Je me bien entendu empressé de monter la barque, mais pas très pratique la barque, pour une simple raison, à laquelle j’aurais dû penser : en ramant, vous tournez le dos à votre direction.
Diriger : “Z”, “S”, “Q”, “D” – Monter : “F” – Sortir “ESC”.
Je crois avoir emporté les ressources pour faire le canot gonflable… – Suite au prochain épisode…
Utilité aussi de construire un quai comme illustré dans la deuxième photo, parce que lorsque vous faite “ESC”, vous sautez on ne sait pas très bien où… et si la profondeur est trop grande, vous ne pouvez viser, du fond de l’eau, la coque du bateau pour le réintégrer par un “F”, ni sortir par des berges parfois trop abruptes. Donc escalier et quai sous l’eau, mais vous permettant d’avoir pieds.
Pensez à agrandir l’image…
Pas d’amarre au canot, mais apparamment, il ne dérive pas…
En ce qui concerne la pêche, dans l’état actuel du jeu, pas besoin d’appât. Et vous vous faites vite une bonne provision de poissons à griller… Prises du jour : poissons-chat; perches et saumons (il y aurait six sortes de poissons), mais aussi une paire de vieilles bottes, régulièrement des arêtes (sans utilité – à moins qu’on puisse un jour en faire de la colle), et un sac contenant une fusée éclairante.
Voilà le canot 4 personne…
Je n’ai pas percuté tout de suite, mais voilà le moyen de s’en servir :
“F” (touche de fonction) sur le canot : Monter à bord
“I” démarre / arrête le moteur
“E” Avant / Arrière
“Z” Avancer / Accélérer
“Q” et “D” Aller à gauche / à droite
“X” Changer de place
“ESC” Sortir = Sauter à l’eau (Blub !)
Dommage qu’on ne puisse accéder à l’inventaire, ni à la montre ou à la boussole, ni se nourrir, ni pêcher une fois dans le canot…
Encore quelques conseils utiles…
Plutôt que de multiplier les descentes en grottes, leur recherche et les déplacements multiples, j’ai décidé – avant même de peaufiner ma nouvelle base – de construire sous celle-ci des puits en enfilade avec paliers. Je ne suis qu’au – 1, mais la pratique me fait vous donner quelques conseils, dont certains que je n’avais pas pensé appliquer auparavant…
D’abord qu’emporter en descente ?
Vous pourrez remarquer dans mon inventaire (agrandissez les images) que j’emporte des lampes murales, un blockbench (qui me suivra au fil de mon avancement), un lot de caisses (comme les lampes, on peut aller jusque 8), de la nourriture dont essentiellement des pastèques, qui abreuvent aussi; poulets ou longes de porc qui requinquent fortement en cas de chute), un nécessaire médical (dont des attelles (jusque 4 par case) en cas de jambe cassée, taques pour les paliers, et, bien sûr, un bon lot d’échelles.
Sur la seconde photo, vous pouvez voir une veine de charbon : ce ne sera que la troisième veine que j’exploiterai pour ce palier… Tout cela, plus les pierres, ça plombe vite un inventaire. De là l’intérêt d’emporter blockbench et coffres qui pourront vous suivre dans la descente, tandis que vous transformerez les pierres au fur et à mesure en blocs ou pourrez délester votre inventaire dans un coffre pour remonter charbon et minerais.
Un autre truc pour décharger vos inventaires, mais en surface cette fois :
Quand vous partez en expédition, pensez à emporter un rack de tannage et un couteau de chasse : les peaux récoltées encombrent vite un inventaire, alors qu’il suffit des les tanner à l’étape pour fortement délester celui-ci (jusqu’à 16 cuirs par case !) – Deux cases employées, mais qui vont en libérer bien d’autres… –
décembre 2018 : dernières nouvelles 4
(suite) …N’oubliez que vous allez creuser, donc recueillir de la pierre, tout en veillant à toujours garder une case vide dans votre menu rapide (ici la quatrième), sans quoi vous augmentez fortement vos risques de chute – Règle cent fois répétée : rien en main, ni pour monter ni pour descendre ! -.
Un petit conseil en plus : Ne tardez pas à construire un enclos pour vos montures… A la troisième mule disparue ou noyée – mais les chevaux sont tout aussi suicidaires dans ce jeu – (deux jours de jeu pour en retrouver une), j’ai mis la priorité sur cet enclos :
A l’expérience, il semblerait que non déséquipé (selle et fonte), cela n’arrive plus…
Vous pourrez remarquer dans le coin supérieur droit que j’ai déjà implanté mon petit bois de peupliers (qui voisine une forêt de chênes naturelle); j’avais amené 29 ramures d’une ancienne base, puis récolté quatre de plus en allant chercher une seconde mule, tout en en ayant profité pour faire provision de boutures pour le futur jardin et de ramures diverses, dont citronniers, pommiers, cerisiers pour le verger…
Après avoir bûcheronné celle-ci et repiqué, je peux espérer pour le moins en doubler le nombre : c’est l’avantage du peuplier – il prend peu de place; c’est sans conteste le moins encombrant et le plus rentable (7 bûches) et repousse très vite -.
Le bois et la pierre s’épuisent allègrement quand on construit et aménage… Une source de pierre et de bois à domicile, c’est donc le super-luxe. En plus, ici, j’ai le poisson, mais des trois espèces que j’ai pêchées, seul le saumon nourrit bien.
Dernière nouvelle : En passant le râteau pour aménager cet enclos pour les montures, j’ai trouvé un ver de terre, un lombric… Depuis lors, aménageant petit à petit un potager, j’en trouve régulièrement, mais ils n’apparaissent qu’à l’usage du râteau sur du dirt normal, pas de la binette.
En fait, après l’avoir expérimenté, il suffit d’avoir le lombric dans son inventaire et pendant trois ou quatre tours, le rythme des prises s’accélère; mais ça n’influe en rien sur leur variété ou leur qualité, puisque j’ai pris essentiellement des arêtes de poisson…
Je viens de réessayer de pêcher avec sept lombric cette fois au lieu d’un… Ce n’est pas sept fois trois tours de prises rapides ! Ils disparaissent très vite de l’inventaire. Dans la pratique, ça ne sert quasiment à rien.
Par contre si, dans les deux sacs pêchés, j’ai trouvé une attelle et …du sulfure, je n’en ai pas encore découvert le moindre filon, même à près de 200 mètres de profondeur (12 paliers de 5 échelles)… Juste deux et six dans deux donjons sur quatre découverts jusqu’à présent.
Quant à ma plantations de peupliers, après deux récoltes et avoir fauché et replanté, j’en suis à près de 130 exemplaires. Récolte suivante : 259 ramures, toutes repiquées.
Mon jardin comprend maintenant 15 parcelles, dont trois consacrées provisoirement au coton et je viens de planter le verger.
Dès que je redescends, je pense aux cartes postales… – Quoique j’aie peur de vous lasser, en donnant la préférence plus au côté “chronique” qu’au pur aspect “guide” – les deux, pouvant néanmoins profiter l’un de l’autre, à mon sens…, mais dans une juste mesure.
Si j’affectionne néanmoins ce profil “chronique” en parallèle, c’est parce que j’estime qu’il illustre bien mieux; il nécessite néanmoins de le lire, parce qu’il intégre parfois des informaions indispensables telles que la pose de taques (aux nouvelles 2), ou bêtement ici les poissons pêchables et leurs usages, les différences entre différents biomes ou les priorités de ressources pour les nouvelles bases…
Un bug m’ayant planté un bloc dans ma dernière vitre, j’ai été obligé d’aller monter ma tente en bord de mer, afin de faire provision de sable…
Entendons-nous bien : Cet espace d’eau, bordé de sable et de palmier est bien une mer, contrairement à l’espace d’eau bordé de rochers découpés et falaises et comprenant entre autres bois de chênes, voire de cônifères.
Quelle importance ? D’abord les ressources, bien moins importantes dans le premier biome (minerais, pierre, bois) et ensuite, le fait non négligeable que celui-ci est une mer, avec de l’eau salée – non buvable – et que le second est un lac, avec de l’eau douce, donc potable.
Important dans le choix d’une implantation de résidence…!
Bien sûr, j’en ai profité pour tester la pêche dans ce biome moins accueillant – mais bien proche d’autres, puisqu’il se résume à une bande de sable plus ou moins étroite – et, effectivement, il y aurait bien six sortes de poissons, la mer recelant trois autres types : harengs, plies et thon, le thon étant la prise la plus rare et probablement la plus nourrissante.
Si la pêche de vieilles bottes semble plutôt exceptionnelle dans ce biome, par contre, j’ai renoncé à compter le nombre d’arêtes de poisson rejetées…
Pas mal de sacs pris en début de pêche, avec des contenus intérressant (sulfure, chargeur, …)
Pour ceux qui ne s’y étaient pas encore essayés, vous voilà donc renseignés…
Dernier détail : les thons mettent certainement autant de temps à cuire que les longes de porc (ribs); on pourra fort probablement les classer, tout comme les longes et le poulet, dans les nourritures particulièrement revigorantes en cas de chute… – A vérifier…
Deux oublis uttiles à signaler, depuis les dernières MaJ :
– Pour les vêtements, apparaissent maintenant des taux de protection, dont l’insolation;
– Pour les alertes faim / soif, apparaissent des pourcentages restants, ce qui est quand même un peu plus éloquent que de se retrouver dans le rouge sans s’y préparer…
Petit bravo aux Dev’ : la faux ne bloque plus sous les branches basses…
Et un bug de plus en plus courant – je dirais même régulier – : vos flèches et coups ne portent plus (Les flèches que j’ai pu gaspiller ainsi…!).
Pas grave : Dès que ça commence, vous sortez et laissez la sauvegarde Steam se terminer avant de rentrer et tout reprend nickel`.
Un autre, qui ne porte guère préjudice, mais est embêtant : lorsque vous passez un objet de votre inventaire à l’onglet d’une caisse, celui-ci s’entête à changer tout seul pour se positionner sur un vide – Exaspérant quand on veut mettre le fer avec le fer, les nouilles avec les nouilles…
– Même remède !
Dernières nouvelles 5 – Appel aux Dev’
Xième APPEL AUX DEV’ + Dernière réalisation :
HELP, LES DEV’ !!! …Et ce n’est pas la première fois que je suggère … !
A quoi bon cultiver carottes, potirons, etc. qui ne nourrissent presque pas… Cette fois, j’ai été à deux doigts de limiter mes cultures au “melon d’eau” (qui, verts, ne peuvent être que des pastèques – erreur de traduction ? – tout comme des betteraves sucrières qui ressemblent plus à des navets, qui telles quelles ne se mangent pas et ne sont destinée qu’au bétail ou à la fabrication de sucre…
– un filon de plus à exploiter : sucre, sel, …piments – chilis – = poivre ? -).
Quand vous déciderez-vous à donner un réel plus au jeu en innovant un système de recettes roboratives ? – …Au lieu des seuls boeuf-poulet-longe de porc (ribs)-thon éternellement grillés? sans aucune variante – ?
A quand casseroles, pots-au-feu, soupes, etc. ?
Que la culture – et les vergers – prennent un peu de sens, s’il-vous-plaît… ! A quoi bon cultiver ?
En outre, des recettes découvrables seraient une motivation de plus…
De même, l’essentiel du gibier ne donne pas de viande – et pourquoi ? – Imaginez un peu de variété : Vivre en savane n’offre pas de ressources… ! Et ce n’est pourtant pas le gibier qui manque ! En forêt, quasiment pas, mis à part le sanglier : du civet de biche, ça se cuisine !!! …du lièvre, aussi i
D’accord, pas tous ne devraient donner des composants cuisinables ! Mais du moins, un minimum permettant de survivre dans plus de biomes…
Idem pour les peaux ! On ne peut faire des descentes de lit que de peaux d’ours bruns ! Pourquoi ne pas imaginer des éléments décoratifs avec des peaux de tigres, des descentes de lits d’ours blanc, etc. – C’est lassant, dans le sens où ça ne permet pas de varier, voire d’assortir les intérieurs.
Vous avez des fauteuils en peau de tigre – ou léopard, d’après l’aspect – , mais la peau de tigre / léopard n’est pas un composant ! Vous ne pensez pas que c’est sous-exploiter le jeu ?
Et pourquoi pas des bibliothèques garnies – ou, mieux encore, garnissables -, au lieu de ces meubles désespérément vides…? – qui ne servent à rien et tels quels, ne décorent même pas.
On découvre bien des disques dans les cabanes abandonnées, pourquoi pas des livres (des livres comprenant une recette de cuisine ou une technique de craft, par exemple, seulement accessibles par la découverte de l’item…), dont on pourrait décorer ces bibliothèques ? – Et/ou dans des donjons ! –
Ca pourrait booster le jeu…
Et que dire de l’élevage… ? Si on pouvait capturer vache et poules au lieu de les bouffer, les chèvres aussi, ça donne du lait… Lait (beurre), oeuf, comme ingrédients supplémentaires… Encore une idée à développer et je suis pas d’être le seul à l’avoir suggéré…
Vous ne vous apercevez pas que les serveurs sont déserts ? Je n’y ai jamais rencontré personne, et ce n’est pas en introduisant la baston dans le jeu que ça va y changer quelque chose.
Visez plutôt le côté survie et collaboration : ça changerait de l’ordinaire.
Quelques innocentes suggestions… Mais depuis le temps, je désespère …presque !
…Pourtant, certaines de celles-ci (bateau, pêche), sans avoir eu d’écho épistolaire, ont jusqu’à présent eté prises en compte (?!)
Et un truc que je ne comprends pas…
Pour les vêtements, il y a des taux d’insolation et de protection…
Protection, je suppose que c’est pour le combat, mais quand je vois une veste d’hiver avec un taux d’insolation supérieur, je comprends d’autant moins qu’on a maintenant un thermomètre qui vire au bleu ou au rouge, selon qu’on a froid (biome gelé) ou chaud (désert ou près d’un feu).
Pourquoi pas alors des taux de protection chaud / froid ? – Mais que serait censée représenter l’insolation ? …puisqu’elle existe d’une façon indistincte tant pour les vêtements d’été que d’hiver : Je ne vais pas être obligé d’enfiler ma doudoune dans le désert pour bénéficier d’une protection de 300 contre l’insolation… ?
Bon ! Je clos le chapitre et passe à autre chose :
Dernière création : une mini-pêcherie sur le littoral sableux, histoire de s’approvisionner en thons et autres poiscacailles pour la bouillabaise (mais j’ai pas encore la recette…) :
…avec, à gauche, ma première récolte de melons d’eau (clic gauche sur l’image)
Le truc pour cultiver dans des sols non compatibles ? – Une “piscine”, dont vous n’oublierez pas de paver le fond !!!
– Pourquoi ? Parce que ce fond pavé vous évitera de dégringoler plus bas, du haut de quelque puit de caverne, ou vous avez toutes les chances de vous viander douloureusement…
Et oui ! Ce bug est toujours bien présent et rédhibitoire ! Même avec une binette, je me suis retrouvé sous terre à plusieurs reprises… N’oubliez donc pas d’avoir toujours de quoi creuser et vous soigner dans votre inventaire (pioche ou marteau-piqueur) !!! – Ca vous arrive n’importe quand, sans que vous puissiez le prévoir.
Sans rien pour creuser, vous pourrez considérer que la partie est finie, car il ne vous restera même pas l’option suicide.
A moins, par la console peut-être… (?) – Si quelqu’un connaît une commande permettant d’en sortir (“debug” peut-être… ?), son conseil est le bienvenu -.
Un truc aussi que j’ai déccouvert dernièrement : on peut fabriquer, à partir du blockbench, de dirt et d’une binette (que vous récupérez après fabrication), des blocs de culture; dès lors, une piscine d’un bloc de profondeur suffit. Si l’aspect est un peu différent, c’est une solution sans risques, puisqu’on n’a plus à biner.
Une autre solution que j’expérimente avec succès, c’est de ratisser préalablement le sol jusqu’à l’égaliser parfaitement, de l’entourer d’une bande pavée et de biner à partir de celle-ci. Dès lors, on n’a plus besoin de “piscine” que dans un biotope non compatible (sable, par exemple)
…Et quand je dis qu’elle est petite, ma pêherie :
Pour la chambre (deux matelats), j’ai été obligé d’employer des planches plutôt que des blocs, afin que le plancher soit plus bas, et là, je ne peux me tenir debout qu’au centre.
Invitation
Enfin une expérience valable en réseau… J’en suis au quatrième jour de jeu et – ô bonheur ! – dès le second, j’y trouvais un complice… – et quel complice ! une bombe, qui n’a pas fini de m’en apprendre encore…
J’ai donc quitté ma partie solo, dont mon annexe pêcherie illustrée plus haut et ma dernière base, tout-à-fait terminée à présent, y compris son annexe de minage à environ 200 m de profondeur :
La maison du jardinier et vue de sa terrasse sur les jardins et la maison principale :
Et cela, pour ceci :
Ca avance, mais je crois que nous accepterions volontiers quelqu’autre amateur d’une aventure en commun, doté d’un minimum d’autonomie et de convivialité…
Une expérience, dont je m’estime personnellement très satisfait.
Contactez-moi donc à l’occasion.
Allons bon… Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ?
…plus d’orientation souris; les menus s’ouvrent toujours dans le bon sens, le perso peut se déplacer, tout faire – sauf monter sur la mule (il ne peut pas la sélectionner, puisque plus d’orientation souris), tandis que chaque partie chargée renvoie à cette position…
Encore une partie abrégée d’une façon originale.
Heureusement, ce n’est pas sur le serveur que concerne l’invitation et que j’avais délaissé un moment pour le plaisir d’une partie nouvelle, avec ma petite hache de pierre pour tout bagage dans la nuit froide et ces premières heures de jeu, dont nous avons tous un jour ou l’autre la nostalgie.
L’apprentissage partagé:
Le multijoueur est bien plus agréable, d’autant plus que nous apprenons l’un de l’autre : Fini les puits d’échelles – 12 paliers de 5 échelles pour atteindre seulement 227 m ! – On creuse, on élargit, on rehausse, on fait des escaliers à limite et cela permet de descendre à dos de mule… Oui, à dos de mule.
Ainsi nous avons atteint une immense grotte à 680 m de profondeur, qui nous menait à plus de 700 mètres;
Il faut savoir, par exemple, qu’il est rare de trouver une veine de sulfure avant 300 mètres…
Et que dire des créations “architecturales” où les expériences partagées et la concertation sont un bénéfice pour chacun…
Un regret cependant, c’est que la majorité des serveurs, s’il en existent quelques uns en PVE, je n’en ai pas encore rencontré un seul qui soit en modes pacifique et c’est marre de me retrouver avec une mule bousillée en pleine cambrousse, avec la majorité de son inventaire perdu, puisqu’il est le plus souvent impossible de tout récupérer dans l’inventaire du personnage…
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Actuellement (19/09/2019), je suis sur le serveur FR PVE LBS – Avis aux amateurs;;;
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08/2020 :
Un conseil, que je pense ne pas avoir renseigné dans ce guide :
Si vous n’avez pas encore trouvé d’or en minant (rarement au-dessus des 200 ou 300 mètres de profondeur – je viens d’en trouver à – 120 mètres, mais c’est exceptionnel), pensez à visiter les pyramides : elles en recèlent souvent et vous récolterez généralement largement de quoi crafter votre premier marteau-piqueur (mining drill).
Rappel : Pour connaître la profondeur atteinte, F3 puis consultez “Position :”, tout en haut à gauche … C’est la deuxième coordonnée.
Dernières nouvelles mai 2021
Envie de tester la dernière MaJ, modifiant les matériaux de construction et nouveau jeu – Les débuts sont si gais…! –
Et, ô surprise, j’en ai encore appris en trouvant une “Master Battle Axe” dans une pyramide en début de jeu (je cherche toujours les pyramides : N’oubliez pas qu’on y trouve aussi des lingots d’or, précieux pour votre premier “Mining Drill”, et qu’il faudrait sans cela attendre d’atteindre la profondeur requise pour trouver de l’or).
Cette “Master Battle Axe”, je me suis aperçu qu’étant en outre une des meilleures armes du jeu, elle permet d’abattre les arbres, d’où une case gagnée dans l’inventaire, car plus besoin de hache, voire de tronçonneuse !
Mais je suis loin encore de pouvoir tester cette nouvelle MaJ… Encore rien remarqué dans le menu “Bloc Bench”… Aucun bloc ou matière nouveau me semble-t-il… Il y bien les commandes “item block” / “item construction” que j’ai essayées en console… – Et puis après…? Rien n’est implémenté dans les menus à l’usage du joueur, qui bouffe toujours par ailleurs ses patates crues, la cuisine n’ayant encore jamais été développée, malgré d’apparentes promesses sans suite…
En conclusion, encore l’une de ces MaJ importantes, qui, en fait, ne fera mousser que les quelques devs’ initiés, qui se soucient plus de l’utiliser comme terrain d’expérimentation, que de le rendre accessible, évolutif, plaisant et gratifiant pour le joueur !
Depuis des années, il est malheureux de constater que le jeu semble ainsi se déglinguer, dans le désintérêt total des devs’ pour nos motivations, sans qu’aucun apport réel puisse relancer de quelque façon notre intérêt…
Faut-il en conclure qu’il perdurera éternellement dans l’Early Access et qu’il en devient par là-même l’illustration des abus de ce statut ? A mon sens, oui ! Parce que tous, fervents joueurs, nous attendons depuis des années qu’il évolue et satisfasse, pour le moins certaines de nos attentes… Sans résultat, sinon quelque armure ou babiole hors de propos, anachronique, inutile…
Et, “rien que pour cela”, pour la non-écoute de ses devs’, je modifie mon évaluation en négatif.
Par contre, des dysfonctionnements: la bêta précédente m’avait bousillé mon jeu; celle-ci semble foirer sur au moins six points (*):
– (*) Sans la moindre chute et quoique nourri et abreuvé des plus régulièrement, ma vie diminue régulièrement surtout en grottes, mais aussi en surface, des plus aléatoirement;
– (*) L’indicateur de soif apparaît des plus sporadiquement;
– Les poulets rencontrés ne semblent plus apparaître en groupes…;
– Point positif : il ne m’est plus arrivé que les moutons refusent d’être tondus;
– (*) Plus de “viande de gibier” – sur les cerfs, du moins… – plus qu’une “deer pelt” – Pas encore rencontré d’autre gibier de forêt, à part ours et élans (que je n’ai pas encore chatouillés à ce stade, n’ayant pas encore de lit me permettant de renaître à domicile) et sangliers; quant à la faune brousse et désert, pas encore essayé pour la même raison;
– (*)Depuis cette MaJ, deux parties :
– la première, trois déserts explorés : une pyramide dans deux d’entre eux et le troisième vide de toute pyramide;
– la seconde, toujours trois déserts explorés, une seule pyramide (labyrinthe) découverte, mais vide de tout coffre ! Les deux autres déserts, désespérément vides de toute pyramide.
La moyenne était souvent de deux ou trois pyramides par désert auparavant…, dont aucune vide.
– (*) La pause de soupirail est encore plus ardue: plus question de le poser sur un sol de blocs et de creuser après la pose… Il faut maintenant éliminer trois blocs sur quatre pour pouvoir le poser (chapitre consacré modifié).
– (*) Et bien sûr, des bugs, des morts en surface on ne sait pourquoi… sans même travailler le terrain. ça semble de fait plus courant encore que par le passé et avec encore moins de raisons apparentes.