Overview
Guide destiné à tous afin de connaitre les possibilités des combinateurs pour controler sa production, avoir des alertes en cas de problèmes et créer un réseau ferroviaire répondant à la demande.Une fois toutes ses installations terminées, vous serez en mesure de connaitre vos stocks, passer des commandes d’articles à distances, détecter tout problème par votre réseau principal mais aussi contrôler vos convoyeurs.Factorio et les combinators!! Je dis: Oui!!!Photo à l’appui pour une meilleur compréhension de tous.
Introduction
Bonjour à tous,
Nous allons traiter dans ce guide des possibilités d’obtenir des informations utiles dans un réseau filaire principal à travers un notre réseau ferroviaire dans le cas d’usine délocalisée spécifique. Nos trains fonctionneront sur demande uniquement afin de libérer le trafic. Nous pourrons par le réseau logique principal connaitre tous nos stocks mais pourrons voir rapidement s’il y a un problème sur notre réseau de production !
Puis nous apprendrons à prendre le contrôle total d’une production énergique, pétrolière, ferroviaire et de produit fini.
Nous verrons pour finir comment avoir différents affichage de ses informations.
S’il y a des correctifs que vous pouvez juger utile, je vous demanderai de m’en faire part afin de l’inclure.
Pour toutes questions, précisions, je suis à votre disposition. N’hésitez pas.
PS: Pour tous ceux qui auront laissé un commentaire, je vous ajouterai sur steam pour vous informer des mises à jour du guide. Sans cela, je ne peux connaitre votre pseudo pour pouvoir le faire. Vous pourrez aussi par ce biais me joindre pour tout problème de compréhension ou dans vos installations.
Pensez aussi à une note (les étoiles). Ceci n’étant pas pour ma gloire personnel mais pour facilité la recherche des personnes dans le besoin.
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Vous y retrouverez la possibilité de jouer en multi sur serveur de la commu ou privé, de l’aide diverse, des évènements. Une communauté très active.
Ce guide est en version 1.1.1 mais quelque photo sont encore en version 1.0.0 mais ceci ne dérange aucunement à la compréhension et au fonctionnement.
Sommaire:
1. Le réseau logique.
1.1. Les connaissances de base.
1.2. Las appareils intelligents.
1.2.1. Les appareils intelligents passifs.
1.2.2. Les appareils intelligents actifs.
1.2.3. Les appareils intelligents réversibles.
1.3. Les contrôles logiques.
1.3.1. Contrôle de l’énergie électrique.
1.3.2. Contrôle pétrolifère.
1.3.3. Contrôle d’enrichissement “Kovarex”.
1.3.4. La trieuse intelligente.
1.4. Les stocks sur le réseau secondaire.
1.5. Les limites de production.
2. Le réseau ferroviaire.
2.1. Les connaissances de base.
2.1.1. Les rails.
2.1.2. Les arrêts de train.
2.1.3. Les signaux.
2.1.3.1 Le signal ferroviaire.
2.1.3.2 Le signal ferroviaire chainé.
2.1.3.3 Séparation de voie, jonction de voie, croisement.
2.1.4. Les wagons.
2.1.5. Les locomotives à vapeur.
2.2. Réseau logique et ferroviaire.
2.2.1. Réseau principal d’information.
2.2.2. Optimisation.
2.2.2.1. Optimisation chargement.
2.2.2.2. Chargement sur quai multiple.
2.2.2.3. Optimisation déchargement.
2.2.2.4. Déchargement sur quai multiple.
2.2.2.5. Limite de stock d’un quai.
2.2.3. Information sur le réseau.
2.2.3.1. Les stocks.
2.2.3.2. Les alertes.
2.2.4.1. Un train à la demande (Envoyer au train).
2.2.4.2. Un train à la demande (Activer/désactiver).
2.2.4.3 Train à la demande sans dépôt (multi train).
2.2.4.4 Train de construction à la demande.
2.2.5. Passage à niveau.
3. Réseau logistique.
3.1. Les connaissances de base.
3.1.1. Robotport.
3.1.2. Les robots.
3.1.3. Les coffres logistiques.
3.1.4. Les appareils intelligents.
3.1.5. Logistique personnel et déchargement automatique.
3.2. Réseau logique et logistique.
3.2.1. Les stocks.
3.2.2. Contrôle des effectifs.
3.2.3. Limite de production sans fil.
4. Les affichages.
4.1. Les jauges.
4.1.1. Les jauges fixes.
4.1.2. Les jauges dynamiques.
4.1.3. Les jauges venant d’un signal défilant.
4.2. Les affichages digitaux.
4.2.1. Les connaissances de base.
4.2.1.1. Affichage numérique (niveau débutant).
4.2.1.2. Affichage numérique (niveau expert).
4.2.1.2.1. Base Binaire Décimal.
4.2.1.2.2. Affichage binaire.
4.2.2. Affichages des stocks.
4.2.3. Affichage digital dynamique.
4.2.4. Affichage digital statique.
4.2.5. Horloge.
1. Le réseau logique.
Le réseau logique est la connexion d’un câble logique (rouge ou vert) permettant à des appareils intelligents interagir entre eux par des signaux différents et de valeurs différentes.
Nous avons deux catégories de réseau. Le principal et les secondaires.
Le réseau logique principal aura plus pour mission de transmettre toutes les informations et pour des systèmes logiques simples sans réel influence avec les signaux.
Les secondaires seront utiles pour des systèmes complexes mais aussi pour des systèmes simples dont leurs fonctionnements pourraient perturber le réseau principal ou inversement. Nous devrons donc isoler certains signaux des autres d’un réseau avant de les introduire sur un autre réseau.
Ces réseaux nous permettront de contrôler, améliorer tout appareil intelligent dans leur fonctionnement de base voir même de résoudre certains problème lié à leur fonctionnement.
En somme nous allons prendre un contrôle absolu sur tout ce qui se passe dans notre usine.
Mais pour commencer apprenons les bases simples.
1.1. les connaissances de base.
Qu’est-ce qu’un signal ?
Pour cela, je suis allé chercher la définition sur le Larousse et j’ai pris celle approprié.
Variation d’une grandeur physique de nature quelconque, transportant de l’information et grâce à laquelle, dans une installation, un élément en influence un autre.
Dans « Factorio », les signaux seront toutes les marchandises disponibles mais nous aurons aussi à disposition les chiffres de 0 à 9, l’alphabet et un certain nombre de couleur. Je parle bien de signal et non de la valeur du signal pour les chiffres.
Je peux donc avoir le signal « 1 » et la valeur 1. Ils seront bien différents et j’utiliserai à travers tout ce guide toujours des guillemets pour les signaux alors que je n’en mettrais pas pour les valeurs.
Information importante: La valeur d’un signal est compris de 2 147 483 647 à -2 147 483 648. Le zéro étant aussi une valeur nous aurons bien du coté positif 2 147 483 648 chiffres.
Ceci sera très important pour comprendre le binaire.
Nous aurons aussi des signaux particuliers regroupant plusieurs signaux.
Dans l’ordre, « Tout », « N’importe quoi », « Chaque ».
Tout (Astérix rouge) :
En entrée d’un appareil, il aura la fonction d’un « ET ». Il faudra que tous les signaux qu’il reçoit soit vrai par rapport à la condition.
En sortie, tous les signaux entrant seront appliqué si la condition est vraie.
N’importe quoi (Astérix vert) :
Il ne s’utilise qu’en entrée d’un appareil et aura la fonction d’un « OU ». N’importe quel signal dont la condition sera vraie activera l’appareil.
Chaque (Astérix jaune) :
En entrée, ce signal signifie que chaque signal sera traité de manière séparé et activera l’appareil si la condition est vraie.
En sortie, ne sera utilisable que s’il est également en entrée. Il enverra donc tous les signaux de manière séparé qu’il recevra.
Le signal est transporté par la connexion d’un appareil intelligent à un autre via les poteaux électrique ou non par un câble logique (rouge ou vert).
Pour établir une connexion, il nous suffit de prendre un câble et de relier les deux appareils entre eux. La même opération sur une connexion déjà existante aura pour effet de déconnecter le câble (cela fonctionne aussi pour les fils de cuivre).
Si ces derniers sont trop éloignés, nous pouvons nous servir des poteaux électriques. Si un fil de cuivre se connecte entre deux poteaux, le câble logique peut le faire. La taille du poteau aura donc une influence sur la distance du câble.
Nous avons un câble logique rouge et un vert. Cela nous permet d’avoir sur notre réseau, deux canaux différents pour transporter des signaux communs mais de valeurs différentes.
Cependant en connectant ces deux câbles logiques qui envoient chacun signal commun à un appareil, ces deux signaux s’additionneront. Par exemple j’ai sur le canal rouge, le signal « Plaque de fer » = 30 (sa valeur) et sur le canal vert le même signal « Plaque de fer » = 90. L’appareil recevra leur addition soit « Plaque de fer » = 120.
Nous pourrons par le biais des poteaux électrique visualiser tous les signaux de ces deux canaux connectés. Le canal rouge sera toujours situé au-dessus du canal vert.
Sur le réseau principal, nous nous servirons donc du canal rouge pour transmettre des ordres, des alertes (car peu nombreux), du canal vert pour les stocks (170 marchandises). Si nous avions utilisé les stocks sur le canal rouge, ils auraient par leur nombre effacé le canal vert de la visualisation.
Le traitement d’une ou plusieurs informations s’appelle « Condition » et son temps de traitement est d’un tick.
Nb: 60 ticks = 1 seconde.
Petite astuce: En faisant Maj + Clic Gauche sur un poteau électrique, vous déconnecterez les câbles électriques qui y sont connectés. Un seconde fois les câbles logiques de poteau à poteau uniquement.
Nous pouvons à présent parler des différentes catégories d’appareils intelligents.
1.2. Les appareils intelligents.
Nous avons différentes catégories appareils intelligents :
Ceux qui recevront les signaux dans le but de faire une action. Les passifs.
Ceux qui émettront les signaux dans le but de commander une action à autrui. Les actifs.
Ceux qui peuvent faire les deux indépendamment ou pas. Les réversibles.
Bien souvent nous ne nous apercevrons pas qu’ils sont des appareils intelligents tant que nous ne les auront pas connectés à un câble logique.
1.2.2 Les appareils intelligents passifs
Les appareils dits passif feront toujours l’action qui leur est demandé par le traitement de ou des informations qu’ils recevront. Ils n’auront aucune influence sur d’autre appareil.
Ils auront tous la même interface de traitement, leur condition de fonctionnement comme sur la première photo.
Nous pourrons changer le signe « > » par « < » ou « = ».
Nous pourrons introduire un premier signal dans la premier case.
Dans la deuxième case, nous pourrons mettre un nombre ou un second signal.
Voici la liste de ces appareils :
La pompe côtière.
Débit: 1 200 u/sec
Rien de spécial le concernant.
La pompe.
Débit: 12 000 u/sec
Rien de spécial le concernant.
Le commutateur d’alimentation électrique.
Sous ce nom barbare se cache le coupe-circuit électrique. Sans connexion logique, nous pouvons manuellement basculer son mode de fonctionnement.
La lampe.
La lampe possède un mode de fonctionnement supplémentaire. Elle peut utiliser le signal d’une couleur pour se teinter lorsque la condition est vraie et ce même si les signaux de la condition sont différents de la couleur.
Si plusieurs couleurs sont à son entrée, elle adoptera la couleur dominante.
La couleur dominante se trouve toujours le plus à gauche. Concernant les deux dernières couleurs à droite à savoir le gris et noir, elles ne feront qu’allumer la lampe comme la couleur blanche.
1.2.2. Les appareils intelligents actifs.
Les appareils dits actif émettront un signal en vue d’influencer un autre appareil. Pour la plupart ce sera leur contenu qu’ils émettront sous forme de signal. La marchandise étant le signal et la valeur du stock, la valeur du signal.
Nous retrouvons par conséquent la citerne et tous les coffres (exception du coffre logistique de demande et tampon).
Leur mode de fonctionnement sera uniquement la lecture du contenu.
L’accumulateur.
L’accumulateur peut émettre la charge qu’il possède suivant une valeur allant de 0 (vide) à 100 (plein charge).
Nous pourrons changer le signal de sortie. Par défaut c’est « A ».
Le robotport.
Le robotport collecte tous les stocks des coffres logistiques (exception du coffre logistique de demande) sous son réseau qu’il émettra sous forme de signal et valeur du signal.
Il a aussi un deuxième mode de fonctionnement.
Dans ce mode, il émettra les différents stocks des différents robots contenu dans le réseau logistique. Il nous est possible de changer le signal de chacun.
Ces deux modes de lecture peuvent se faire simultanément.
Le signal ferroviaire chaîné.
Le signal ferroviaire chaîné pourra émettre sur le réseau logique la couleur de son signal. Il est possible de changer la couleur par un autre signal qui pourrait mieux vous convenir.
L’émetteur constant.
L’émetteur de constante peut-être vu comme un coffre virtuel. Il peut envoyer tous les signaux existant (marchandises, chiffre de 0 à 9, alphabet et couleur) de valeur positive ou négative. Il possède 20 emplacements pour cela. Nous pouvons aussi le rendre inactif en basculant manuellement son mode de fonctionnement.
1.2.3. Les appareils intelligents réversibles.
Les appareils réversibles possèdent les mêmes caractéristiques que les appareils passifs et actifs.
Ils peuvent donc recevoir des signaux en vue d’une action de leur part mais aussi en émettre pour influencer d’autre appareil.
L’arrêt de train.
L’arrêt de train pourra être influencé par un signal logique pour être fermé ou influence l’action d’une locomotive.
Il pourra également influencer un système logique par le contenu des wagons ou la présence d’un loco en station.
Le signal ferroviaire.
Le signal ferroviaire émettra le signal de la couleur de son feu en mode « Lire la couleur du feu ». Il nous est possible de changer le signal d’émission de la couleur du feu.
Il peut cependant en ayant coché la case « Passer le feu au rouge » recevoir des signaux pour une condition de passage au rouge.
Les deux modes peuvent être activés en même temps.
Attention: Passer un feu au rouge bloque les signaux de sortie vert et rouge lorsque celui ci est forcé au rouge. Seul l’arrivé ou la présence d’un train enverra le signal de sortie.
Le coffre logistique de demande et coffre logistique tampon.
Etant un coffre, il émet son contenu mais en basculant son mode de fonctionnement, il ne fera qu’émettre au réseau logistique les demandes donné par les signaux logiques de marchandises.
La porte.
Toute seul la porte ne peut servir au réseau logique. En la collant à un mur, un voyant rouge apparait sur ce dernier. C’est à cette endroit que nous pourrons connecter le réseau logique.
Le menu logique de la porte a deux modes de fonctionnement qui peuvent être activé en même temps ou pas.
Dans le mode « ouvrir la porte », nous pourrons en contrôler la condition d’ouverture.
Dans le mode « lire le capteur », seul l’ouverture de la porte émettra un signal « G » par défaut.
Les bras robotisés.
Tous les bras robotisés peuvent recevoir des signaux en vue d’une activation par le traitement d’une condition. Le mode « Activer/Désactiver ».
En cochant la case “Définir la taille de la pile”, nous pourrons définir via un signal logique le nombre d’item que le bras robotisé pourra prendre. Veuillez noté qu’un nombre excédant sa propre capacité lui ne lui fera pas prendre d’avantage d’item.
En cochant la case « Lit le contenu du bras robotisé », le bras deviendra aussi un émetteur. Il est possible d’en faire seulement un émetteur sans condition d’activation en basculant en mode « Aucun ».
En mode de lecture « Unique », le bras robotisé enverra le signal de la marchandise à l’instant où le bras prendra cette dernière. Cependant le signal sera tout de suite interrompu.
Alors qu’en mode de lecture « Continu », il enverra le signal tant qu’il ne l’aura pas déposé.
Il existe un dernier mode. Il ne concerne que les bras robotisé filtrable.
En basculant sur le mode « Définir des filtres » nous supprimons la condition d’activation. Cependant la lecture du contenu du bras reste possible.
Ce nouveau mode permet d’ajouter bien plus de filtre possible que les cases disponible normalement. Nous pourrons donc contrôler les marchandises que nous voulons qu’il s’occupe via le réseau logique.
Nota: L’interrupteur “Seulement/Sauf” est valide pour les filtres donnés par le réseau logique.
Les convoyeurs.
Les convoyeurs peuvent en mode « Activer/Désactiver » bloquer des marchandises si la condition d’activation est fausse.
Ils peuvent aussi en mode « Lit le contenu du convoyeur » émettre le signal de la marchandise.
En mode de lecture « Unique », il émettra le signal de la marchandise à l’entrée du convoyeur uniquement.
En mode de lecture « Continu », il émettra le signal tant que la marchandise sera sur son tronçon.
Les modes « Activer/Désactiver » et « Lit le contenu du convoyeur » peuvent être activé en même temps.
La foreuse.
La foreuse thermique ou électrique pourra être activé/désactivé suivant une condition logique.
Elle pourra également envoyé sur notre réseau son gisement ou le gisement complet du site de forage.
Le chevalet de pompage.
Le chevalet de pompage pourra lui aussi être activé/désactivé suivant une condition logique.
Il pourra également envoyer le “débit attendu” par l’extraction.
Attention: Le “débit attendu” ne prend pas en compte les modules et diffuseurs.
Le calculateur.
Comme son nom l’indique, le calculateur est fait pour ce dont il est appelé. Multiplication, division, addiction, soustraction, modulo, puissance.
Nous avons aussi décalage de bit vers la gauche, vers la droite ainsi que les portes logiques “ET”, “Ou” et “OU Exclusif”.
Il est un élément incontournable dans les systèmes complexes des réseaux logiques.
Il pourra même faire plusieurs calculs en même temps avec « Chaque » à son entrée. En faire l’addition à sa sortie ou en donner des résultats différents pour chaque signal reçu si nous lui mettons « Chaque » également à la sortie.
Le comparateur.
En anglais, il s’appelle « Decider », traduit cela donne « Décider ». Il sera un incontournable des systèmes complexes des réseaux logiques.
La case « 1 » au lieu de « Compteur d’entrée » créera un signal de valeur 1 lorsque la condition est vrai.
Il pourra faire plusieurs comparaisons en même temps.
Il y a tant à dire à son sujet que l’on devrait faire un guide juste pour lui pour en expliquer toutes les possibilités mais je ne m’étendrais pas d’avantage ici.
1.3. Les contrôles logiques.
Avec le réseau logique, je vous l’avais annoncé, nous allons prendre le contrôle de beaucoup d‘installation au sein de l’usine.
Nous allons pouvoir donc régler certains problèmes de fonctionnement et améliorer certain fonctionnement de base à notre avantage.
Nous pourrons également contrôler entièrement nos productions et avoir des alertes liées à ces dernières.
1.3.1. Contrôle de l’énergie électrique.
Contrôle des machines à vapeur.
Les machines à vapeur sont notre première source d’électricité (petit rappel: une pompe, 20 chaudières, 40 machines à vapeur pour 900kW chacune) mais avec le temps, nous avons la possibilité d’installer de l’énergie propre, les panneaux solaires. Bien entendu, ils fonctionnent avec les rayons du soleil, donc aucune production la nuit.
Fort heureusement nous pouvons emmagasiner l’énergie et la restituer avec les accumulateurs (avec le ratio Nombre d’accumulateur / Nombre de panneaux solaires = 0,84). Cependant nous n’exploitons jamais la pleine charge de ces derniers. En effet la nuit les turbines continuent à tourner à plein régime pour subvenir aux besoins de nos usines, donc de polluer et empêchent le bon fonctionnement des accumulateurs.
Avec la logique, nous pouvons prendre le contrôle des turbines à vapeur via les pompes côtières afin d’exploiter la pleine charge des accumulateurs.
Ce montage aura pour but de couper l’alimentation en eau des chaudières pour empêcher leur fonctionnement.
Je vous rappelle qu’en connectant un câble logique à un accumulateur, ce dernier envoie un signal « A ». Sa valeur peut varier de 0 (pas de signal, pas de charge) à 100 (charge max). Nous avons donc un pourcentage que nous allons pouvoir exploiter.
Positionnons donc un accumulateur près de nos pompes côtières et connectons-le à l’entrée d’un comparateur. La sortie de ce dernier sera connectée à la pompe côtière.
Comparateur :
Paramètres : « A » < 20.
Sortie : A (cocher 1).
Pompe côtière :
Condition d’activation : A > 0.
Lorsque la charge de l’accumulateur descendra en dessous de 20%, le comparateur émettra « A » en sortie qui aura pour effet d’activé les pompes.
Nous venons de créer un interrupteur mais nous avons un petit soucie. Admettons que les pompes démarrent donc les turbines aussi et vont recharger les accumulateurs qui dépasseront le seuil des 20. Les pompes seront de nouveau désactivé, les machines à vapeur aussi mais les accumulateurs se déchargent de nouveau réactivant le tout. Nous allons donc avoir pour la nuit un effet yoyo des turbines. Ce n’est pas qu’elles vont casser mais autant les démarrer jusqu’à ce que les accumulateurs soient bien chargés et empêcher cette effet yo-yo. Nous n’avons pas cependant besoin d’une charge complète. Cela serait bien que les accumulateurs puissent reprendre leur rôle avant le levé du soleil.
Nous allons ajouter un calculateur à notre précédent montage. Il sera relié à sa sortie à l’entrée du comparateur et à son entrée à la sortie du comparateur.
Calculateur :
Entrée : « A » x (-30).
Sortie : « A ».
Lorsque les accumulateurs seront en dessous de 20%, le comparateur émettra son signal donc la pompe côtière démarre. Le signal « A » (valeur 1) entrera aussi dans le calculateur. A la sortie du calculateur, nous aurons donc « A » (valeur -30). Donc le comparateur recevra d’une part la valeur « A » de l’accumulateur et la valeur (-30) du calculateur. Il va donc croire que l’accumulateur est 30% moins chargé qu’il ne l’est en réalité. Ceci laissera le temps au accumulateur de se recharger correctement pour éviter cet effet yo-yo.
A 50% de charge réelle, le comparateur recevra lui 50 – 30, soit 20. Il ne sera plus dans sa condition émission. Il émettra plus « A » en sortie qui fera disparaître le signal du calculateur à son entrée.
Le tour est joué.
Contrôle de la production d’énergie nucléaire.
Bien que le fonctionnement d’une turbine à vapeur est comparable à celui d’une machine à vapeur, nous ne pourrons pas avoir les même contrôles de production d’électricité sur une centrale nucléaire. L’arrêt d’apport en eau n’aura aucun effet sur la consommation des barres d’uranium.
Les réacteurs nucléaires continueront de fonctionner. Il nous faut donc procéder d’une manière différente.
Dans le précédent montage, nous contrôlions l’apport en eau via la charge d’un accumulateur pour éviter la production de vapeur, donc le fonctionnement des chaudières. Ici, nous allons contrôler l’extraction/introduction des barres d’uranium par rapport à la quantité de vapeur restante pour arrêter directement les réacteurs.
Tout d’abord il faudra que l’on prévoit un nombre de réservoir assez conséquent pour stocker toute la vapeur et un peu plus d’une barre d’uranium. Relions tous entre eux avec un câble vert et à l’entrée d’un calculateur qui fera un pourcentage du total de stock possible.
Le calcul sera donc le suivant:
Entrée: “Vapeur” / (nombre de réservoir x 250).
Sortie: “Vert”.
Pour rappel un réservoir contient 25 000.
Nous relions ensuite le câble de sortie aux bras introduction des barres d’uranium et extraction des barres d’uranium épuisé.
Nous commencerons la condition pour les bras d’extraction des réacteurs.
Condition d’activation: “Vert” < 20.
Lit le contenu du bras robotisé coché.
Changer la taille de la pile à 1.
Le bras robotisé ne fonctionnera que pour extraire une barre d’uranium épuisé quand la vapeur sera inférieur à 20% à chaque rotation.
Passons aux bras d’introduction des barre d’uranium dans les réacteurs.
Condition d’activation: “barre d’uranium épuisé” > 0.
Changer la taille de la pile à 1.
Le bras d’introduction ne pourra introduire une barre d’uranium qu’en recevant le signal du bras d’extraction.
Voyons maintenant le fonctionnement du système. Les réacteurs auront pour le fonctionnement d’une seul barre d’uranium. Une fois la vapeur descendu en dessous de 20% les bras extractions sortiront la barre d’uranium épuisé présente dans le réacteur. Les bras d’introduction recevrons à ce moment l’ordre d’introduire une seule barre d’uranium. Les réacteurs démarreront.
La consommation d’une barre d’uranium étant de 40 secondes, la vapeur sera facilement au dessus du seuil d’extraction. A l’épuisement de la barre d’uranium, il n’y aura donc pas d’extraction.
Astuce: Pour introduire la seule barre d’uranium dans tous les réacteurs en une seule fois pour amorcer le système, il nous suffira d’un émetteur de constante de signal “Barre d’uranium épuisé” que nous éteindrons tout de suite après son émission. Les bras d’introduction pourront introduire la seule barre nécessaire au fonctionnement.
Contrôle de l’énergie nucléaire.
Comme je l’ai expliqué dans le montage des machines à vapeur, la production d’énergie durant la nuit empêche les accumulateurs de faire leur travail correctement voir pas du tout. Ils ne pourront pas se décharger au bénéfice de notre usine.
Nous allons voir qu’avec un ajustement du montage effectué sur les machines à vapeur, nous pourrons également exploiter cette énergie stockée dans les accumulateurs.
Pour commencer nous allons installer un commutateur d’alimentation électrique qui sépara le réseau électrique de la production nucléaire de celui de notre usine.
Nous installons ensuite notre comparateur et notre calculateur comme sur le montage des machines à vapeur. Leur condition son identique.
Il nous suffit juste de mettre la condition sur le commutateur d’alimentation électrique.
“A” > 0.
1.3.2. Contrôle pétrolifère.
L’exploitation du pétrole crée plusieurs liquides et un gaz qui nous devrons gérer.
Le pétrole lourd utile dans sa transformation en lubrifiant et pétrole léger.
Le pétrole léger utile dans sa transformation en combustible et gaz pétrolifère.
Le gaz pétrolifère en plastique et soufre.
Nous aurons donc différentes réservoirs qu’il faut maintenir en quantité différentes des autres. Sans avoir fait au préalable de bon calcul de production, nous avons souvent un excèdent de liquide qui obstrue les tuyaux .
Pour 6 usines de raffinage avancé, je vous conseille :
2 usines de liquéfaction.
2 usines de produit chimique de craquage Pétrole lourd/Pétrole léger.
6 usines de produit chimique de craquage Pétrole léger/Gaz pétrolifère.
Cela donnera 98,88 de gaz pétrolifère par sec.
Nota: Ces calculs ont été effectué sans module.
Ceci aura pour effet de pouvoir craquer complètement nos différentes productions de pétrole en Gaz mais nous ne ferons aucune réserve, ni ne produirons de lubrifiant.
Nota : Un réservoir = 25 000 u.
Ce n’est pas ce que nous désirons. Nous voulons pouvoir faire des stocks différents de chaque liquide. Nous voulons aussi que notre installation puisse n’avoir qu’un seul réservoir de chaque liquide. Pas plus. Cela serait inutile. Suffit d’avoir assez de raffinerie, craquage divers pour produire suffisamment pour nos besoins.
Pour comprendre la suite, je vais partir sur une exploitation du pétrole en excluant la production des munitions pour lance-flamme (se faisant uniquement avec du pétrole).
Dans l’ordre des choses, nous avons besoin de lubrifiant. Je n’ai pas besoin de le contrôler et son craquage sera en continue sur le pétrole lourd. Avoir toujours le maximum de stock est important pour la fabrication de moteur électrique et convoyeur express. Le trop plein du lubrifiant n’aura aucune incidence sur les usines de raffinage avancé.
Le pétrole lourd devra être conservé pour subvenir au besoin du lubrifiant. Cependant l’excédent devra être craqué pour éviter que les raffineries ne s’arrêtent à cause d’un trop plein de pétrole lourd. Nous aurons donc besoin d’un contrôle sur le craquage du pétrole lourd en léger.
Pour le pétrole léger, nous en avons besoin pour fabriquer le combustible solide (meilleur ratio). Ceci n’étant pas une grosse production, nous pouvons nous retrouver rapidement avec un excès.
Il sera donc préférable de le craquer en fonction des besoins en gaz pétrolifère. Nous aurons ici aussi besoin d’un contrôle.
Maintenant que vous avez compris mon raisonnement, passons au montage.
Dans un premier temps, je connecte sur le même réseau logique secondaire tous les réservoirs dont j’ai besoin le pétrole lourd et léger, le gaz pétrolière, sauf le lubrifiant.
Sur cette explication, nous utiliserons les commutateurs d’alimentation électrique pour couper les secteurs dont nous ne désirons pas leur fonctionnement. Du fil de cuivre sera donc nécessaire. N’oublions pas que pour connecter ou déconnecter une liaison électrique, il nous suffira de faire une connexion entre deux installations avec ce fil.
Etant donné que je n’ai pas besoin de contrôle sur le lubrifiant, je passe directement au pétrole lourd. Nous avons besoin d’un stock afin de pouvoir subvenir au besoin du lubrifiant. Un seul réservoir suffira également cependant pour une raison de tuyau plein cela pourrait arrêter notre production de léger et gaz. Il nous faut donc le garder sous un certain seuil et le craquer en léger en cas d’excès.
Commutateur d’alimentation électrique :
Condition d’activation : « Pétrole lourd » > 24K (soit 24 000).
Il alimentera le secteur qu’une fois le niveau du pétrole lourd sera au-dessus de 24000.
A présent le craquage du pétrole léger en gaz pétrolifère. Positionnons un autre commutateur à côtés des usines de produit chimique s’occupant du craquage du pétrole léger en gaz et connectons le aussi au réseau logique des réservoirs.
Commutateur d’alimentation électrique :
Condition d’activation : « Pétrole léger » < « Gaz pétrolifère ».
Nous remarquerons une fois de plus que nous avons bien fait attention à la connexion des fils de cuivre pour que le commutateur puisse faire son travail. Il alimentera le secteur que lorsque le niveau du pétrole léger dépassera celui du gaz pétrolifère. Par conséquent, si nous avons besoin de gaz, son niveau descendra qui aura pour effet d’activer le craquage de léger en gaz. A l’inverse, une fois que le gaz fera des réserves, le pétrole léger en fera lui aussi. C’est un excellent moyen pour avoir un boost approvisionnement en gaz et à l’inverse de faire des stocks des deux.
Nous avons terminé notre installation mais il se pourrait que le réservoir de gaz pétrolifère soit plein et pas de chance non plus notre pétrole lourd se vide. Il nous faut continuer à produire pour équilibrer les réservoir. Ce que nous ne pourrons pas faire étant donner le trop plein du gaz. Il nous faut donc une sécurité au niveau des raffineries pour que cette production s’arrête le temps que la liquéfaction produise elle assez de lourd.
Pour cette sécurité, nous allons jauger tous les réservoirs et inclure une limite de production sur nos raffineries. N’oublions pas que nous n’avons pas inclus le réservoir de lubrifiant dans le réseau des réservoirs.
Installons donc un dernier commutateur relier à notre réseau logique à côté des raffineries.
Commutateur d’alimentation électrique :
Condition d’activation : « Tout » < 24,5K (soit 24 500).
Attention: factorio n’inclus pas les virgules dans le visuel mais il est bien déterminé à 24 500
Le commutateur recevra tous les niveaux des réservoirs. Tant que « Tout » les signaux qu’il reçoit seront inférieurs à 24 500, il sera actif. A l’inverse si un réservoir dépasse les 24 500, le « Tout » ne sera plus valide car il faut considérer le « Tout » comme étant un « Et » de tous les signaux qu’il reçoit.
Nota: Ceci aura pour but de couper une trop grosse production de chaque liquide mais de laisser la production de la liquéfaction qui est moindre en léger et gaz. Cette dernière nous produira cependant beaucoup de lourd qui nous garantira une production de lubrifiant ou mais aussi un craquage léger en petite quantité.
Nous avons à présent un contrôle absolu sur notre production pétrolifère.
1.3.3. Contrôle d’enrichissement “Kovarex”.
Avec l’arrivée du nucléaire, nous cherchons à installer un ou des réacteurs pour subvenir à nos besoins d’électricité.
Nous cherchons également à aller plus vite avec nos trains en raison des distances accrue et des demandes croissantes de ressource.
Pour finir nous cherchons un moyen efficace d’éradiquer les autochtones et leur nids en une fois. Vous l’aurez compris, tout cela demande de l’uranium 235.
Hors le processus d’enrichissement de base a un pourcentage de chance de 0.7% de nous produire cet uranium 235 tellement convoité.
A ce moment nous installons donc l’enrichissement “koravex” mais celui en demande 40 pour nous en produire 41. Pour recommencer un nouveau cycle, nous devons donc introduire sa production et surtout chercher à extraire cet excédant, ce 41ième. Si nous le faisons pas l’usine va stocker trop d’uranium en son sein avant de nous être productive.
Nous allons voir qu’avec un simple câble logique, il nous est possible d’extraire ce précieux uranium 235.
Tout d’abord cherchons à comprendre son fonctionnement. Installons une usine de cette manière.
Voyons comment se passe extraction et l’introduction des différents uranium.
Nous pouvons constater que l’uranium 238 est extrait avant l’uranium 235.
A l’introduction, l’uranium 238 est en dernier.
En sachant que l’uranium 238 est extrait en premier et que le bras vert qui s’en charge va le faire en une fois, nous serait-il pas possible d’en profiter pour extraire le 41 ème que nous désirons.
Installons un bras filtrable en extraction et relions le au bras vert d’extraction avec un câble logique.
Nous avons besoin de lire le contenu du bras vert.
Aucune activation. Lecture du contenu du bras robotisé. Unique.
Puis nous mettons les conditions du bras filtrable.
Activation: “Uranium 238” > 0.
Filtre: Uranium 235.
Définir la taille de la pile = 1.
Avec ceci, nous allons pouvoir être capable d’extraire le 41 uranium 235 sans soucie à l’extraction de l’uranium 238. Comme ce dernier se fait en une seule fois le bras robotisé filtrable ne peut être actionné qu’une fois. Son réglage de la taille de la pile à 1, nous assure qu’il ne fera l’extraction que d’un seul élément.
Astuce: Entre l’extraction et l’introduction des uraniums, nous pouvons avoir un temps creux. C’est pourquoi je conseille de mettre au départ 80 uranium 235. Lors du déchargement, l’usine commencera un nouveau cycle et cela avant de récupérer ce qu’elle vient d’extraire.
Astuce: Nous pouvons mettre une limite de production sur le bras robotisé vert d’introduction pour éviter la surproduction.
1.3.4. La trieuse intelligente
Nous avons besoin dans certain cas de trier les marchandises sur un convoyeur. Cependant si l’affluence des marchandises est abondante, notre simple bras robotisés filtrable ne peut faire convenablement son travail. Nous pouvons certes mettre plusieurs bras robotisés les uns à côté des autres pour palier à cette abondance. Cependant cela reste coûteux en électricité et en place.
Nous allons utiliser un seul bras et faire en sorte que le convoyeur s’arrête le temps que les marchandises ne soient pas récupérées. Bien entendu ce système bloquera aussi les marchandises autres que celle du trie mais uniquement dans le cas où le trie doit se faire. Dans l’autre cas, elles passeront sans problème.
Pour se faire, nous allons connecter notre bras robotisés filtrable au convoyeur sur lequel il devra récupérer la marchandise de trie puis à un émetteur constant.
A présent mettons les conditions du convoyeur.
Mode de fonctionnement :
« Activer/Désactiver » coché.
« Lit le contenu du convoyeur » coché.
Condition d’activation : “Tout” < 0
« Continu » coché.
Son but sera de laisser passer les marchandises, si leur valeur est inférieure à 0.
Passons au bras robotisés filtrable.
Mode de fonctionnement :
« Définir des filtres » coché.
Son but sera de prendre toutes les marchandises de valeur supérieure à 0. Il pourra donc prendre autant de marchandises différentes car c’est le convoyeur qui lui enverra l’information.
Pour finir l’émetteur de constante.
Ici dans l’émetteur, nous y mettrons les marchandises qui ne doivent pas être trié. Sur cette photo, le fer passe. Nous réglerons la valeur sur -10.
Lorsque le Fer arrivera sur le convoyeur (sur un convoyeur, nous avons 8 marchandises maximum), le signal étant toujours négatif du à l’addition des marchandises moins la valeur de la marchandise dans l’émetteur de constante, le convoyeur le laissera passer. Hors avec une marchandise dont la valeur (-10) n’est pas émise par l’émetteur de constante sera strictement bloquer et récupérer par le bras robotisé filtrable.
1.4. Les stocks sur le réseau.
Combien de fois vous êtes-vous déplacer jusqu’au coffre d’une marchandise pour vous apercevoir que vous n’aviez pas le compte désiré voir même qu’il était en manque ?
Nous pouvons par un moyen simple garder un œil sur tous les stocks d’une usine. Pour cela rien de plus simple. Avec un câble vert, nous allons connecter tous les coffres de l’usine entre eux.
Pour visualiser les stocks nous n’aurons qu’à regarder un poteau y étant connecté. Nous pouvons aussi visualiser ces stocks sur le réseau logique principal par l’intermédiaire d’un isolateur. Les stocks d’une usine délocalisé pouvant influencer le prochain système que nous allons installer « Les limites de production ».
Pour isoler les stocks vers le réseau logique un calculateur fera le travail.
Venant du réseau secondaire les stocks de l’usine. Sur le réseau principal, les stocks de toutes les usines délocalisées.
1.5. Limite de production.
Jusqu’à présent nous avons vu qu’il était possible d’avoir différent contrôle mais nous n’en avons pas fait concernant la production. Nous pouvons sur le réseau logique secondaire (celui de l’usine) créer une limite de toutes les marchandises fabriquées dans cette dernière.
Pour créer la limite, nous allons prendre un émetteur de constante que nous allons relier à un poteau électrique par un câble logique rouge. Ce câble donnera la limite de production et sera connecté aux bras robotisés ou convoyeurs que nous voulons contrôler.
Sur cette photo, nous n’avons que 4 limites dans l’émetteur constant et il ne contrôlera que ces 4 usines d’assemblages de l’usine.
Pour que les bras robotisés de cette exemple sachent si ils doivent s’actionner ou pas, il leur faut une différence entre la limite et les stocks.
Nous allons installer un calculateur qui ajoutera les stocks sur le câble de contrôle, le rouge afin de créer cette différence. Il aura donc en entrée un câble vert et en sortie, un câble rouge.
Entrée : « Chaque » x (-1).
Sortie « Chaque ».
Le signe « négatif » que nous avons ajouté dans la multiplication du signal, nous sert à créer la différence dans l’addition des deux informations sur le câble rouge.
Si cette différence est positive, nous devons produire. Si nul, nous avons atteint la limite. Si négative, nous avons trop produit.
Il nous reste donc à mettre la condition des bras robotisés dans mon exemple.
Condition d’activation :
« Marchandise » > 0.
Nous pouvons cocher la case “Définir la taille de la pile” pour plus de précision dans nos coffres.
Comme je l’ai expliqué juste avant, s’il nous faut produire, la différence entre la limite et les stocks est positive. Il faut donc que le bras robotisés soit actif si le signal est positif.
Nota: Nous pouvons aussi contrôler la limite sur tout appareil intelligent passif ou réversible.
Nous pouvons bien sur étendre à toute une usine et contrôler ainsi toutes nos productions avec un seul calculateur par réseau secondaire et autant d’émetteur de constante que nous aurons besoin pour toutes nos productions.
2. Le réseau ferroviaire.
Si au début les ressources sont proches, elles seront par contre de plus en plus éloignées avec le temps. Nous pouvons conserver les convoyeurs mais cela reste des plus couteux et peu rapide finalement. Les trains sont la solution. Rails peu couteux. Capacité de chargement accrue. Rapidité de transport.
Plus nous aurons de trains, plus nous devrons avoir de voies pour les faire circuler. Nous devrons donc préparer un réseau ferroviaire.
2.1. Les connaissances de base.
Pour bien appréhender le guide il m’est nécessaire d’apporter les connaissances de base de « Factorio ».
Certaines seront des astuces d’autres de réelle connaissance à acquérir. Il sera à vous d’en juger.
Je commencerai donc par la pose des rails de chemin de fer.
2.1.1. Les rails.
Pour se faire la pose d’un rail de départ est nécessaire. En prenant un rail de notre inventaire et en mettant le curseur « rail » sur notre terrain, il prendra la couleur verte. En pressant la touche « R » (faire tourner dans les options de raccourci), nous pourrons au préalable envisager son orientation pour la pose. Un simple clic gauche le positionnera définitivement sur le terrain.
Une fois la pose de ce premier rail effectué, nous aurons une nouvelle option disponible sur ce dernier.
En positionnant le curseur avec un « rail » (rail droit dans la main) sur celui posé au préalable une flèche apparaîtra. Elle désignera le sens de pose des rails suivant.
Avec un clic gauche, nous pourrons avoir l’image verte du rail. Nous pourrons également le faire pivoter pour obtenir une courbe. Un autre clic gauche posera les rails sur le terrain.
Cette méthode sera très utile pour créer des bifurcations. En effet en plaçant le curseur sur un rail déjà en place et en utilisant la flèche nous pourrons faire partir la voie dans un autre sens que celle déjà posée.
Un second clic gauche posera la voie de manière définitive comme précédemment.
Il existe plusieurs autres méthodes pour poser des rails.
Une consiste à presser “ctrl” en continue. Cela permettra de construire des courbes plus facilement pour rejoindre l’endroit que vous désirez en évitant les obstacles.
Une autre en pressant “Shift”. Cela posera une image virtuelle de la construction qui évitera aussi les obstacles. Très pratique au départ pour construire main levé son réseau de train sans poser de rail. On remarquera cette différence de construction par le petit logo “Fantôme” à coté du nombre de rail restant.
Cette astuce sera très utile pour faire des jonctions de voies sans point de repère. En effet il est parfois difficile de faire des jonctions. L’ajustement pour la jonction n’est pas aisé sans repère. De plus cela nous permettra d’effacer rapidement l’image si cela ne convient pas sans utiliser la pioche. Economie de temps et de ressource donc.
Nota : Cette image virtuel peut-être utiliser avec tout objet tenu en main et sera la seule manière en dehors des blueprints d’effectuer le travail par les robots de construction personnel ou usine.
2.1.2. Les arrêts de train.
Les arrêts de train sont nécessaires pour qu’un train puisse avoir une station où s’arrêter. En plaçant le curseur « Arrêt de train » (un arrêt de train dans la main), nous aurons plusieurs choix possible.
En plaçant le curseur sur la voix, le curseur sera rouge signalant qu’il lui est impossible d’être posé.
En plaçant le curseur sur le côté de la voie, le curseur d’arrêt de train devient vert offrant la possibilité d’être posé.
Nous pouvons aussi observer que plusieurs autres indications sont apparues également.
Les carrés verts sont la pose possible pour l’arrêt de train. Nous pouvons donc choisir de le positionner d’un côté ou de l’autre de la voie.
Les flèches jaunes représentent le sens dont le train doit arriver pour s’arrêter à cet arrêt. Un mauvais positionnement de cet arrêt peut créer le message « aucun chemin d’accès » mais nous verrons avec les signaux ferroviaires que nous obtiendrons aussi ce message si ces derniers sont mal positionnés.
La représentation des rectangles blancs est pour délimiter l’emplacement de la locomotive à vapeur et/ou des wagons de marchandises. Cela nous sera utile pour installer correctement les bras robotisés pour le chargement ou déchargement des wagons de marchandises.
Nota: Dans les paramètres d’interface vous pouvez modifier la longueur de visualisation du train pour correspondre à la longueur des trains que vous désirez faire.
Une fois l’arrêt de train en place, nous avons des options disponibles en faisant un clic gauche du curseur (main vide).
Nous voyons déjà le nom de l’arrêt « Guide de CDCobra » que nous pourrons changer à loisir en utilisant le symbole du crayon entouré ici en bleu. Vous pourrez le choisir sur une liste de station que vous avez déjà créer sur votre réseau ferroviaire et le créer vous même.
Dans l’encadré Vert nous avons la recherche facile d’un nom d’arrêt déjà définit dans la liste.
Dans l’encadré Jaune, la fermeture de ce menu.
Dans l’encadré Rouge, la possibilité de mettre un signal dans le nom d’arrêt. Ceci sera utile pour éviter par exemple d’écrire “Pétrole brut” dans la désignation de notre arrêt.
Dans l’encadré Violet, la validation du nom de l’arrêt.
Nous pouvons également rechercher le nom désiré dans la liste du dessous par rapport à celle déjà créer.
En encadré vert se trouve le réseau logique que nous développerons plus bas dans ce paragraphe.
En encadré rouge, le réseau logistique, nous le verrons aussi plus ♥♥♥♥. Pensez tout de même que l’arrêt devra être sous le réseau logistique pour fonctionner ainsi.
En encadré en jaune l’option de fermeture du menu et ce même si des raccourcis clavier sont plus pratique.
En encadré en violet, le choix de la couleur de l’arrêt.
Astuce: “Shift + Clic Droit” Copier.
“Shift + Clic Gauche” Coller.
qui fonctionne pour copier toutes les fonctions d’un élément du jeu sur un autre fonctionne aussi pour la couleur des arrêts sur un autre arrêt ou train.
Notons également la possibilité de limiter l’accès à un nombre de train circulant vers ou étant déjà à l’arrêt de train avec l’encadré en rouge.
Le réseau logique.
Pour obtenir ce réseau sur notre arrêt, il nous suffira de connecter un câble logique.
Nous pourrons y voir les modes de fonctionnement.
Activer/Désactiver.
Avec l’information du réseau logique, il nous est possible d’activer la station sous une condition.
Une station fermée se visualise en rouge sur la carte lorsque celle-ci est fermée.
Envoyer au train.
Nous pouvons demander au train de partir sous certaines conditions. “Envoyer au train” est la seule manière d’influencer le train par le réseau logique. Ceci peut être très utile pour demander à un train d’aller chercher des ressources lorsque le quai est pratiquement vide (voir chapitre sur les locomotives).
Définir la limite des trains.
Nous pouvons par un signal logique “L” limiter le nombre de train pouvant se diriger ou étant déjà à l’arrêt de train.
Lit le contenu du train.
Le contenu du train peut être utile dans certain système logique. Il faudra bien sur que le train soit en condition d’attente à cet arrêt pour que le contenu soit visible.
Lit l’ID du train.
Connaitre la présence d’un train à une station peut être utile pour un réseau logique.
Nous pouvons bien sur changer le signal “T” de cette station par un signal de notre choix.
Chaque train possède son propre ID. Pour le connaitre, il suffit de pointer une loco d’un train avec la souris. Toutes les caractéristiques y apparaîtront à droite sous la carte. L’ID du train y est indiqué dans l’encadré rouge.
L’arrêt de train enverra donc le signal “T” de valeur 8 sur le réseau logique.
Lire le nombre de train.
Par un signal “C” nous pouvons être informé des trains se dirigeant ou étant déjà à l’arrêt de train.
Le réseau logistique
Nous pouvons aussi connecter l’arrêt de train au réseau logistique.
Sur ce réseau, nous ne pourrons qu’activer/désactiver l’arrêt sous contrôle du réseau logistique.
Pour finir en attitrant un train à cet arrêt (voir configuration des trains) nous avons des nouvelles indications qui apparaissent.
Sur cette photo, le train est à la station “C. Solaris” représenté par une ligne jaune avec un point et il peut aller à la station “D. Solaris” une fois que les conditions d’attente à la station seront complète.
Nous avons aussi une mini carte sur laquelle nous pouvons voir d’une part notre train sur le réseau ferroviaire mais également y faire un clic gauche pour y changer directement les trajets et conditions du ou des trains attitrés à cet arrêt.
Astuce: Un arrêt de train peut avoir un texte en couleur. Suffit de noté dans son nom [/ color] [color = 255,0,0] (couleur RVB) ou [color = red].
2.1.3. Les signaux.
Tant que nous n’avons qu’un train sur une voie, nous n’avons pas besoin de signaux ferroviaires. Cependant si nous avons deux voies différentes qui se croisent avec des trains différents ou simplement deux trains empruntant un tronçon de voie commun, nous sommes obligé d’installer des signaux ferroviaires afin de ne pas avoir de collision entre eux.
Au moment de placer le signal ferroviaire sur la voie, nous verrons les mêmes indications de pose que pour l’arrêt de train.
Soit les emplacements de pose possible. Ici vu que c’est notre premier signal, nous avons encore la possibilité de le poser des deux côtés. Cependant sa pose définira un sens de circulation comme indiquer par les flèches jaunes. Les rectangles blancs nous indiquent la position du train si ce dernier doit s’arrêter du au signal rouge du signal ferroviaire.
Sur cette photo ci dessus nous pouvons constater qu’il y a une couleur qui apparaît sur la voie en bleu. Elle nous montre le tronçon de voie actuel.
Une fois posé, nous n’aurons que la position du train et le sens de circulation.
Nous pouvons observer également la création de deux tronçons de voie différents. L’un bleu et l’autre violet. Nous venons de créer deux cantons différents.
De plus si nous voulons positionner un second signal, nous n’avons plus la possibilité de le mettre de l’autre côté de la voie excepté sur l’emplacement blanc.
La pose d’un signal sur cet emplacement blanc nous donnera de nouveau la possibilité de poser par la suite d’autres signaux des deux côtés de voie. Il aura aussi pour effet d’établir sur ce tronçon de voie la possibilité aux trains de circuler dans les deux sens.
Maintenant que nous savons établir un sens de circulation ou les deux, parlons des deux différents signaux que nous pouvons mettre en place et donc de leur utilité différente.
Nota: Les couleurs sur les voies peuvent nous permettre aisément de visualiser les tronçons sur nos voies et ainsi se rendre compte des problèmes que nous pouvons rencontré. Il faut garder à l’esprit de prendre un feu ferroviaire en main pour observer un réseau ferroviaire.
2.1.3.1. Le signal ferroviaire.
Il est utilisé pour avertir le train qui y arrive si la voie qui suit son chemin est libre ou non.
Un signal vert indiquera donc au train que le tronçon de voie est libre.
Un signal rouge que le tronçon de voie est occupé.
Il arrêtera donc le train arrivant des flèches jaunes sur l’emplacement des rectangles blancs.
Il existe une troisième couleur au signal ferroviaire. Le jaune.
Cette couleur signale l’arrivée d’un train. Cela est du à la distance de freinage du train. En passant le feu au jaune, il prévient qu’il est trop ♥♥♥♥ pour lui de pouvoir s’arrêter. Ceci nous sera utile pour traverser une voie sans se faire écraser mais pas uniquement.
Il fera passer tous les signaux adjacents à cette voie au rouge ou croisant cette voie avant l’arrivée du train alors que le train n’occupe pas encore le tronçon de voie.
Nous avons donc un moyen simple d’éviter une collision.
Il lui reste encore une partie importante à découvrir. Nous pouvons aussi le connecter au réseau logique.
Nous avons la possibilité de lire la couleur du signal ferroviaire sur notre réseau logique. Nous pouvons d’ailleurs en changer la couleur par n’importe quel signal logique qui nous sera utile.
(attention cela ne changera pas la couleur du feu lui-même mais uniquement le signal qu’il enverra au réseau logique).
En cochant la case « passer le feu au rouge », nous avons une nouvelle option qui apparaîtra.
Je ne rentrai pas d’avantage sur le détail de cette option pour le moment mais comprenez tout de suite que nous pourrons donner des ordres à ce signal pour qu’il passe au rouge suivant certaine condition que nous lui indiquerons. Nous pourrons donc le commander. Cela nous sera très utile pour arrêter un train. Croyez-moi.
2.1.3.2. le signal ferroviaire chaîné (Dit chaîné)
Ce signal ferroviaire chaîné lit les prochains signaux présents sur le réseau. Attention, il ne lit pas tous les signaux. Il lit le suivant uniquement mais si nous avons une bifurcation de voie, il lira le signal sur la première voie mais aussi sur les autres voies dont il s’occupe.
Il a le même code de couleur que son homologue mais possède une couleur supplémentaire. Le bleu.
Sur cette photo nos trains viennent de la gauche et du haut. La voie du haut peut aller sur la droite et en bas.
Le feu chaîné du haut est bleu car il possède deux chemins possible. L’un occupé et l’autre libre.
Le signal ferroviaire chaîné est utilisé principalement pour empêcher un train d’occuper un carrefour et donc de gêner la circulation des autres trains puisqu’il lira tous les feux du tronçon qui le suit.
En effet si nous avions uniquement des signaux ferroviaires, le train pourrait emprunter le carrefour avant de se rendre compte qu’il ne pouvait en sortir. Il aurait paralysé tout un tronçon inutilement et peut être même tout notre réseau ferroviaire. Comme le chaîné lit le prochain feu, il arrête le train qui n’est donc pas engagé sur le carrefour laissant la libre circulation des autres trains.
Il sera donc très utile avant tout carrefour pour empêcher toute obstruction de tronçon de voie.
Le réseau logique
Il est possible de connecter un feu chaîné au réseau logique mais celui-ci ne donnera que des informations d’occupation de voie.
Nota : Choisir entre carrefour ou rond-point, le carrefour permettra aux trains d’être plus rapide car ils ne doivent pas faire pas faire le tour du rond-point. Ceci permettra une meilleure fluidité du trafic. Cela évite aussi un bon nombre de calcul de trajet possible au départ d’un train.
Astuce : Il se peut que notre train annonce le message « aucun chemin d’accès ». Cela est peut-être dû à une erreur de signaux ferroviaire chaînés ou non. Dans ce cas, montez dans le train. Conduisez le en manuel jusqu’à dépasser le premier carrefour puis passer le en automatique en lui demandant d’aller à l’arrêt qu’il ne voulait pas au départ. S’il redémarre sans soucie, votre problème se trouve à ce carrefour que vous venez de dépasser. Répétez la manipulation jusqu’à trouver l’incident.
2.1.3.3 Séparation de voie, jonction de voie, croisement.
Avec l’expansion de notre usine, nous devrons aller au fil du temps chercher les ressources de plus en plus loin. Le train est le meilleur moyen de transporter ces ressources sur une longue distance rapidement.
Nous commencerons par avoir un ou deux trains mais très vite la demande en ressource se faisant plus importante, le nombre de train le deviendra lui aussi.
Nous devrons établir un réseau ferroviaire principal avec des embranchements nombreux. La fluidité du réseau dépendra du bon placement des signaux ferroviaires. Il nous faut donc comprendre à quoi ils servent.
Tout d’abord, il nous faudra créer des tronçons pour permettre aux trains de se suivre de plus près tout au long de nos voies.
En prenant un signal ferroviaire dans la main, il est possible de voir ces tronçons en couleur. Ce procédé sera un atout pour visualiser notre réseau. Ici nous pouvons observer les tronçons bleu et violet.
Je conseillerai de plus d’avoir une voie dans un sens et une autre dans l’autre sens pour permettre un plus grand nombre de train de circuler sans attendre.
Je conseillerai également d’installer vos arrêt de train sur un réseau secondaire pour ne pas obstruer votre réseau principal ferroviaire avec un train en station qui pourrait bloquer tout votre trafic. Voyons comme créer et mettre en place nos différents embranchements.
Les séparations de voie.
Ces simples feux suffiront amplement pour le passage des trains. Nous avons bien trois tronçons différents.
Si la voie de droite est occupé, un train venant du bas pourra passer sur celle du haut s’en encombre.
Il sera inutile de mettre un chaîné comme sur cette photo si dessous sauf cas particulier.
Nous créons un tronçon inutile au fonctionnement du réseau sauf cas particulier
Voyons ce cas particulier.
Vous avez plusieurs stations de déchargement portant le même nom, toutes occupées d’un train attendant de se vider entièrement. Votre train doit attendre qu’une station se libère. Cependant sans chaîné, il va s’engager sur la voie ayant le chemin le plus court à sa mission. Hors il se peut que ce ne soit pas cette première station qui se libère en premier. Cependant il sera bloqué sur la première station et bloquera également tous les trains qui pourraient le suivre.
Il sera préférable de mettre ce signal ferroviaire chaîné qui stoppera notre train en amont, le temps qu’une station soit disponible pour notre train et permettre au train de choisir une autre station qui se libère.
Les jonctions de voie.
En sachant qu’un seul train peut occuper la voie de sortie des deux voies d’entrée, il nous suffit de mettre sur chaque voie d’entrée un feu ferroviaire. Les tronçons sont respectés.
A l’arrivée d’un train, le feu ferroviaire passera au jaune pour signaler que le train à dépasser sa zone de freinage pour cette jonction passant du coup obligatoirement l’autre feu au rouge.
Temps qu’un train sera sur le tronçon, les prochains trains seront stoppés sur leur voie d’entrée.
Il est inutile de mettre des feux ferroviaires chaînés tel ce montage ci dessous.
Le train sera bien arrêté comme précédemment mais cela nous coûtera des ressources supplémentaires. Il ne sera à utiliser qu’en cas de dépôt, zone de stockage demandant à plusieurs trains en attente de quai libre pour remplir sa mission.
Carrefour ou croisement.
Nous allons surement devoir installer des croisements ou des carrefours sur notre réseau ferroviaire.
La règle est des plus simples. Feux ferroviaires chaînés en entrée. Feux ferroviaires en sortie.
Ici nous pouvons observer le carrefour violet. Il est bien délimité par les feux ferroviaires et les chaînés.
Un passage au rouge d’un feu entraînera l’arrêt d’un train avant qu’il soit engagé sur le carrefour. Notre carrefour sera donc libre pour le passage d’un autre train venant de l’autre voie.
Pour finir nous devons être capable d’observer notre réseau de train et se demander quels feux peuvent être enlever afin de le simplifier. Voici quelques exemples avant et après modification en suivant de base les règles énoncés auparavant.
Nous pouvons simplifier les enchaînements de feu créant des tronçons inutiles.
2.1.4. Les wagons.
Il existe deux types de wagons dans « Factorio ». Il nous connaitre leur caractéristique mais aussi leur astuce.
2.1.4.1. Les wagons de marchandises.
Le wagon de marchandises sera notre seul moyen de transporter des marchandises rapidement sur de longue distance. Il possède 40 emplacements.
Ce dernier est configurable.
La croix rouge en bas à droite nous permet de réduire le nombre d’emplacement disponible comme nous pouvons le faire dans un coffre.
Il existe aussi deux autres possibilités cachées.
-Le wagon est plein de marchandises que vous désirez.
Un simple clic sur la molette va réserver en bleu l’emplacement de la marchandise dans le wagon.
-Le wagon est vide de toute marchandise.
Un simple clic sur la molette ouvrira le menu des marchandises possibles.
Il est à noter que nous n’avons pas l’onglet supplémentaire de signaux logiques car c’est bien des marchandises que nous avons seulement besoin.
Ceci nous sera utile pour n’avoir que le chargement de marchandises désirées. Cela nous permettra par exemple de l’avancé quelque peu sur une station sans qu’il reçoivent l’apport en carburant dans ses wagons alors qu’il est prévu initialement pour une tout autre mission.
Nous pourrons par exemple remplir un train de différente ressource nous permettant de construire et de l’envoyer faire son plein et étant sur qu’il ne revienne pas avec des ressource non désiré (train magasin).
Je vous le conseil donc fortement.
Astuce :
Un simple « Shift + clic droit » copiera la marchandise.
Un simple « Shift + clic gauche » collera dans un nouvel emplacement la marchandise désirée.
Nous pouvons faire la même manipulation pour copier la configuration d’un wagon sur un autre wagon.
2.1.4.2. Les wagons citernes.
Le wagon-citerne est le meilleur moyen de transporter les liquides sur de longue distance.
Il possède une contenance de 25 000 unités et se remplit et vide à grande vitesse si l’on fait bien attention à certaines conditions de débits des tuyaux (voir wiki).
Nous pourrons y connecter jusqu’à trois pompes par wagon afin de le remplir ou le vider d’un coté ou de l’autre du quai.
Le meilleur montage reste de connecter les pompes du train directement à aux citernes tel cet exemple.
Cela permet un stockage de trois fois la capacité d’un train. La proximité des cuves directement sur les pompes du wagon permettent le meilleur débit. La présence de toutes les pompes sur le wagon citerne assure la rapidité de remplissage/vidange.
2.1.5. Les locomotives à vapeur.
Les locomotives sont les seules tractions du réseau ferroviaire.
En manuel et en étant dans une loco, les touche de direction “z” et “s”, nous permettrons d’avancer , freiner et reculer. Les touches “q” et “d” nous permettrons de changer d’aiguillage. Cependant nous ne réservons pas de voie avant d’arrivé sur une jonction, croisement. Il se pourrait donc que nous entrions facilement en collision avec un autre train lui en automatique.
En automatique, la locomotive est incapable de reculer. C’est pourquoi il nous faudra une seconde locomotive diriger dans l’autre sens pour permettre des allers-retours sur une seule voie par exemple.
En ouvrant le menu d’un train (clic gauche sur une locomotive) nous accédons au paramètres de configuration.
Dans l’encadré rouge nous retrouvons deux onglets “itinéraire et carburant”.
Nous pourrons à cet endroit passer la locomotive du mode automatique au mode manuel.
Nous retrouvons aussi la possibilité d’en changer sa couleur.
Juste en dessous le menu de mission du train “Ajouter une station”.
Les stations accessibles sont en blanc et les rouges non accessible pour notre train à cet endroit. Peut-être sur un réseau en parallèle. Choisissons pour mon exemple “Guide CDCobra”.
Temps écoulé: Le réglage d’une simple horloge pour le départ d’un train.
Inactivité: Similaire à la première mais le décompte commence lorsque tous les bras robotisés ou pompes ont fini leur action. Si de nouveau une action sur le train avant son départ, le décompte recommence à zéro.
Wagon plein/vide: Le train ne partira qu’en remplissant la condition choisie.
Nombre d’objet: Les wagons de marchandise sont seulement concernés.
Faites bien attention à ne pas dépasser la capacité de votre train en y mettant la condition.
Quantité liquide: Les wagons citernes sont seulement concernés. Cela fonctionne de la même manière que “Nombre d’objet”.
Condition logique: Le train sera influencé par une condition logique venant d’un arrêt de train (nous n’oublierons pas sur cette arrêt de cocher la case “envoyer au train”).
Passager présent/absent: Facile de faire partir un train lorsque nous sommes à bord automatiquement ou de lui faire retourné sur son point de départ une fois descendu par exemple.
Très pratique pour les trains personnels.
Sur cet exemple, un train pour la construction des panneaux solaires répondant à des stocks et des conditions logiques. Nous pourront observer la possibilité d’y mettre “OU” et “ET” pour inclure ou non les conditions entre elles.
Il est possible d’intervertir l’ordre des arrêts à sa convenance en maintenant la souris et glisser vers le haut ou bas l’arrêt de train désiré ailleurs.
Dans l’onglet “Carburant” vous aurez assez à l’inventaire de la locomotive choisi.
Plusieurs carburant possible allant du bois, charbon, combustible solide, carburant pour fusée, combustible nucléaire.
Les trois derniers donneront un bonus en accélération et vitesse.
Combustible solide : accélération 120% et vitesse 105%.
Carburant pour fusée: accélération 180% et vitesse 115%.
Combustible nucléaire: accélération 250% et vitesse 115%.
Astuce: Comme son nom le suppose le carburant pour fusée est seulement pour la fusée. En effet il est très coûteux 3 300 unité de pétrole léger contre 1 500 unités pour le combustible solide, seulement 330 unités pour le combustible nucléaire pour remplir les 3 cases inventaires d’une locomotive.
Au dessus de la carte qui cible notre train, nous retrouvons deux astuces pour ordonner un train avec la carte.
“Ctrl + clic” une station temporaire.
“Shift + clic” une station permanente aux missions du train.
En haut à droite d’autre accès.
Dans l’ordre:
Masquer/Afficher le nom des arrêts de train.
Activer/Désactiver le centrage sur la loco.
Ouvrir cet emplacement sur la carte.
Je ne pense pas avoir besoin d’expliquer ces trois derniers vu la simplicité.
Astuce command lua : Les locomotives ont toutes un nom différent qu’il nous est possible de changer via une commande Lua. Pour cela, nous sélectionnerons le train et feront la commande Lua suivante :
/c game.player.selected.backer_name = « nouveau nom du train »
(Les guillemets sont nécessaires dans la commande)
2.2. Réseau logique et ferroviaire.
Il n’est pas simple d’avoir un réseau ferroviaire optimisé.
Nous avons des centres de forage dispatché sur tout le terrain et avons donc des trains qui ne sont pas égale en trajet. S’ils ont un quai chacun, l’un sera plus fréquemment sollicité. Cela peut créer des soucie dans le temps. En donnant au quai le même nom, cela est pire car les trains auront tendance à aller au premier quai si disponible. Le réseau logique peut résoudre ce problème.
En fait le réseau logique peut améliorer notre réseau ferroviaire, l’optimiser.
Nous aurons des trains qui partiront plus fréquemment, des répartitions des marchandises sur tous les quais d’une même marchandise et nous soulagerons le trafic par le voyage de train à la demande.
En somme nous allons résoudre beaucoup de problème et améliorer beaucoup de chose mais pour se faire nous allons devoir au préalable mettre quelque installation en place.
2.2.1. Réseau logique principal d’information.
Le réseau ferroviaire est une partie de « factorio » relativement importante. Il permet à deux usines éloignées de travailler ensemble. Tout comme le fait aussi le réseau logique entre deux appareils intelligents.
Cependant les trains circulent sur des rails et les signaux logiques dans des câbles.
Je suppose que si vous utilisez les trains, vous faites parvenir votre alimentation électrique à vos usines délocalisées (site de forage, centre pétrolifère, station de pompage, etc…) en ayant installé le long des voies des grands poteaux électriques. C’est très bien. C’est ce que nous avons besoin.
Nous allons nous servir de notre installation ferroviaire pour installer en parallèle, le long des voies, notre réseau logique. Cela nous permettra étendre de façon organisée notre réseau logique.
Si un fil de cuivre peut être connecté entre deux poteaux, le câble logique peut en faire de même.
Nous allons donc relier un câble rouge et un câble vert sur tout notre réseau ferroviaire.
Ce réseau sera notre réseau logique principal. Nous y ferons voyager toutes les informations que nous jugerons utile, des alertes, des ordres, nos stocks. Il y a tant à transmettre au final. Nous garderons sur nos usines les réseaux logiques secondaires car certains systèmes d’informations pourraient engendrer des dysfonctionnement si relier ensemble.
En attendant la chose est simple, installons notre réseau.
Nota personnel : Autant en profiter pour installer des lampes et des radars.
Astuce : En faisant un « blueprint » d’un tronçon de rail comme sur la photo, nous gagnerons non seulement du temps pour la construction via « robot de construction » mais ferons aussi une économie de câble logique. Les câbles ne seront pas décompter de notre inventaire avec ou sans robot.
Bien que cette partie semble courte sur papier, elle sera relativement longue à installer en début de partie tant que nous n’avons pas la technologie des robotports personnels. Les rails, les signaux ferroviaires, les poteaux, les câbles, les lampes et les radars.
2.2.2. Optimisation du réseau ferroivaire.
Pour avoir un réseau ferroviaire optimisé, nous devons comprendre qu’un train devra voyager de plein à vide. En effet, si un train part avec seulement la moitié de son chargement dans l’un de ses deux voyages, il n’aura que rempli la moitié de sa mission. Nous devrons donc mettre pour condition « Wagon plein/wagon vide ».
Pour les conditions du train, je n’ai pas besoin de l’expliquer de nouveau car j’en ai déjà parlé plus haut.
Pour rendre plus efficace, nos quais de chargement, il est nécessaire d’installer des coffres afin qu’ils puissent se remplir durant l’absence du train à quai et rendre le chargement plus rapide.
De même pour nos quais de déchargement, il serait judicieux qu’ils n’attendent pas une livraison pour fournir des marchandises. Donc prévoir un stock sur ces quais parait une bonne alternative. Il sera à nous d’avoir fait un bon calcul entre nos productions et nos besoins de cette marchandise pour pouvoir fournir juste ou plus.
Pour finir est-il plus rentable de faire voyager deux fois un train de deux wagons de marchandises ou un seul de quatre wagons ? Bien évidemment plus le train économisera ses voyages, plus il sera rentable. Le réseau ferroviaire sera aussi moins surchargé. Pour cette partie, je ne rentrerai pas dans les détails. Seule votre expérience parlera pour vous.
2.2.2.1. Optimisation du chargement.
Pour que le chargement d’un train complet puisent s’exécuter le plus vite possible il faut que tous les bras robotisés ou toutes les pompes puissent faire leur travail. Si malencontreusement la moitié travaillent seulement, l’attente du train en station sera plus longue. Il nous faut un chargement équitable de l’ensemble.
Wagon de marchandise:
Pour le chargement de wagon de marchandise, nous avons cette méthode avec des répartiteurs.
Cependant cette installation prend beaucoup de place. De plus elle reste très coûteuse en ressource suivant le type de convoyeur et répartiteur utilisé.
Il existe une méthode compacte avec la logique.
A première vue, nous pourrions prendre ce chargement comme un simple montage avec aucune répartition possible mais si nous faisons bien attention des câbles verts et rouges sont connectés et un calculateur a fait son apparition à coté du poteau électrique de gauche. C’est une merveille de technologie compacte.
Nota: Le positionnement des convoyeurs n’est évidement pas à prendre comme référence.
Comment le monter ? Avec l’éclaté de la photo suivante, il sera plus simple de le comprendre.
J’ai connecté un câble vert à tous les coffres du quai puis à l’entrée du calculateur.
J’ai ensuite connecté la sortie du calculateur à tous les bras du quai avec un autre câble vert.
Pour finir j’ai relié chaque bras à son coffre respectif avec un câble rouge.
Pour finir je mets la même condition à tous les bras robotisés du quai.
Soit « Tout » inférieur ou égale à 0.
Je m’occupe ensuite de la condition du calculateur.
Entrée : « Chaque » divisé par (- 24) (24 étant le nombre de coffre présent sur la totalité du quai).
Sortie : « Chaque ».
Nota : Le fait d’avoir utilisé les signaux « Tout » et « Chaque », nous permet de l’utiliser sur n’importe quel quai d’une marchandise. Nous pourrons donc en faire un « Blueprint » pour une construction plus rapide mais aussi économique sur tous les quais que nous aurons besoin.
Nous avons fini avec ce montage.
Astuce raccourci : Il existe une touche pour jeter les objets en main « Libérer le curseur », ceci aura pour effet lorsque nous avons un câble rouge ou vert en main connecté à un objet d’en couper la liaison. Cela sera plus rapide que de le ranger dans notre inventaire puis de le reprendre pour établir une nouvelle connexion.
Astuce économique : Nous pouvons tout de suite en faire un « blueprint ». Cela nous fera une économie de câble rouge et vert. En effet durant la construction via robotport (personnel ou non) ou sans robotport, les câbles ne sont pas décomptés de nos stocks mais installé.
Passons maintenant aux explications mathématiques.
Nous voulons un chargement si:
Le coffre (SC) est inférieur ou égale à la moyenne des coffres (MC).
SC inférieur ou égale à MC
Si nous ajoutons de chaque coté -MC, l’équation sera toujours bonne.
SC – MC inférieur ou égale à MC – MC.
Donc SC – MC inférieur ou égale à 0.
C’est justement les informations que reçoivent les bras.
Ils reçoivent le stock du coffre via le câble rouge et le négatif de la moyenne des coffres via le câble vert venant du calculateur. Il nous reste plus qu’à mettre le signe de l’équation “inférieur ou égale” à 0 dans la condition du bras.
Nous aurons donc tous nos coffres chargés de façon équitable ce qui rendra le chargement des wagons plus efficace à l’arrivée du train à quai puisque tous les bras pourront participer au chargement.
Wagon citerne:
Le chargement des wagons citernes est plus compliqué car il dépend du nombre de tuyau séparant le réservoir de la pompe.
Petit rappel du wiki.
En voyant ce tableau, la connexion direct des pompes au réservoir est ce qui se fait de mieux.
Cependant il faut que tous les réservoirs puissent se remplir uniformément. Il n’y a aucune chance que nous puissions le faire sans système logique.
Nous retrouvons le calculateur situé sur la gauche et les câbles connectant d’un coté tous les réservoir de l’autre coté les pompes.
En voici l’éclaté.
Ici le calculateur sera “Chaque” / (nombre de réservoir au négatif). Sortie “Chaque”.
Dans mon cas, j’ai 12 réservoirs.
Nous garderons la même condition des bras robotisés pour les pompes.Soit « Tout » inférieur ou égale à 0.
Ceci nous sera très pratique pour ouvrir une station avec les trains à la demande par exemple.
2.2.2.2. Chargement sur quai multiple
Dans le cadre d’usine délocalisée, nous aurons plusieurs usines qui demanderont une marchandise en particulier. Il nous faudra donc produire cette dernière en grosse quantité. Cependant en restant avec un seul quai de chargement, nous allons surement ralentir l’usine et pire les usines dans le besoin devront attendre leur livraison ce qui risque de bloquer leur production. Nous devons donc mettre en place plusieurs quais de chargement.
Mettre plusieurs quais en gardant chacun leur nom pour chaque usine peut créer un soucie pour une usine délocalisé trop demandeuse. Son quai de chargement risque fort d’être en rupture alors que les quais voisins sont encore avec des ressources.
La solution serait de renommé tous nos quais de chargement de cette ressource avec un nom commun. Cependant les trains vont toujours au trajet le plus court. Nous aurons donc toujours le même problème tant que le premier quai est vide à l’arrivé d’un train. Il devra attendre son chargement.
Le réseau logique peut palier à ce problème et même mieux prioriser les quais les plus remplit.
Pour ce faire, nous allons récupérer le stock de chaque quai et le renommer en un signal différent pour chacun. Par exemple une lettre de l’alphabet.
Nous relions ensuite la sortie de tous les calculateurs entre eux via les poteaux électriques. Nous pourrons y lire justement l’information du stock de chaque quai. Cela nous permettra de les comparait entre eux.
Toujours avec ce même câble d’information, nous allons relier les feux ferroviaires donnant l’accès à leur quai.
Les conditions seront pour les signaux “N’importe quel” > (signal du quai correspondant).
Inférieur est important au cas où les quais seraient complètement plein. Dans ce cas, les quatre quais doivent être ouvert.
Sur cette photo si dessous, nous avons bien le quai “B” (second quai en partant du haut) qui est ouvert en raison de son stock supérieur aux autres.
Super! Me diriez-vous. Cependant ce système a encore un défaut.
L’accès se faisant à la condition du quai le plus remplit, il faudra attendre que le train récupère assez de marchandise pour qu’enfin il passe en dessous du seuil d’un autre et lui permette d’ouvrir à son ton. Cela risque tout de même de prendre du temps.
Il existe encore une solution pour éviter ce délai de chargement.
Nous allons relier l’arrêt de train à un émetteur de constante puis à l’entrée d’un comparateur avec un câble rouge cette fois.
Sur l’arrêt, nous devons avoir les informations de présence du train et de son contenu.
Dans l’émetteur de constante, nous devons mettre le total du stock de cette ressource dans ce train au négatif. Ici j’ai quatre wagons de marchandise transportant des plaques de fer. J’obtiens donc -16 000 plaques de fer.
Sur le comparateur, nous devons mettre “T” > 0. Sortie “Plaque de fer” (pour mon exemple).
Il nous suffit ensuite de rejoindre la sortie de ce comparateur directement à l’entrée du calculateur qui renomme le stock en lettre.
Tant que la loco n’est pas en station, le comparateur ne peut pas envoyer son signal de sortie car sa condition est fausse. Le stock du quai n’est pas faussé.
A l’arrivé de la loco, le comparateur recevra le signal de présence “T”. Sa condition étant vrai, il laissera le signal de l’émetteur de constante afin d’enlever du stock du quai les 16000 plaques de fer correspondant au chargement d’un train complet. Cependant le contenu du train étant également pris en compte, il viendra diminuer le signal de l’émetteur de constante au fur et à mesure qu’il se chargera.
D’un point de vu mathématique, nous obtenons à l’arrivée de la loco
stock quai + stock train – 16000
et cela en constant. Cela permet donc à un autre quai d’ouvrir plus tôt.
Ce montage est à répéter sur chaque quai.
Nota:Pour encore plus de précision, il est possible de relier tous les bras robotisés donnant du coffre au wagon avec le câble en mode “Lit le contenu du bras robotisé” en continu.
Pour finir nous allons installer une sécurité à notre système. Si notre quai ne peut remplir le contenu d’un quai doit-il être ouvert? Il a beau être le plus remplit de tous les quais, il n’a pas le total de marchandise pour satisfaire la demande du train. De plus en amont de l’usine, il pourrait avoir un problème sur son approvisionnement mais le train en station lui attendrait d’avoir son chargement. Pour cela nous allons interdire les accès des quais s’ils n’ont pas la capacité pour remplir un train.
Un simple émetteur de constante relier au câble des comparaisons des quais sera suffisant.
Il émettra le contenu d’un train. Ici les plaques de fer pour 4 wagons de 40 emplacements chacun = 16 000.
Tous mes quais seront fermés car le signal “Rouge” est supérieur à tous les autres.
2.2.2.3. Optimisation du déchargement.
Les déchargement des trains sont une partie essentielle pour un réseau ferroviaire optimisé.
Un train doit s’arrêter à la station, se décharger au plus vite et repartir.
Le quai doit donc être capable d’accepter l’intégralité du déchargement du train.
De plus tous les bras robotisés ou pompes doivent participer au déchargement pour la rapidité d’exécution.
Wagon marchandise:
Nous devons donc faire en sorte que les coffres du quai puissent se décharger sur le convoyeur tout en gardant une moyenne constante entre eux.
Il existe plusieurs montage pour y arriver.
Celui-ci est très bien équilibré mais demande beaucoup de ressource.
Avec les circuits logiques, nous obtenons une version plus compacte et moins coûteuse.
Nous pouvons voir sur la gauche un calculateur et si nous regardons de plus près des câbles sont apparus sur les coffres et bras.
En voici l’éclaté.
Nous relions tous les coffres avec un câbles vert jusqu’à l’entrée du calculateur.
La sortie du calculateur est relié par un autre câble vert à tous les bras robotisés.
Un câble rouge relie un bras robotisé à son coffre seulement.
Voyons la condition du calculateur.
“Chaque” / (nombre de coffre au négatif).
Sortie “Chaque”.
Sur l’éclaté, nous avions 12 coffres.
Condition des bras:
“Tout” > ou = 0
La raison est juste mathématique.
Nous voulons que le coffre (SC) se décharge s’il est supérieur à la moyenne des coffres (MC) et
si les coffres sont tous égale entre eux, il faut pouvoir tout de même décharger.
SC > ou = MC
Nous pouvons ajouter d’un coté comme de l’autre “-MC” et l’équation sera toujours bonne.
SC -MC > ou = MC -MC.
SC -MC > ou = 0
C’est justement ce que les bras robotisés ont comme information de travail.
SC sur le câble rouge, le contenu de son coffre.
-MC sur le cable vert venant du calculateur.
> ou égale à 0 est bien la condition que nous lui avons mis.
Fais en un blueprint car il sera valable pour tous les quais. En cas de multi-ressource sur le quai, la condition des bras devra correspondre à la ressource qui doit être décharger.
Attention: Lorsque les coffres sont plein et que notre train vient décharger, le contenu des coffres étant sans cesse actualisé, le système logique ne pourra fonctionner correctement. Il faudra donc une limite d’accès au quai correspondant au stock max du quai moins le chargement d’un train.
Wagon citerne:
Il nous faut du liquide sur nos productions pétrolifères ou non. Notre réserve de liquide sur le quai nous assure une production continue. Cependant si nos réservoirs se vide plus d’un coté que d’un autre, les pompes servant à vidanger notre train sur les réservoirs les plus plein risque fort de ne plus pouvoir participer. C’est pourquoi l’équilibrage des réservoirs est à prévoir pour permettre l’exécution rapide de la vidange.
Bien entendu les circuits logiques n’auront pas leur égal. Voyons l’éclaté.
Sur le calculateur, nous aurons les conditions
“Chaque” / (nombre de réservoir au négatif). Sortie “Chaque”.
Sur ce montage j’ai bien 12 réservoir donc -12.
Sur les pompes la condition
Ce montage nous sera très utile pour les trains à la demande que nous verrons plus ♥♥♥♥ car il nous permettra d’ouvrir la station en étant sur de pouvoir accepter la vidange d’un train complet.
2.2.2.4. Déchargement sur quai multiple.
Une usine délocalisée peut avoir de grand besoin d’une marchandise. Un seul quai ne suffira sans doute pas à subvenir correctement. Nous devrons donc faire en sorte à ce qu’elle possède plusieurs quais de réception de cette même marchandise.
Avec plusieurs quais de nom différent, il se peut qu’un quai attende ses ressources. L’usine s’agrandit, les besoins aussi, peut-être que nos quais de chargement se retrouve embouteiller par une trop grosse demande d’un coup. En somme notre train n’est pas prêt d’arriver. Hors le quai voisin est plein et son train lui a pu passer. Ne serait-il pas normal qu’il aille sur le quai le moins remplit?
En nommant tous les quais par un même nom sur cette usine délocalisé, nous pouvons faire en sorte que notre train aille sur tous les quais. Cependant ils ne perçoivent pas les stocks de nos quais et iront toujours au trajet le plus court. Notre premier quai. Il faudra attendre que celui-ci soit occupé pour que le train suivant aille enfin sur un autre quai en attente.
Les circuits logiques peuvent remédier à cela.
Nous allons prendre un calculateur pour chaque quai afin de renommé le stock du quai en un autre signal qui va le différencier des autres. Prenons l’alphabet. puis nous relions la sortie des calculateurs entre eux avec un câble vert.
Nous relions ensuite ce dernier câble vert à tous les feux d’accès aux quais.
Voyons ensuite la condition des feux.
Il doit correspondre au signal émis par son quai respectif.
“N’importe quoi” < ou = (signal du quai).
Nous pourrions nous dire que nous avons terminé. Cependant il n’en est rien. Le train arrive et va naturellement au premier quai. A son départ, le feu ferroviaire de ce quai n’est pas au rouge.
Pourtant ce quai a du stock mais pas les autres.
La raison en est simple. Le feu reçoit seulement un signal et ne peut le comparait à aucun autre.
Il ne peut donc pas faire son travail.
Pour palier à se problème, nous allons ajouter un émetteur de constante qui va ajouter à notre câble de comparaison la valeur 1 à tous les signaux. 1 unités de ressource pour chacun. Pas de quoi fausser nos stocks au vu des 8 000 d’un train de minerai par exemple. Un seul émetteur pour notre système bien entendu. Ce dernier peut envoyer jusqu’à 18 signaux différents. De quoi faire 17 (18 – 1 nous allons en voir la raison) quais si nous le désirons.
Pour finir il faudra limiter l’accès à nos quais.
Si nos quais se remplissent mais que notre train ne puissent plus se décharger en entier, il serait dommage qu’il soit obligé d’attendre. N’aurait-il pas fallu qu’il patiente dans une zone de stockage qu’un quai ouvre?
Pour cela nous allons calculer le stock maximum de notre quai auquel nous allons soustraire le total de stock d’un train.
Si nous avons 6 coffres acier (48 emplacements par coffre) par wagon, un train de 4 wagons( 40 emplacements par wagon), la pile de la ressource étant de 100.
6x48x4x100 – (4x40x100) = 115 200 – 16 000 = 99 200.
Arrondissons à 90 000.
Nous ajoutons donc 90 d’un autre signal par exemple “Rouge” dans l’émetteur de constante.
Il nous faudra prévoir une zone d’attente pour l’accès à ces quais.
Ok. Nous avons le système opérationnel cependant il n’est pas tout à fait assez rapide d’exécution.
En effet lors du déchargement d’un train, il faut attendre que le stock dépasse l’un des autres quais pour le plus bas soit de nouveau actualisé. Cela ralentit donc notre réseau ferroviaire.
Il faudrait que le stock du train soit pris en compte à l’arrivée du train. Nous allons donc relier un câble rouge à l’entrée du calculateur qui change le stock en signal différent pour chaque quai.
il nous reste à configurer notre arrêt pour qu’il envoie son contenu.
Nota: Il est possible d’être encore plus précis en prenant le contenu des bras robotisés servant à décharger le train sur le câble rouge allant de l’arrêt au calculateur.
Nous avons terminé. A l’arrivée du train en station son contenu sera envoyé en plus du stock du quai pour la comparaison ce qui fera passer automatique le signal sur le quai le moins remplit.
Le tour est joué. Notre système répond immédiatement.
2.2.2.5. Limite de stocks qu’un quai.
Nous pouvons avoir un quai acceptant un ou plusieurs train. Cependant avons-nous besoin de remplir nos coffres au maximum?
Bien entendu avec les limites de production expliquer plus haut dans ce guide, nous nous occuperons uniquement des quais de déchargement.
Par exemple nous avons une usine fabriquant des sols. Il lui faut du minerai de fer. Elle est proche d’un site de forage. Le train qui s’en occupe va rapidement faire ses aller-retour. Sur ce site de forage nous avons pourtant un autre train qui remplit la même mission mais pour une usine de fonte qui approvisionne toute une usine. Il se peut d’en voulant faire un stock trop conséquent dans la première usine, notre site de forage ne puisse plus assuré le rendement du premier train.
Il nous faut donc limiter ses stocks, créer une limite d’accès à ce quai.
Il nous reste trois possibilités dont deux entre elles seront expliquer dans le chapitre “les trains à la demande”.
Elles concernent la mission d’un seul train pour ce quai et s’il doit attendre à ce quai ou d’un autre.
Pour la dernière elle concerne plusieurs trains pour cette station.
Nous l’avons déjà vu dans les précédents chapitres sur les chargements/déchargements sur multi-quais.
Il nous faut au préalable un zone d’attente des trains afin de ne pas encombrer le réseau ferroviaire principale.
Pour finir nous allons relier les stocks du quai directement au feu ferroviaire d’accès à ce quai.
Sur le feu la condition de fermeture de la station. “N’importe quel” > 32000 (pour mon exemple).
2.2.3. Information sur le réseau.
Nous avons préparé notre réseau principal. Nous avons préparé également nos quais. Il est temps de mélanger les deux pour avoir des informations.
Quelles informations avons-nous besoin ?
Connaître les stocks de chaque quai. Ceci pourra nous donner énormément d’information sans que nous ayons besoin de vérifier chaque quai un part un.
Par exemple les quais de déchargement de minerai qui se vident. Baisse du débit des sites de forage, pas assez de site de forage.
Les quais de chargement de plaque de fer. Pas assez de production par rapport à la demande.
Qu’avons-nous besoin d’autre ?
Nous avons besoin d’alerte ! Nous pouvons sur notre réseau logique avoir des alertes pour nous prévenir d’un dysfonctionnement.
Quel genre d’alerte dans ce cas?
Nous pouvons en avoir pour les débits des mines par exemple. En cas de forte baisse, il est temps pour nous de trouver la remplaçante.
Un quai qui tombe ne dessous d’une certaine limite par exemple si nous sommes trop occupé et ne vérifions pas nos stocks.
Une baisse trop importante de la satisfaction électrique.
Vous l’aurez compris des alertes, nous pouvons en avoir autant que nous en avons besoin cependant nous pouvons très bien mettre un haut-parleur directement sur le lieu et avoir l’information en visuel à coté de notre hotbar.
Il reste cependant une alerte que nous allons transmettre par le réseau logique. Le débit des sites de forage.
2.2.3.1. Les stocks.
Obtenir le stock des quais de nos usines est essentiel pour connaitre les futures dysfonctionnement qu’il pourrait y avoir si nous ne corrigeons pas le problème dans un délai assez court.
Comme expliquer précédemment avoir l’information des quais de chargement peut nous informer si nous produisons toujours assez pour répondre à nos besoins. Ils sont les plus importants.
Cependant nous voulons peut-être connaitre aussi les stocks des quais de déchargement afin de savoir si nous avons assez de train pour alimenter la production demandée.
Cependant il est simple d’envoyer les stocks de tous les quais sur notre réseau mais il ne sera pas simple de détecter par exemple qu’un site de forage de fer est totalement vide parmi tous nos sites de fer si les informations sont mélangées, additionnées entre elles. Ne serait-ce pas le quai de déchargement de minerai de fer? Il nous faut donc être capable de les différencier les une des autres.
D’accord. Nommons un site de forage de fer “A”, le second “B”, etc..
Cela pourrait la solution en effet mais nous serions limité par le nombre de signaux disponible.
Une autre solution est de ne pas envoyer tout le temps tous nos stocks mais uniquement certains.
Par exemple nous envoyons dans un premier temps, les stocks dit “0” nos premiers. Ils doivent tous être de ressources différentes afin de les identifier.
Puis nous arrêtons l’émission des stocks dit “0” et envoyons les stocks dit “1”.
Ensuite nous arrêtons les stocks dit “1” et envoyons les stocks dit “2”.
etc…
Pour se faire nous allons donc avoir besoin d’une temporisation afin d’émettre un signal qui décidera quel site devra envoyer son stock. Par exemple nous pourrons donné des chiffres à nos sites de forage de fer qui donneront chacun leur stock leur tour venu. Sur cette même temporisation en faire de même avec les sites de forage de cuivre, etc…
Avant de faire notre temporisation, il faut savoir que Factorio gère le temps en 60 ticks par seconde. C’est aussi la base des circuits logiques. L’information entrant dans un comparateur ou calculateur en sortira traitée un tick plus ♥♥♥♥. Nous pouvons donc faire une temporisation en connaissant cette base.
Prenons un comparateur. Il nous permettra sous une certaine condition de repartir sera pour notre tempo (temporisation). Un calculateur ne ferait qu’ajouter, ajouter sans s’arrêter (sauf avec une intervention commandée). Ce n’est pas notre but.
Nous allons relier un câble rouge de la sortie du comparateur à son entrée. L’information qui en sortira y entrera donc de nouveau. Nous obtenons une boucle.
Ici nous avons une condition “T” < 60. sortie “T”.
Introduisons un signal continue “T” de valeur 1 dans ce comparateur avec un émetteur de constante.
Nota: Vous remarquerez que j’ai changé de câble pour le connecter mais ceci nous sera utile plus ♥♥♥♥.
La condition étant vrai soit “T” (1) < 60. Sa sortie en sera bien “T” (1).
Etant donné que nous avons le câble rouge relié de la sortie à l’entrée, l’information retourne à l’entrée du comparateur. Il reçoit donc son propre signal “T” (1). Nous avons créé une mémoire.
Hors notre émetteur de constante envoie encore “T” (1). Ce n’est donc pas “T” (1) que reçoit notre comparateur mais “T” (2).
Au traitement “T” (2) < 60. Sortie “T” (2).
Ceci en boucle jusqu’à “A” (59) à la sortie.
A cette étape l’information de sortie retourne bien à l’entrée. De nouveau, elle s’additionne à l’information de notre émetteur de constante “T” (59) + “T” (1) = “T” (60).
Au traitement suivant “T” (60) n’est plus inférieur à 60. Plus de signal de sortie.
Nous recommençons à la première étape de cette explication en boucle.
Nous venons de réaliser notre tempo.
Cependant nous en somme à la première étape. Rappelez vous que la base du temps est de 60 ticks pour une seconde. L’information change est bien trop rapidement pour que nous puissions visualisé nos stocks. Nous allons faire de cette première tempo, notre fréquence de changement de la vrai tempo qui va réellement nous servir.
Nous savons que tous les ticks, elle varie et que le tick est la plus petite bas de temps dans Factorio. Si nous arrivons à prendre l’information lorsqu’elle est à zéro (tous les 60 ticks) et que nous la mettons dans une nouvelle tempo, cette tempo augmentera donc de valeur tous les 60 ticks. Nous avons notre nouvelle tempo.
Récupérons d’abord notre tick (impulsion) de la part de notre première tempo.
Vous remarquerez que j’ai connecté le même câble rouge mais en partant de la sortie. L’information sort bien du premier comparateur et est transmis à travers tout le câble dans un sens comme dans l’autre. Cela fait des montages plus propre.
Condition du nouveau comparateur. “T” = 0. Sortie “S”. Coché 1.
Lorsque notre première tempo arrivera à zéro, ce second comparateur enverra un signal qu’il va créer lui même puisque nous avons coché la case 1. Donc tous les 60 ticks de “T”, nous obtenons “S” (1) un bref instant. Un tick.
Introduisons le dans une nouvelle tempo.
Tous les 60 ticks ce comparateur va recevoir l’impulsion “S” (1) et le traiter en boucle (en mémoire) jusqu’à additionner de nouveau ce signal “S” du second comparateur en le recevant 60 ticks plus ♥♥♥♥ par une nouvelle impulsion “S”. Donc nous avons des secondes qui défile sur ce comparateur jusqu’à ce que la condition ne soit plus vrai “S” < 10. Sortie “S”.
Nous allons nous servir de cela.
Admettons que nous avons justement 10 sites différents de forage de fer. Allons sur un des sites pour commencer.
Installons un premier comparateur qui va récupérer les stocks de notre quai et les transférer à notre réseau principal suivant cette condition.
“S” = 0. Sortie “Minerai de fer”. Actuellement notre comparateur ne reçoit pas le signal “S” défilant de notre réseau principal. Donc il peut émettre le stock du quai à savoir le minerai de fer et uniquement celui là.
Si mon signal “S” est sur le câble (réseau) rouge, je peux me permettre de relier mon comparateur à son entrée mais uniquement si je suis sur de ne jamais avoir un signal “Minerai de Fer” qui pourrait du coup interférer avec le signal des stocks sur notre comparateur.
Admettons que mon signal “S” est sur le câble (réseau) vert, il nous faut absolument isolé notre “S” avant de l’introduire sur notre comparateur. En effet nous sommes sur d’avoir sur ce réseau d’information un signal “Minerai de Fer”.
Plaçons donc un calculateur.
Ce calculateur va récupérer le signal “S” du réseau principal et uniquement lui.
“S” + 0. Sortie “S”.
Nous ferons bien attention à la couleur du câble rouge sortant du calculateur sur le comparateur. En effet sans cela l’information de la temporisation viendrait interférer sur notre système de chargement.
Sur le poteau du réseau principal, nous pourrons voir apparaître, lorsque “S” ne sera pas visible, le stock du quai sur notre réseau.
Il nous suffit ensuite de changer sur notre comparateur “S” = 1 Sortie “Minerai de Fer” pour le prochain site de forage. “S” = 2 Sortie “minerai de Fer” pour le troisième site de forage.. Etc…
(Nous commençons le premier à “S” =0.
Nous pourrons ainsi voir nos stock défilé.
Astuce: Pourquoi ne pas envoyer pour une fournaise de fer, les stocks de minerai de fer et plaque de fer sous le même signal “Plaque de fer”? Ceci nous permettra d’identifier facilement les stocks de l’usine.
2.2.3.2. Les alertes sur le réseau principal.
Petit à petit, nous devenons moins petits. C’est tout à fait notre usine.
Au début nous pouvons surveiller facilement nos productions, leurs apports en marchandise mais plus nous nous étendons plus il devient difficile de pouvoir tout surveiller.
Nous pouvons donc avoir un site de forage épuisé et avoir un train bloqué au site car il attend de partir plein. Nous pouvons avoir un manque d’une marchandise dans une usine. En somme nous pouvons avoir des problèmes.
Il nous est possible de créer des alertes de stocks. Il nous suffira ensuite de surveiller de temps en temps notre réseau logique principal pour vérifier nos alertes. Nous pourrons même avoir une alerte visuelle si nous le désirons avec une lampe clignotante.
Encore mieux, nous pouvons même mettre les alertes concernant le même article sur un même signal.
Les alertes foreuses.
Ces alertes seront les seules dont le stock devra être de zéro pour être visible. Il nous sert à rien d’avoir un déclenchement plus top.
Nous allons donc relier avec un câble vert à nos stocks du quai à l’entrée d’un comparateur. Puis nous relierons la sortie de ce comparateur à l’entrée d’un calculateur. La sortie de ce calculateur avec un fil rouge à notre réseau principal.
La condition du comparateur :
Paramètres : « Tout » = 0.
Sortie : « Minerai de fer » (case 1 coché). (signal du minerai sur ce quai).
La condition du calculateur :
Paramètres : “Chaque” << (nombre qui désignera le site de forage).
Sortie : “Chaque”
Si le comparateur ne reçoit pas de signal, il émettra « Minerai de fer ». Le calculateur en recevant cette information l’encodera en binaire avec un décalage de bit correspondant à la valeur inscrite (voir chapitre sur le binaire et sa conversion en décimal).
Nota : Lors de la présence à quai du train et avec un débit faible des foreuses, les marchandises allant du convoyeur au coffre puis au train dans la foulée, nous pouvons avoir un clignotement du signal lors de la visualisation. Il est donc un bon moyen préventif pour prendre les mesures nécessaire afin d’y aller pour corriger le débit.
Astuce: Sur la carte, il peut être très utile de numéroter suivant le décalage de bit le site de forage concerné.
Il nous faut maintenant avoir ce visuel sur un centre de contrôle afin que cela nous serve à quelque chose.
Installons d’abord un calculateur. Il sera connecté en entrée par le câble rouge venant de notre réseau principal mais également à un émetteur de constante avec un câble vert.
Nous le relierons en sortie à une rangée de lampe que nous relions également entre eux.
Chaque lampe aura son propre signal numérique supérieur à zéro. Nous cocherons la case “utiliser la couleur.
Exemple la première lampe “0” > 0.
Dans notre émetteur de constante se trouve les chiffres décimaux servant à la conversion d’une décimal en binaire. Le rouge correspond à l’addition de tous ces signaux. Il sera donc émis peu importe la lampe qui s’allumera.
Pour allumer la lampe, notre calculateur enverra tous les signaux valable avec cette conversion.
(Voir chapitre binaire)
Nous pouvons utiliser pour tous les sites ou mettre des haut-parleurs programmable directement relier au stock.
2.2.4. Les trains à la demande.
Bien que nos trains roulent uniquement de plein à vide, nous n’avons fait qu’ajouter des trains et des trains. Cependant nous allons surcharger notre trafic ferroviaire du à ce nombre considérable de train sur le réseau.
Pour résoudre ce problème, serait-il possible d’avoir un train qui pourrait répondre à tous les quais d’une même marchandise et surtout de distinguer le quai dans le besoin pour remplir sa mission ? Oui, nous pouvons le faire.
Nous pouvons ainsi regrouper certains trains ayant la même mission de marchandise en un nombre plus réduit si le temps de chargement leurs permettent de répondre à toutes les demandes. Nous pourrons aussi avoir des trains répondant à différentes demandes. Ainsi nous réduirons le nombre de train sur notre réseau ferroviaire.
Il permettrait aussi de supprimer les zones d’attente des quais de demande. Ainsi gagner de l’espace.
Nous pourrons aussi limiter les stocks de tous les quais, nous évitant ainsi de surproduire.
Pour se faire, je vais reprendre un à un tous les précédents quais que nous avons préparé et les inclure dans les deux catégories des trains à la demande. Soit les quais de la demande et les quais producteurs.
2.2.4.1. Un train à la demande (envoyer au train).
Au plus nous construisons au plus notre demande en ressource augmente au plus nous ajoutons de train. Bien souvent nous mettons des trains à la tempo mais ceci aura tendance à faire voyager nos trains à moitié plein et encombrera notre réseau de train. Pour optimiser notre réseau, nos trains voyagent désormais de plein à vide. Ceci améliore grandement notre réseau mais nous nous retrouvons souvent avec des quais de déchargement surcharger de ressource. Pire cela peut interférer avec les systèmes logiques présent sur les quais. Pouvons-nous avoir un train qui ne parte du quai qu’en étant sur que son quai en a besoin?
Envoyer au train est notre solution. Nous pouvons très bien envoyer les stocks de notre quai sur notre arrêt et demander au train de ne partir qu’en dessous d’un certain seuil.
Suffit ensuite de configurer notre train dans les conditions d’attente.
Sous la condition “Wagon vide” notre train partirait immédiatement vers son second arrêt mais nous pouvons observer qu’avec la condition “Et”, il est obligé d’attendre que les deux conditions soit remplit. La deuxième étant l’information sous condition du stock du quai. Il partira donc sous ce seuil imposé.
A son retour, la seconde condition est vrai. Le stock est bien en dessous du seuil mais n’étant pas encore déchargé, il ne peut quitter le quai. Le train devra toujours attendre que les deux conditions soient vrai pour partir de cet arrêt.
2.2.4.2. Un train à la demande (Activer/désactiver).
Arrêt de train éloigné les uns des autres:
Pour ce chapitre, je vais prendre un exemple simple qui parlera sans doute à tout le monde.
Nous avons tous une production pétrolière. Nous avons au départ un arrêt de train pour le remplissage, un autre pour la vidange du train. Malheureusement les chevalets ont une baisse de production, un débit plus faible. Cependant notre demande en pétrole n’a pas diminué. Un second train s’occupe alors du second arrêt de remplissage puis un troisième du troisième arrêt. Beaucoup de train qui ne circule peut-être pas tous en même temps mais des arrêts de vidange en cascade inutile.
Une solution avoir un seul train qui ferait la boucle des trois arrêts de remplissage avant son retour à la station de vidange. Bien souvent son plein est fait sur le dernier arrêt et il ne fait que glaner quelque goutte sur les deux premières.
Pourquoi notre train ne pourrait pas aller directement à l’arrêt dont il est sûr d’avoir son plein et ignorer les autres?
Reprenons notre exemple pétrolier. Si toutes nos stations de remplissage portent le même nom. Une fois que notre train a remplit sa condition d’attente, il retourne à son arrêt de vidange. C’est donc la seule mission qui lui doit être mise.
Cependant notre train est plutôt du genre fainéant (un peu comme moi, je l’avoue). Il cherchera toujours l’arrêt “Activé” le plus proche. Vous l’avez bien compris, la clef réside dans ce mot “Activé”.
En effet nous pouvons fermer nos arrêt de train. Pourquoi justement pas le faire si nous n’avons pas le stock suffisant pour remplir notre train?
Connectons donc nos réservoirs à notre arrêt avec le même câble qui nous servait pour le système d’équilibrage vu dans le chapitre optimisation des quais de chargement.
Notre condition d’activation “Pétrole” > 100 000 qui correspond à 4 wagons citerne, la totalité de mon train. Les arrêts activés seront blanc sur la carte alors que les arrêts désactivé seront rouge.
Notre train ne pourra aller qu’aux arrêts qui seront activés et au plus proches d’entre eux si plusieurs sont activés.
Faire demi tour à un train:
Nous pouvons nous servir de cela pour bien d’autre chose. Imaginez que vous avez un train circulant à double sens sur plusieurs wagons qui transportent différentes ressources dans chaque wagon mais ce dernier revient à son quai de chargement dans le mauvais sens. Aucun bras ne peut le charger si nous avons bien verrouiller tous les emplacements des wagons. Ne pourrait-on pas lui demander de se retourner lui même au lieu qu’il attende notre intervention divine?
Pour ce faire nous allons permettre à notre quai de charger le train d’un article dont il ne l’est pas normalement. C’est au cas où notre train sera vide de cette article.
Nous installons bien évidement un coffre de demande qui en fera la demande. Nous n’aurons pas besoin d’un grand nombre car notre but n’est pas de remplir l’emplacement.
Ensuite nous allons commander un bras robotisé pour qu’en présence du train à son arrêt,il ne charge qu’un seul rail. Nous allons relier un câble rouge à l’entrée d’un calculateur puis au bras de chargement de ce rail. Pour finir un câble vert de la sortie du calculateur au bras robotisé.
Condition des différents éléments.
L’arrêt de train doit envoyer sa présence mais il devra aussi recevoir un ordre de départ donc les deux cases sont cochés. “Lit l’identifiant du train” “Envoyer au train”.
Le bras robotisé doit recevoir l’information de présence. “T” > 0 pour s’activer.
Le calculateur dont son traitement prend un tick va recevoir “T” pour l’envoyer en négatif un tock plus ♥♥♥♥ donc. Ceci annulera l’émission envoyer par la présence du train.
“T” (1) + “T” (-1) = “T” (0) donc pas de signal.
Notre train est donc chargé d’un rail. Faisons comprendre au train qui doit partir Nous allons récupérer le rail du train et le mettre dans un coffre logistique actif, ce coffre doit absolument se vider dans notre réseau logistique. Cela nous laissera le temps de faire partir notre train activé un arrêt qui permettra au train de faire demi tour. Relions ce coffre à l’arrêt de train directement. Nous pourrons nous servir du câble rouge déjà présent.
Il nous faut ensuite activé l’arrêt de train qui permettra au train de faire son demi tour. A prévoir donc assez proche de son arrêt de chargement bien évidement.
Lorsque le train arrivera en sens inverse, un rail sera introduit dans son chargement et un autre en extrait un. Le train ayant une attente d’une seconde (tempo), il partira sur l’arrêt “D.Magasin” pour faire son demi tour. Entre temps un robot récupère le rail, l’arrêt se ferme et notre train revient dans le bon sens. En absence de rail le train passe directement à l’étape 3 de sa mission.
2.2.4.3 Train à la demande sans dépôt (multi train).
Nous avons beaucoup de ressources demandées. Cela diffère en quantité mais cela nous demande beaucoup de train. Nous installons par conséquent un réseau ferroviaire conséquent mais nous serait-il pas possible de limiter le nombre de train remplissant la même mission?
Prenons l’exemple des plaques de fer qui sont demandées dans la plupart des assemblages.
Nous possédons plusieurs usines demandeuses et installons par conséquent plusieurs trains. Jusqu’à présent et sans contrôle nous pouvons avoir 10 stations demandeuses mais les trains avaient la fâcheuse manie d’aller toujours à la plus proche.
Nous pourrions aussi fermer les stations non demandeuses mais cela n’empêchait aucunement d’avoir ces 10 trains partant pour la même station ouverte. Cependant l’arrivé d’un train suffit généralement à remplir la demande. Nous avions donc 9 trains parti inutilement pour une demande alors que nous avions peut-être une autre demande autre part.
Il nous est possible à présent de limiter les accès d’un arrêt de train en nombre.
Pour cela nous allons utiliser les stocks de notre quai qui vont déclencher la demande d’un seul train via cette limite car bien souvent hormis lors de l’ouverture de l’usine, un seul train suffit à remplir la demande.
Installons donc un comparateur. Son entrée sera relié aux stocks du quai et la sortie directement à l’arrêt de train.
Condition du comparateur:
“Tout” < 32 000 (la limite de stock que je veux sur ce quai pour une livraison).
Sortie “D”.
Sur l’arrêt de train nous cocherons uniquement “Définir les limites de trains”. Lorsque mon stock sera inférieur à ces 32 000, mon comparateur enverra le signal “D” à l’arrêt qui modifiera la limite d’accès.
Nous aurons donc un seul train pouvant se déplacer vers cette station.
Nous nous sommes occupé des stations demandeuses mais il nous reste les quais producteurs.
Nous avons donc plusieurs quais donc plusieurs trains. Avec ce système, tous les trains étant “plein” peuvent remplir leur mission et nous pourrions avoir terminé. Cependant allons plus loin.
Ne pourrions nous pas demandé au train dont son quai est le plus remplit de partir sur la mission?
En effet à son retour, nous serions sûr qu’il soit rapidement disponible pour remplir une autre mission. Cependant lors du départ du train, il faut que son quai soit retiré des comparaisons afin que les autres quais remplissant les conditions de départ soit à leur tour prévu pour un départ.
Il es possible avec les circuits logiques et faire cela.
Installons sur chaque quai un calculateur. Son entrée sera relié au stock du quai et il devra changer le stock en un autre signal afin que nous puissions par la suite les comparer entre eux.
Condition calculateur:
“Chaque” + 0, Sortie “A” (chaque quai ayant son propre signal).
A présent il nous faut aire en sorte que la comparaison ne soit possible qu’en présence du train à quai. Nous allons donc installer un comparateur qui sera relié en entrée à l’arrêt de train mais également à la sortie du calculateur de son quai. Nous l’appellerons “Présence”
Condition comparateur “Présence”:
“T” > 0. Sortie “A” (signal du quai concerné).
Il est important de bien différencier le signal de sortie par l’intitulé du quai et de ne pas mettre tout en sortie car le signal “T” de présence du train pourrait interférer avec la comparaison des quais.
Arrêt de train:
Cocher les cases “Lit l’identifiant du train” et “Envoyer au train”.
Nota: “Envoyer au train” sera pour le départ du train mais nous allons le voir dans un instant.
A présent installons un dernier comparateur. Celui ci nous l’appellerons “Départ”.
Il sera relié tête bêche au comparateur “Présence”. Donc son entrée à la sortie de l’autre et inversement.
Condition comparateur “Départ”:
“Tout” < ou = “A” (signal du quai concerné).
Nous remarquerons sur la photo la connexion sortie comparateur “Présence” et entrée comparateur “Départ” sont aussi connecter au poteau électrique. C’est avec ce câble que nous allons relier tous nos quais ensemble pour la comparaison.
Passons à l’explication.
Si nous faisons des stocks sur le quai cela veut dire que notre train est plein. Il nous sert donc à rien de prendre le stock du train. Le calculateur nous permet de différencier les quais entre eux.
Le comparateur “Présence” n’enverra le signal du quai qu’en présence du train à quai. Il pourra donc se faire comparait aux autres dans la même condition de présence.
Le comparateur “Départ” sert à prioriser uniquement le quai le plus remplit et à donner l’autorisation à notre train de partir par le signal “Vert” (condition d’attente du train en plus de son chargement plein).
Lorsque le train n’est plus à quai le comparateur “Présence” n’envoie donc plus les stocks du quai les enlevant de toute comparaison possible et donc ne sera plus disponible au départ.
Nous avons prévu le départ mais pouvons nous faire en sorte que le retour soit prévu sur le quai le plus remplit? Ceci pourrait être intéressant que notre train puisse être disponible rapidement pour une éventuelle futur mission. Cependant il ne faut pas non plus que notre train veuille se diriger sur un quai ayant déjà un train à quai car celui-ci serait le plus remplit de tous.
Nous devrons donc faire en sorte que seul les quais en absence de train soit pris dans cette comparaison.
Reprenons notre précédent montage et installons un comparateur qui en l’absence du train fera passer le signal du stock du quai. Ce comparateur sera donc relié en entrée à la sortie du calculateur changeant le stock en un signal de différenciation.
Condition du comparateur:
“T” = 0. Sortie “Tout”.
En l’absence du signal “T” de présence du train, nous pouvons nous permettre de mettre “Tout” dans la condition final car aucun signal hormis les stocks viendront perturber le système.
Nous remarquerons que nous avons également la sortie du comparateur qui est relié avec un câble différent au poteau électrique. Celui-ci est bien de couleur différente au précédent montage car les comparaisons demandées ne sont pas pour le même système.
Ce câble reliera également tous les feux ferroviaires d’accès au quai.
Condition signaux ferroviaires:
“N’importe quel” > “A” (signal du quai concerné).
Passons à l’explication.
Lorsque le train est absent du quai, le stock peut être transmis aux signaux ferroviaires et permettre l’ouverture du quai le plus remplit. Une fois celui-ci occupé, il sera retiré des comparaisons.
2.2.4.4 Train de construction à la demande.
Il est possible de poser des plans à distance à condition que nous le fassions sous couverture radar.
Cependant dans le cas d’usine délocalisée la connexion des robotports entre eux ne servirait pas notre réseau logistique et les constructions prendraient beaucoup de temps. Cela nous demande donc de nous y déplacer ou d’envoyer une spidertron ayant le stock pour construire mais aussi ,pour de grosse construction, nous demande des aller-retours jusqu’à finir enfin.
Nous pourrions très bien préparer un train qui aurait dans son contenu tout ce qui nous est nécessaire pour construire tout ce que nous avons besoin, peu importe la construction que nous envisageons. Il nous suffit pour cela de préparer des coffres de demande sur son quai de chargement et dans chaque wagon de marchandise verrouiller les emplacements que nous désirons. Nous pourrions en faire appel à notre demande en posant un arrêt sur notre réseau ferroviaire. Nous pourrions préparer également un quai de déchargement de ces articles mais en faisant en sorte que nous puissions choisir leur quantité et donc ne pas décharger ce que nous n’avons pas besoin. Les robot de construction pourraient ensuite prendre le relais et construire sans que nous ayons à nous déplacer. En plus la station pourrait faire appel à ce train si besoin pour un remplissage.
En somme nous allons automatisé nos constructions sur de longue distance sans lever le petit doigt.
Il nous faudra cependant préparer le quai de déchargement.
Tout d’abord, occupons-nous de notre chargement. Préparons notre train et notre quai.
Nous ne manquerons pas de préparer des emplacements pour la récupération du bois, pierre et charbon qui pourraient être générer par la déconstruction de forêt et rocher. Si nous le faisons pas cela bloquera certainement nos constructions.
C’est pourquoi nous allons prévoir leur déchargement sur le quai avec des bras robotisés haute capacité filtrable. Nous pourrions très bien mettre un filtre à chacun mais cela ralentirait quelque peu notre déchargement de bois, pierre ou charbon. Nous allons donc faire en sorte de vérifier le contenu de notre train et d’y extraire uniquement ces articles de génération.
Posons donc 3 calculateurs, un pour chaque ressource. Ils devront être connecter à leur entrée à notre arrêt de train et leur sortie aux bras robotisés filtrable.
Condition calculateur:
“Ressource (bois, pierre ou charbon) + 0. Sortie “Ressource (la ressource choisit dans le calcul).
Sur notre arrêt de train, nous n’oublierons pas d’en lire le contenue seulement.
Et sur nos bras robotisés, nous ne cocherons que la case “Définir les filtres”.
Le train envoie son contenu aux calculateurs qui ne traitent que les ressources choisies. Les bras recevant un signal de la ressource positif ajouterons ce filtre et extrairons cette article. De ce fait nous aurons tous les bras disponible en action pour ce signal et passerons au suivant s’il y a.
Notre quai de chargement est prêt. Occupons-nous à présent de notre quai de déchargement.
Posons nos bras filtrables et nos coffres de stockage. Relions tous nos coffres entre eux avec un câble vert et tous nos bras entre eux avec un câble rouge.
Pour rappel, les coffres de stockage fonctionne dans les deux sens s’ils ne sont pas plein. Il pourront donc recevoir par les bras mais également par le réseau logistique et le fournir. Nous n’oublierons donc pas de leur imposer un filtre.
Chaque bras aura sa propre condition en relation au positionnement du wagon et ce qu’il peut y décharger.
“Activer/Désactiver” Cocher pour chacun. La condition d’activation étant: “l’article” > 0. Il ne pourra être activé qu’en recevant ce signal.
L’article choisi dans le filtre du bras robotisé qui définira au bras ce qu’il doit prendre du wagon.
“Définir la taille de la pile” cocher et en choisissant l’article correspond qui déterminera la quantité à extraire du wagon en relation avec la valeur du signal. Bien entendu même en recevant un signal supérieur à 12 le bras ne pourra pas dépasser sa capacité maximale.
Maintenant nous allons devoir créer la demande mais cette dernière devra prendre en compte le contenu de nos coffres et l’y soustraire. Nous ne voudrions pas tout de même remplir notre quai. Au contraire, nous allons demander un déchargement au compte près. Ainsi nous pourrons choisir ce qui doit ou ne doit pas être déchargé.
Installons un calculateur. Son entrée sera relié au câble de nos coffres, le vert et sa sortie à nos bras robotisés par le câble rouge. Condition “Chaque” x -1. Sortie “Chaque”. Ce calculateur viendra soustraire le stock du quai à la demande.
Installons ensuite des émetteurs de constante relié entre eux au câble rouge de nos bras.
Nous pouvons maintenant créer nos demandes dans chacun et n’oublierons pas déteindre l’émetteur. Nous allons surement faire un plan de ce déchargement à la fin. Cependant étant un train à la demande, il se peut que nous n’ayons pas le temps de retirer les articles que nous ne voulons pas décharger sur ce quai avant que le train y arrive. Les éteindre ne créera pas de demande et donc pas de mouvement de train. Nous pourrons les activer une fois cela réglé à notre convenance.
Voici quelque exemple de ce que nous devons décharger.
Les émetteurs de constance sont notre demande et le stock du quai va s’y soustraire.
Nous demandons par exemple 50 rails. Les bras recevront l’information jusqu’à ce que le stock vienne s’égaliser avec la demande. 50 rails (émetteur de constante) – 50 rails (stock au négatif envoyé par le calculateur = 0. Plus de signal, plus d’action du bras.
Nous pouvons donc suivant notre besoin venir effacer dans l’émetteur de constante le signal de la marchandise que nous ne voulons pas sur ce quai.
Il nous reste ensuite à créer la demande du train pour qu’en cas de manque de ressource à quai, il vienne le remplir. Installons un comparateur qui sera relié en entrée aux câbles de nos bras, émetteurs de constante.
Condition “Chaque” > 0. Sortie “Chaque” cocher 1.
Il va reprendre toutes nos demandes et les réduire à 1.
A présent de la sortie de ce comparateur relions à l’entrée d’un calculateur qui inversera le signal positif en négatif et la sortie de ce dernier à notre arrêt de train.
2.2.4.4 Train de construction à la demande (suite)
Condition Calculateur “Chaque” x -1. Sortie “Chaque”.
L’arrêt de train: “Activer/Désactivation” Coché
Condition d’activation: “N’importe quel” < 0.
Dans l’état actuel n’importe quel signal émis des émetteurs en absence de stock va créer une demande et même si nous avons une demande de 50 rails mais en stock 48 rails, l’arrêt de train va recevoir le signal “Rail” (-1) d’activation. Hors nous n’avons pas besoin que notre train se déplace constamment dès qu’il manque un article sur le quai.
Il nous faut donc relié nos stocks avec le câble vert à notre arrêt.
Le signal négatif -1 des demandes sera absorbé par nos stocks donc pas d’activation de l’arrêt de train. Cependant en absence de stock, la demande sera bien -1 et déclenchera notre arrêt de train.
Il nous suffit ensuite de régler notre départ de train pour qu’il parte dans les deux cas par inactivité des bras robotisés.
Bonus: Pensons également à introduire nos robots logistiques et constructions sur notre réseau logistique local directement de ce quai.
Si notre station de construction a son stock, elle est fermée. Si elle s’ouvre, le train démarre pour y faire le plein.
L’avantage est que nous pouvons avoir 10 stations de construction différente et portant le même nom. Le train répondant à l’ouverture, ira toujours à la station ouverte la plus proche.
Ceci peut être fait pour un train de construction servant au multi usage. Nous pouvons cependant l’adapter à un train construisant notre champs de panneaux solaires/accue/robotport ou le ravitaillement/réparation/remplacement sur nos lignes de défense.
Le déchargement se fera suivant le contrôle des stocks wifi. Le stock sera relié à notre arrêt de train via le robotport avec la demande de train de notre émetteur de constante.
2.2.5. Passage à niveau.
Dans « Factorio », il n’y a ni pont, ni tunnel. Nous sommes donc obligés de traverser les voies. Cependant cela reste risqué voir mortel si nous ne prêtons pas attention à la couleur des signaux.
Nous pouvons empêcher par la logique que cela arrive et ainsi traverser en toute sécurité.
Nous voulons que le train s’arrête à notre passage et uniquement cela.
Nous allons commencer par installer quatre signaux ferroviaires.
Installons ensuite des portes.
Avec un câble vert, nous allons relié le feu ferroviaire bas gauche et haut droit ensemble ainsi que les portes extérieures au passage à niveau étant les plus proches des rails.
Le feu ferroviaire aura les deux conditions activées. Passage au rouge “G” > 0.
Lecture des feux.
Les deux portes “Tout” = 0.
Nous allons ensuite avec un câble rouge relier nos deux feux une nouvelle fois ainsi que les 3 autres portes que nous n’avions pas fait pour le moment. Veuillez noté que j’ai intentionnellement retirer le premier câble vert afin que vous puissiez bien observer les portes concernées par ce câble rouge.
Il s’agit des portes totalement en extérieur et des portes situées entre les rails.
Condition de toutes les portes “Lire le capteur” Sortie “G”.
Nous avons terminé. Les portes extérieurs et entre les voies vont faire appellent au feu afin que les trains s’arrêtent. Cependant si les signaux “orange” avertissant un train qui ne peut freiner à temps ou les signaux “rouge” avertissant l’occupation des voies sur le passage à niveau sont émis, les portes extérieur proche des rails resteront fermées.
Les portes entre les rails sont pour continuer à signaler notre présence et garder les feux ferroviaires au rouge durant notre passage.
3. Le réseau logistique.
Le réseau logistique est le troisième réseau de « Factorio ».
D’après une définition que j’ai trouvée : le réseau logistique est l’ensemble des opérations successives de transports, manutentions et stockages intermédiaires mises en œuvre pour assurer l’acheminement des marchandises du lieu fabrication au lieu de consommation finale.
En somme un convoyeur, un bras robotisé, un coffre font partie du réseau logistique.
Nous allons voir que ce réseau s’organise, travaille lui aussi avec des informations. Ces dernières n’ont cependant pas besoin de câble pour communiquer. Elles transmettent leurs signaux par ondes. Bien entendu puisqu’il s’agit de transport de marchandise, nous aurons accès qu’aux signaux les concernant. Exit les signaux chiffrés, alphabétiques, de couleur. Nous ne pourrons d’autant plus utiliser des comparateurs externes ou des calculateurs.
Nous verrons que le réseau logistique utilise aussi des appareils intelligents
Pour connecter un appareil intelligent au réseau logistique, il faut faire un clic sur l’icône correspondant.
Une fois fait, nous aurons la possibilité de connecter l’appareil au réseau en cochant la case « Connecter ».
Un nouveau menu apparaîtra. Il est le même pour tous. Une comparaison simple.
Nous apprendrons les connaissances de bases du réseau logistique afin de pouvoir en comprendre le fonctionnement.
Nous verrons aussi les différents appareils intelligents avec lequel il travaille.
3.1. Les connaissances de base.
Bien que la définition du réseau logistique doive s’étendre au moyen de transport en tout genre, nous allons donner un autre sens au réseau logistique.
Nous allons parler de lui par le moyen qu’il possède pour communiquer avec ses appareils intelligents et les moyens autres que les convoyeurs pour transporter des marchandises.
Pour communiquer le réseau a besoin de base, d’antenne. Ceux sont les robotports.
Qu’est-ce qu’un « Roboport » ? Quels sont ces fonctions ?
3.1.1. Le robotport.
Le robotport est avant tout le lieu d’attente de mission pour les robots logistiques et les robots de construction qu’il contrôle sous son réseau. Il peut contenir jusqu’à 7 piles de robots et 7 piles de kit de réparation. Il possède aussi quatre pôles de rechargement et une antenne tournoyante pour émettre.
Il émet dans un premier rayon orange où les robots logistiques et les appareils intelligents peuvent interagir. Il émet en outre un second rayon plus large où les robots de constructions peuvent interagir.
Pour étendre le réseau logistique nous aurons besoin que le rayon orange de deux robotports se touchent. Nous verrons apparaître des pointillés allant de l’un à l’autre pour signaler leur connexion.
Dans son rayon orange, le réseau logistique sera informé des stocks et demande et demandera l’intervention de robots logistiques (transport) ou l’activation d’appareils intelligents connecté à son réseau.
Dans son rayon vert, le réseau logistique sera informé des éventuelles dégâts ou destruction d’élément de construction et veillera à sa réparation ou remplacement si l’article est disponible sous son réseau. C’est aussi dans ce rayon que nous pouvons demander la construction via des images fantômes (Maj + Clic gauche ou blueprint bleu),de déconstruire (blueprint rouge) ou la mise à niveau (blueprint vert) de construction déjà en place.
Pour cela différents coffres sont à leur dispositions dont l’explication est obligatoire pour comprendre leur fonctionnement. Tous ses coffres auront 48 emplacements.
Nous verrons donc les différents robots et coffres disponibles pour le réseau logistique.
3.1.2. Les robots.
Il existe deux types de robot sous le contrôle des robotports. Chacun ayant leur fonction.
Les robots logistiques.
Ces robots servent uniquement de moyen de transport aérien des marchandises. Ils servent donc pour l’interaction des coffres logistiques entre eux.
Les robots de construction.
Ces robots servent pour la construction des images virtuelles. Il existe deux types images virtuelles.
Une permanente laissé par le joueur en appliquant un plan ou en faisant un « Shift + clic gauche » d’une installation sur le terrain.
Une temporaire laissé par la destruction d’une installation.
Cette dernière image à un décompte signaler en violet. Si cela n’est pas mis en place avant la fin, cette construction ne sera plus disponible sur le réseau.
Ils servent aussi de réparateur pour toutes installations dans son rayon d’action à condition d’avoir à disposition des kits de réparation.
Ces robots peuvent être inclus dans l’inventaire pour une utilisation via le robotport personnel afin d’être toujours disponible pour le joueur.
3.1.3. les coffres logistiques.
Il existe 5 coffres logistiques différents dont leur fonction diffère.
Le coffre de demande (coffre bleu).
C’est le point final pour qu’une marchandise soit utilisée dans une usine d’assemblage. Il émettra une demande sur le réseau logistique visible uniquement par les robots logistiques. Ces derniers feront tout pour satisfaire ces besoins. Nous devons configurer ce coffre pour créer la demande.
Dans l’encadré rouge, les demandes seront effectuées. Nous pouvons observer une demande sur fond jaune pour nous signaler que l’article est disponible sous le réseau. Sous fond rouge, qu’elle ne l’est pas.
Nous pouvons aussi en le reliant à un réseau logique créer cette demande comme expliquer dans le chapitre « Réseau logistique – Appareil intelligent ».
Il recevra toute marchandise demandé de tous les coffres logistique disponible sous le réseau dont il appartient. Cependant les coffres tampons ne seront solliciter qu’en cochant la cas encadré en vert.
Attention : Ce coffre n’émet pas son stock sur le réseau logistique.
Le coffre d’approvisionnement passif (coffre rouge).
Ce coffre répond uniquement aux coffres de demande et tampon. Il peut garder son contenu. Cependant il sera utilisé pour de petites productions. On dit de lui qu’il est passif car il ne répond qu’au demande.
Il émet son stock sur le réseau logistique.
Le coffre d’approvisionnement actif (coffre mauve).
Ce coffre a pour but de se vider dans son intégralité. Il utilisera en priorité le coffre de demande ou tampon si ces derniers lui font appel. En second, il cherchera à se vider dans les coffres de stockage. On dit de lui qu’il est actif car il interagit avec le réseau pour se vider. Il servira donc pour de grosse production.
Il émet son stock sur le réseau logistique.
Le coffre de stockage (coffre jaune).
Ce coffre est fait pour le stockage de grosse quantité. Il sert aussi de décharge personnel pour le joueur.
S’il y a plusieurs coffres logistiques de stockage, les robots logistiques s’arrangeront pour mettre une seule marchandise par coffre jusqu’à ce que cela ne soit plus possible si un filtre n’est pas appliqué.
Il est très utile pour le stockage de très grosse production.
Les coffres d’approvisionnement actif font appel à lui pour se vider.
Il peut fournir les coffres de demande et tampon.
Il émet son stock sur le réseau logistique.
Le coffre Tampon.
Ce coffre est particulier. Il peut faire des demandes au réseau.
Encadré en vert, l’emplacement des demandes. Sur fond jaune, un article disponible sur le réseau. Sur fond rouge, non disponible.
Il peut aussi répondre à la demande d’un coffre de demande.
Pour comprendre sa mission, voici un exemple. Un coffre de demande fait appel au réseau pour une ressource. Cependant le coffre d’approvisionnement passif est très loin. Cela demande au robot logistique de faire le déplacement en un arrêt sur des robotports afin de se recharger pour continuer son trajet. En mettant un coffre tampon entre les deux et en ayant mis cette demande de ressource pour qu’il en stock lui même, notre robot fera une plus courte distance pour répondre à la demande du coffre de demande. Il en fera aussi l’appel une fois que le robot aura récupérer la marchandise puisqu’il lui en manquera. Nous aurons donc deux robots qui se diviseront le trajet.
Ce coffre est donc fait pour étendre le réseau logistique afin qu’il y réponde mieux.
Il émet son stock sur le réseau logistique.
Voici un récapitulatif des actions entre les coffres.
Tous ces transports de marchandise ne seraient pas possible sans les robots logistiques.
3.1.4. Les appareils intelligents.
Je ne ferai pas d’explication sur chaque appareil intelligent du réseau logistique car ils possèdent tous la même interface d’interactivité. Une liste suffira donc amplement.
Veuillez tout de même vous rappeler que l’on perd beaucoup de fonctionnalité comparé au réseau logique. Seul des comparaisons seront possibles.
Liste des appareils :
La pompe côtière.
La petite pompe.
Le commutateur électrique.
La lampe (attention plus de couleur possible).
Les convoyeurs.
Les bras robotisés.
Les coffres logistiques.
Les arrêt de train.
Les foreuses thermiques et électriques.
Les chevalets de pompage.
Ces appareils pourront être commander afin de créer des limites de production (Les coffres logistiques envoyant les signaux permettant de créer les limites aux différents appareils intelligents).
3.1.5. Logistique personnel et déchargement automatique (fonctionne aussi pour la spidertron).
Depuis le début de notre arrivée sur la planète, nous créons engrenage, circuit électronique pour faire des bras robotisés afin d’automatiser nos usines pour éviter de le faire nous même.
Une fois cela fait nous ne faisons que courir à droite pour aller chercher des convoyeurs rapides, à gauche pour aller chercher bras robotisés filtrables, poser une usines d’assemblage puis revenir en chercher d’autre.
Nous courons partout et même si des véhicules sont disponibles, cela reste pénible à chaque fois de faire nos courses dans notre magasin.
Avec l’arrivée des robots et coffres logistiques, nous avions vu qu’il était possible que les choses puissent se construire sans que nous ayons l’élément de construction forcément dans la main.
Nous utilisions les robots de constructions.
Nous avons vu aussi que les robots logistiques travaillaient avec les coffres logistiques pour répondre à des demandes. Pourrions-nous pas aussi faire quelques demandes au réseau logistique afin de moins courir?
C’est à ceci que sert la logistique personnel.
Logistique est le troisième onglet sur l’encadré vert.
Dans l’encadré bleu lorsque nous commençons cela est vide. C’est à nous de faire les demandes.
Nous sélectionnons un article.
Nous pouvons constater que nous avons une limite basse et une haute.
En somme la limite basse est notre demande.
La limite haute est ce que nous demandons de garder au maximum avant que les robots viennent nous retirer ce que nous aurons en trop.
Sur la photo, ci dessus, nous demandons 200 câble logique rouge et nous n’en aurons pas plus.
Sur cette photo, nous demandons 400 convoyeurs rapide mais nous n’en voulons pas plus de 600.
Nous pouvons changer cela à tout moment et cela est très pratique pour toujours avoir tout ce qu’il nous faut sans avoir ce qu’il nous faut pas.
Un autre avantage est aussi de pouvoir désactivé ces demandes par l’interrupteur en haut à droite.
En effet si nous demandons à ne jamais avoir de bois sur nous et que nous avons plusieurs réseaux logistiques. Dans celui où nous nous trouvons, il n’y a pas de traitement pour récupérer et brûler le bois. C’est pourquoi il est possible et préférable de désactiver certaines fois des demandes faite par notre joueur.
Pour finir l’emplacement de décharge. C’est dans cette zone que vous pouvez vous débarrasser des articles non désiré. Elle sert de stockage dans l’attente d’être récupérer par les robots logistiques, mais les demandes logistiques se chargent eux même de basculer ces articles en trop si vos réglages sont fait.
3.2. Réseau logique et logistique.
Nous n’aurons pas beaucoup d’interaction possible entre eux.
Une connexion d’un câble logique à un robotport sera véritablement la seule interaction utile mais nous aurons deux modes de fonctionnement. Soit « Lire le contenu du réseau logistique ». Soit « Lire le compte de robots ». Nous pourrons donc avoir soit les stocks des coffres logistiques ou le contrôle des effectifs des robots.
Nous pourrons aussi avoir des limites de production sans utiliser un seul câble logique.
3.2.1. Les stocks et effectif du réseau logistique.
En mode « Lire le contenu du réseau logistique » Nous pourrons recevoir l’inventaire de tous les coffres logistiques présent sous le réseau logistique du robotport et de tous ceux y étant connecté. Ceci nous sera utile pour nous éviter d’avoir des câbles logique parcourant toute une usine et n’avoir en contre parti qu’une seule connexion.
En mode “Lire les statistiques des robots”, nous pourrons savoir combien de robots logistiques sont disponible(X), leur total(Y) et combien avons nous de robot de construction disponible (Z) et son total (T).
Nous pourrons aussi inclure ces stocks sur le réseau principal sans aucun problème d’influence sur le réseau logistique car le réseau logique n’intervient pas sur les stocks du réseau logistique. A l’inverse, il ne s’agit que de stock sur le réseau logique.
3.2.2. Contrôle des effectifs.
En mode « Lire les statistiques des robots », nous y verrons les différents comptes des robots. Les totaux et les disponibles. Un robot en mission sera toujours dans les totaux mais plus disponibles.
Nous pouvons avec cela créer une alerte des comptes sur le canal rouge mais nous pouvons surtout prendre le contrôle des effectifs des robotports. Ceci peut nous être très utile.
Nous pouvons installer des robotports pour la réparation, remplacement des installations mais comme ces dernières, les robots de construction peuvent subir des dégâts voir même être détruit à leur tour. Si nous voulons que cela perdure dans le temps, il nous faut un remplacement des robots.
De même, nous pouvons avoir un grand besoin de robot de transport pour une grosse quantité de marchandise en un temps limité mais nous désirons peut-être qu’un seul robotport.
Nous allons voir comment réaliser ce montage.
Contrôle des effectifs des robots de construction.
Dans un premier temps, il nous faut un bras robotisé qui introduise des robots dans le robotport. Il nous faut aussi un bras robotisé pour retirer l’excédent de robot s’il y a mais celui-ci ne doit pas retirer les robots logistiques s’il y a. Il faut aussi que les robots de construction retirés puissent être introduits de nouveau si le besoin est.
Nous allons donc faire le même montage que sur la photo qui suit.
Nous n’oublierons pas le filtre du bras robotisé filtrable, soit les robots de construction et la taille de la pile à 1.
Nous allons ensuite relier les deux bras touchant le robotport et le robotport par un câble logique et mettre les conditions utilisations de chacun.
Bras robotisé filtrable :
Filtre : Robot de construction.
Condition d’activation : « T » > 40.
Taille de la pile 1
Bras robotisé (bleu) :
Condition d’activation : « T » < 40.
Taille de la pile 1
Robotport en mode “Lire les statistiques des robots”
Je vous rappelle que « T » est le compte total des robots de construction émit par le robotport.
Nous pouvons changer le coffre d’insertion par un coffre logistique de demande si nous le désirons.
Il nous reste ensuite à contrôler le remplissage sur coffre sur lequel le coffre logistique de demande à assez. En effet si nous le faisons pas nous pourrions avoir ce dernier remplir par le coffre de demande.
Une simple condition “Robot de construction” = 0 pour qu’il en introduise lorsque le coffre est vide.
Contrôle des effectifs des robots logistiques.
Nous pouvons faire exactement la même chose en parallèle pour les robots logistiques en utilisant “Y” dans les conditions des bras.
Nota: Cette astuce d’introduction des robots logistiques est très intéressant en utilisant “X” et avoir un boost de robots logistiques pour un bref instant le temps d’une mission courte sur un réseau ne pouvant tous les stocker.
3.2.3. Limite de production sans fil.
Nous avons vu précédemment qu’il été possible de faire des limites de production par les câbles logiques. Nous pouvons aussi le faire sans câble.
Nous aurons besoin que toutes les productions de marchandises finissent dans un coffre d’approvisionnement ou de stockage. Ainsi nous pourrons sur le réseau logistique avoir un visuel des marchandises que nous voulons limiter. Il nous suffira ensuite de contrôler les bras robotisés ou les convoyeurs suivant les besoins. Bien entendu, nous ne pouvons inclure dans ce système l’émetteur de constante comme dans les limites de production logique.
Je n’expliquerai pas toutes les possibilités possibles de contrôle mais nous savons déjà que nous n’avons que la comparaison de marchandise dans la condition du réseau logistique.
Voici donc juste un exemple de contrôle de production.
Sur cette photo,une limite de production fixé à 20 bras robotisés filtrables.
4. Les affichages
Dans cette partie, nous allons voir les possibilités des combinateurs dans les affichages. Nous ferons des systèmes simples comme des jauges et d’autre plus complexe comme des affichages digitaux de stocks de marchandise.
Pour des affichages en couleur, Il nous faudra retenir les couleurs dominantes.
Les couleurs dominantes étant celle situé à gauche par rapport aux autres. Nous n’oublierons pas que les couleurs grise et noire ne sont pas des couleurs pour un affichage. Nous ne les utiliserons donc pas.
4.1. Les jauges.
Pour cet exemple nous ferons une jauge sur la charge des accumulateurs.
Nous savons que la charge d’un accumulateur à son maximum est 100.
Nous allons faire deux systèmes de jauges différentes.
Le premier dont les couleurs seront fixes suivant la valeur, la jauge fixe.
Le second dont les couleurs seront dynamiques suivant la valeur, la jauge dynamique.
4.1.1. La jauge fixe.
D’un accumulateur, nous allons relier 3 comparateurs en parallèle et 10 lampes comme sur la photo qui suit.
Pour la condition des comparateurs nous aurons :
Paramètres :
« Chaque » > 0. (« A » signal par défaut d’un accumulateur).
Sortie :
« Couleur » (vert, jaune rouge).
« Compteur d’entrée » coché.
Nous aurons donc chaque comparateur qui transformera son signal d’entrée en la couleur demandé tout en gardant la valeur.
Nous allons ensuite connecter les trois première lampes au comparateur de signal « Rouge ».
Les trois suivantes au comparateur de signal « Jaune ». Les quatre dernières au comparateur de signal « Vert ».
Il nous suffit ensuite de mettre les conditions aux lampes. Elles auront toutes « utiliser les couleurs » de coché. Dans l’ordre de haut en bas.
« N’importe lequel » > 90.
« N’importe lequel » > 80.
« N’importe lequel » > 70.
« N’importe lequel » > 60.
« N’importe lequel » > 50.
« N’importe lequel » > 40.
« N’importe lequel » > 30.
« N’importe lequel » > 20.
« N’importe lequel » > 10.
« N’importe lequel » > 0.
Nous aurons donc suivant la valeur de l’accumulateur les affichages suivant :
Nota: Sur les lampes, nous pouvons y mettre “Tout” > (le nombre choisi) pour que cela fonctionne.
4.1.2. La jauge dynamique.
Jauge dynamique (niveau débutant).
Pour la jauge dynamique nous allons de nouveau installer 3 comparateurs en parallèle et 10 lampes.
Nous garderons les conditions d’activations des lampes. Cependant toutes les lampes et les sorties des comparateurs seront connecter ensemble.
Nous ne changerons que les conditions des trois comparateurs.
Nous avons choisi pour le signal « Vert » en sortie, « Chaque » > 60 pour le changement de couleur en vert au-delà de 60.
Nous avons choisi pour le signal « Rouge» en sortie, « Chaque » < ou = 30 pour le changement de couleur au dessous de 30.
Nous avons choisi pour le signal « Jaune » en sortie, « Chaque » > 0. Le jaune n’étant pas une couleur dominante par rapport aux deux autres, il n’y aura qu’en absence du vert et rouge que le jaune pourra être affiché.
Il existe aussi une version binaire. Ceci sera vraiment intéressant sur le changement de couleur.
Pour cela nous utilisons le binaire.
Jauge dynamique(niveau expert).
Tout d’abord installons nos lampes qui répondront toujours à notre signal “A” > (valeur définit par sa hauteur).
Installons un calculateur. Son câble d’entrée sera celui de l’accumulateur. Sa sortie, nos lampes.
Il divisera notre signal par 10.
De la sortie de ce calculateur, nous allons connecter un autre calculateur avec un autre câble.
Il viendra faire un décalage de bit. (voir chapitre binaire).
A la sortie de ce dernier calculateur, connectons l’entrée d’un nouveau calculateur qui va encoder notre couleur. Ce dernier sera connecté à nos lampes.
Pour finir nous allons connecté un émetteur de constante à l’entrée de nos deux derniers calculateurs.
Pour finir, il nous reste à encoder nos couleurs. La première couleur devra être le signal noir de valeur 1. Il ne sera pas une couleur pour définir celui de l’affichage. Par contre les autres seront toujours le multiple de 2 du précédent. C’est pourquoi ma première couleur sera “Rouge” (2). La seconde de valeur 4, la suivante 8, etc…
Avec le bleu j’ai bien 10 couleurs sur mon affichage. Notre bleu sera la pleine charge.
Ceci nous permettra de faire des affichages vraiment psychédélique.
4.1.3. La jauge venant d’un signal défilant.
Lors du chapitre “Stock sur le réseau principal”, nous avons fait défilé nos stocks sur notre réseau principale d’information.
Cependant cela nous demande de vérifier cela sur un poteau électrique et d’attendre l’affichage désiré. Pourrions-nous faire des jauges pour chaque quai sur un centre de contrôle afin d’avoir un visuel immédiat des ses stocks?
Le problème est qu’ils défilent. Il faut donc les garder en mémoire mais qu’il s’actualise tout de même leur tour venu.
Second problème.Le temps de traitement d’information par un calculateur ou un comparateur est d’un tick. Si notre signal de stock est trop long dans le temps, il va continuellement s’additionner dans notre mémoire et nous n’aurons donc pas la bonne valeur.
Maintenant que nous connaissons les problèmes venons en au montage.
Tout d’abord préparons nos jauges. Nous les ferons à la verticale pour cette exemple. Nous allons aussi utiliser un calculateur qui pourra changer ainsi la couleur de notre jauge. En effet, nous pourrions utiliser ceci pour afficher les minerais de fer en bleu clair, les minerais de cuivre en orange, etc..
Le calculateur va nous servir à réduire notre chiffre sur une base d’un chiffre compris entre 1 à 10 si nous avons 10 lampes pour notre jauge afin obtenir un pourcentage de notre signal si vous voyez ce que je veux dire.
“Chaque” (calcule que nous désirons) Sortie: Couleur que nous désirons.
Chaque lampe aura “N’importe quel” > (chiffre graduel suivant la hauteur de la jauge). Cochons aussi la case “utiliser les couleurs”.
Maintenant mettons en place deux rangées de comparateur.
La ligne du bas sera relié à l’entrée et sortie du second puis au calculateur avec le même câble. Ce second comparateur relié sur lui même est une mémoire.
Répétons ceci mais changeons la valeur de “S” sur chaque colonne.
La rangée du bas “S” = (valeur). Sortie “Noir”.
La rangée du haut “S” différent (valeur) . Sortie “Noir”.
Attention: Dans chaque colonne la valeur est la même (Bas signe = et haut signe différent).
La différence des colonnes change la valeur à y inclure.
Nous allons maintenant récupérer les stocks défilants de notre réseau principal et en extraire la temporisation et l’article que nous désirons pour nos jauges.
Ici sur cette photo, notre temporisation est “S” et notre article “Minerai de fer” que nous allons tout de suite changer dans un autre signal pouvant être traiter par le précédent montage.
Il nous suffit ensuite de relier le tout.
La temporisation seul sur toutes les entrées des comparateurs ayant les signes “différent” dans leur comparaison.
La temporisation et celui de notre minerai sur tous les comparateurs ayant les signes “égale” dans leur comparaison.
Les comparateurs comportant “égal”. Il nous servent à introduire la valeur suivant la temporisation sur cette ligne.
Les comarateurs comportant “inégal” sont nos mémoires. L’information y tourne en boucle tant que la condition est fausse. Elle ne réinitialise lorsque la temporisation invalide la condition.
Lorsque la temporisation = 0, le comparateur du bas envoie son signal et le comparateur du haut réinitialise.
Lorsque la temporisation passe à 1, le comparateur du bas émet encore durant un tick l’information (durer du traitement d’information) qui peut se verrouiller dans le comparateur du haut.
Le fait que cette émission dure un tick, son traitement, nous avons une impulsion permettant à la mémoire de ne pas s’emballer.
4.2. Les affichages digitaux.
L’affichage digital est un dispositif de visualisation sur un écran. Nous n’utiliserons ici que l’affichage numéraire mais nous pouvons très bien afficher des lettres et des symboles.
Nous devons pour se faire connaitre la base de l’affichage d’un seul chiffre.
Nous ferons ensuite une horloge puis l’affichage de stock.
Il existe bien d’autre affichage certain plus facile et d’autre bien plus complexe.
4.2.1. Les connaissances de base.
L’affichage d’un chiffre est composé de segment.
Nous allons commencer par installer 45 lampes soit 5 colonnes sur 9 rangs que nous allons toutes relier par un câble vert (plus discret).
Nota : Nous n’avons pas besoin de toutes les relier. Seules les lampes extérieures et le rang central sont importants. Nous avons juste fait d’un point de vue esthétique.
Pour dessiner un chiffre, nous avons besoin de segment.
Maintenant que nous connaissons les bases, nous allons passer à deux versions.
La première prend beaucoup de place mais est très facile à comprendre. Niveau débutant.
La seconde est beaucoup plus compacte mais sera des plus compliqué à comprendre et à mettre en oeuvre avant d’en faire un blueprint. Niveau expert.
4.2.1.1 Affichage numérique (niveau débutant).
Voyons un affichage numérique assez simple à comprendre.
Tout d’abord nous allons mettre les paramètres aux lampes sur les différents segments suivant l’image du précédent chapitre.
Pour toutes « utiliser les couleurs » sera coché.
Paramètre :
« A » > 0.
« B » > 0.
« C » > 0.
« D » > 0.
« E » > 0.
Etc…
Nous allons ensuite installer deux lignes d’émetteur de constante et deux lignes de comparateur comme sur cette photo et relier l’entrée de tous les comparateurs avec un câble rouge. Les sorties de ces comparateurs seront reliées toutes ensembles et au câbles des lampes avec un câble vert
Nous relions pour finir chaque émetteur de constante à son comparateur qui lui fait face par un câble vert.
Nous allons passer à présent mettre les conditions des comparateurs.
Chaque comparateur aura le même paramètre. Seul la valeur changera à chaque. Nous pourrons donc avoir notre affichage des 10 chiffres (0 à 9).
Pour visualiser les chiffres durant leur affichage et pour être sur que nous n’avons pas fait d’erreur, nous allons installer un émetteur constant que nous allons relier par un câble rouge à l’entrée des comparateurs.
Et émetteur de constante émettra « 1 ». Lorsque nous voudrons nous occuper du chiffre 1, l’émetteur constant devra émettre « 1 » valeur 1. Lorsque nous voudrons nous occuper du chiffre 2, il devra émettre « 1 » valeur 2. Etc…
Cela nous permettra de visualiser directement nos chiffres afin de faire les réglages des autres émetteurs.
Afin d’afficher le chiffre, l’émetteurs de constante correspondant au chiffre devra émettre le signal de tous les segments du chiffre.
Nous aurons donc pour l’émetteur de constante du chiffre :
0 : « A », « B », « C », « E », « F », « G », « J », « K ».
1 : « C », « F », « I », « K », « M ».
2: « A », « C », « D », « E », « G ».
3: « A », « C », « D », F », « G ».
4: « B », « C », « D », « F », « H », « I », « K », « M ».
5: « A », « B », « D », « F », « G ».
6: « A », « B », « D », « E », « F », « G », « J ».
7: « A », « C », « F », « H », « I », « K », « M ».
8: « A », « B », “D”, « C », « E », « F », « G ».
9: « A », « B », “D” , « C », « F », « G », « K », “L”.
Sur la photo qui suit le chiffre 9.
Nous avons terminé avec l’affichage d’un chiffre.
4.2.1.2 Affichage Numérique (niveau expert).
Si je vous disais qu’avec un seul calculateur et un émetteur de constante servant de bibliothèque, nous pouvions avoir l’apparition de chiffre, lettre, symbole, etc…
Me diriez-vous pas “Je prends” “Ca va allégé mes montages”.
Le binaire est fait pour vous donc mais encore faut-il le comprendre.
4.2.1.2.1 Base du Binaire et Décimal.
Cette partie est très difficile à comprendre. Elle se base sur le binaire. Un signal de valeur zéro ou un.
Prenons l’exemple de trois lampes que nous devons allumé avec un même signal “A”.
La condition de chacune étant un nombre. Donc pour la première “A” = 1. La seconde “A” = 2 et la troisième, “A” = 3.
Indépendamment les unes des autres autres nous pouvons les allumer. J’envoie “A” (1), la première s’allume. J’envoie “A” (2) la seconde s’allume. Etc…
Cependant lorsque je veux allumer les deux premières, j’ai bien “A” (1) + “A” (2) = “A” (3). Erreur c’est la troisième lampe qui s’allume.
Une solution voudrait que nous attribuons un signal différent pour chaque lampe et le tour serait joué.
Imaginons que cela n’est pas possible.
C’est là que le binaire entre en compte.
Reprenons l’exemple de nos 3 lampes. Chacun ayant deux possibilités, Allumée/Eteinte.
Nous avons donc 8 possibilités (en comptant le zéro bien entendu).
Pour calculer les possibilités, il faut se baser sur le binaire. Vous avons deux possibilités par lampe.
Donc 2
Nous avons 3 lampes.
Donc puissance 3.
2 puissance 3 = 8.
Pour 5 lampes nous aurons donc 2 puissance 5 = 32.
Maintenant que nous savons ceci, comment calculer pour que toutes les lampes soient allumées.
Avec ce tableau, nous allons comprendre.
Il suffit de faire la puissance de la lampe que nous désirons allumé et les additionner après.
Nous venons de convertir le binaire en décimal.
Nous pourrions donc donner des milliers actions définies juste avec un chiffre. Cependant Factorio nous limite.
Maintenant que nous avons compris cela voyons les limites de Factorio.
Faisons un test. Dans un émetteur de constante, nous allons émettre un signal “A” 999 999 999 999.
Surprise sa validation nous donne -2 147 483 648.
En faite ce nombre correspond à 2 puissance 31 = 2 147 483 648
Pourquoi donc ce négatif qui est apparu? Il faut comprendre que nous commençons par zéro.
Avec ce négatif nous pouvons donc revenir à -1 si toutes nos lampes étaient allumée et repartir pour une nouvelle boucle. Il faudra donc comprendre que nous avons 2 puissance 32 maximum (0) dans Factorio pour faire une boucle entière et pour le vérifier, il nous suffit de faire 2 147 483 647 + 1 dans un calculateur qui nous donnera -2 147 483 648. C’est ce que l’on appelle l’oveflow, un dépassement de capacité.
Nous venons de comprendre enfin le binaire et sa conversion en décimal.
Il est possible de convertir un signal binaire en décimal en utilisant un calculateur et le décalage de bit par la gauche. Cela équivaut à 2 puissance quelque chose.
ici nous décalons notre signal “A” (1) de 2 puissance 3. Sa décimal sera donc 8.
A l’inverse un calculateur avec “And” et un chiffre sera pour convertir un décimal en binaire.
Ce chiffre sera toujours un nombre 2 puissance n.
4.2.1.2.2 Affichage Binaire
Maintenant que nous avons compris les bases du binaire et sa conversion en décimal, passons à l’affichage binaire. Celui-ci nous demandera un calculateur pour le décalage de puissance (bit) et un émetteur de constante servant de bibliothèque. Cette dernière pourra être commune à tous les calculateurs nous servant à l’affichage d’un nombre. Pour le moment nous parlerons donc d’un chiffre.
Commençons par nous préparer notre bibliothèque de chiffre.
Pour se faire nous allons d’abord installer tous nos chiffres, les dessiner dans l’ordre d’apparition que nous désirons.
Nota: Nous pouvons nous faire une bibliothèque de chiffre, lettre, symbole, dessin. Il n’y a aucune limite à notre envie.
Pour chaque lampe servant à notre affichage nous aurons “Article” > 0 suivant cette exemple.
En regroupant les émetteur de constante en un seul, nous obtenons ceci.
Ainsi un seul émetteur de constante pourra dessiner notre chiffre de cette façon.
Relions notre émetteur de constante à l’entrée un calculateur et avec un autre câble la sortie des calculateurs entre eux. Ces derniers serviront d’une part d’isolateur mais de décalage de puissance (bit).
En effet il nous faut isoler chaque chiffre sinon la connexion des émetteurs entre eux nous ferait disparaître nos chiffres.
Sur le premier nous aurons “Chaque” << 31 (cela correspond à 2 puissance 31, notre dépassement de valeur, overflow).
Sur le second “Chaque” << 30.
Pour le dernier nous devrions donc être à “Chaque” << 22.
En connectant la sortie de tous les calculateurs sur un poteau, nous verrons les informations que nous devons entrer dans un émetteur de constante. Celui ci sera notre bibliothèque de chiffre.
Nota: A ce stade du guide, il ne nous est pas possible avec les connaissances actuelle de lire l’intégralité d’un nombre. Il nous faudra d’abord passer par les anciens affichages et leur découpage de nombre pour obtenir ces nombres.
Convoyeur jaune: 1023410176
Convoyeur rouge: -1212153855
Convoyeur bleu: 1862270976
Souterrain jaune: -1375731711
Souterrain rouge: 1052770304
Souterrain bleu: -348127231
Séparateur jaune: 876609536
Séparateur rouge: -1228931071
Séparateur bleu: 1761607680
Coffre bois: -1900019711
Coffre fer: -104857599
Coffre acier: -1568669695
Réservoir: -541065215
Maintenant que nous avons notre bibliothèque, nous pouvons passer à l’affichage.
Installons de nouveau nos lampes mais dans la condition d’activation “article” < 0. Installons notre bibliothèque qui sera relier à l’entrée d’un calculateur. La sortie de notre calculateur relier à nos lampes.
Le calculateur aura pour condition “Chaque” << “Noir”.
Il nous suffit ensuite d’ajouter le signal “Noir” temporairement dans l’émetteur de constante pour en vérifier le fonctionnement.
Les lampes ne s’allument qu’en étant en overflow. Ce décalage que nous demandons par la gauche est pour aller au delà et ainsi effacer les précédents.
Nota: Ce système peut être valable pour tout dessin que vous désirez animé puis que nous avons à notre disposition 257 signaux différents. Etant donné qu’il nous faut un signal décimal pour changer l’affichage, nous pourrons avoir 256 lampes d’animation différentes.
4.2.2. L’affichage des stocks.
Nous savons afficher un chiffre mais nous voudrions peut-être afficher un nombre sur nos affichages.
Cependant si nous voulons afficher par exemple 187 et que nous l’introduisons actuellement dans nos afficheurs, rien ne se passera correctement.
Il nous faut donc découper notre nombre pour l’affichage.
Nous avons la division par 100 qui peut très bien fonctionner pour le premier chiffre.
Cependant il nous reste le 8 et 7 à afficher.
Nous pourrions très bien multiplier cette centaine par 100 et venir la soustraire à notre nombre initial pour n’avoir que les dizaines et unités.
187 – (1 x 100) = 87.
Suffirait ensuite d’extraire notre dizaine en faisant 87 / 10 = 8.
Etc…
Fort heureusement nous avons le modulo dans Factorio.
Le modulo est le reste d’une division.
Cela va nous simplifier notre montage.
Nous pourrons donc faire modulo 100 sur un calculateur pour obtenir 87.
Il nous reste à extraire la dizaine avec un calculateur /10.
Attention: J’ai oublié sur les photos précédentes de connecter avec un câble rouge notre bibliothèque sur tous les entrées des calculateurs afficheurs. Ceci est donc corriger sur les photos suivantes.
Pour l’unité nous reprenons notre premier câble.
Nous savons à présent afficher un nombre.
Nota: Prendre l’information du câble d’origine pour faire le modulo de chaque étape donnera un meilleur réaction à notre système que si nous avions repris l’information après chaque étape de traitement en raison du nombre de tick de traitement.
4.2.3. Affichage digital dynamique.
Dans cette partie nous allons afficher nos stocks des différents réservoirs pétroliers. Chaque liquide aura sa propre couleur. Ainsi avec l’aide d’une temporisation, nous pourrons faire défiler le type du liquide par une identification simple à sa couleur.
Nous allons donner une couleur sommaire aux liquides pour cet exemple.
Lubrifiant : « Vert ».
Pétrole lourd : « Rouge ».
Pétrole léger : « Jaune ».
Gaz : « Blanc ».
Nous devons ensuite créer notre temporisation.
Installons un émetteur de constante que nous relions à l’entrée et sortie d’un comparateur puis à l’entrée d’un calculateur.
Emetteur de constante: “T” (399), “S” (1), “D” (100).
Comparateur: Entrée “S” < “T”. Sortie “S”. Il est relié sur lui même.
Calculateur: Entrée “S” / “D”. Sortie “S”.
Nous avons ici une temporisation un peu différente de ce que nous avions vu précédemment dans le chapitre
Ici l’émetteur émet “S” en constant.
“S”‘ entre dans le comparateur. La condition étant vrai “S” (1) < “T” (399). Sortie “S”.
L’information entre de nouveau dans le comparateur. Nous avons donc “S” (1) venant du comparateur mais également “S” (1) venant de l’émetteur. Les deux s’additionnent “S” (2).
La condition étant toujours vrai “S” (2) < “T” (399) Sortie “S” (2). Ceci se fera jusqu’à “S” (398) en sortie du comparateur. A ce cycle, l’information entre de nouveau dans le comparateur avec celle de l’émetteur de constante. “S” (398) + “S” (1) = “S” (399). La condition n’est plus vrai. “S” (399) n’est plus inférieur à “T” (399). Pas de sortie.
Nous avons donc un défilement de “S”.
Servons nous de ce défilement pour un division afin d’en tirer un nombre qui ne défile pas aussi rapidement. C’est pourquoi nous le divisons par 100. 100 tick correspondant à 1 seconde 40 ticks.
60 tick = 1sec pour rappel.
C’est ce qui est fait dans notre calculateur.
Introduisons ceci sur notre canal de stock des liquides et faisons un filtre des signaux qui doivent passer suivant cette temporisation.
Pour cela installons des comparateurs et relions leur entrée à notre temporisation.
Chaque comparateur aura une valeur “S” = (un chiffre compris entre 0 et 4 différent de chacun).
Sortie: chacun aura son liquide à afficher.
Nous venons de faire défiler nos liquides mais rappelons nous, nous désirions les voir en couleur pour plus facilement les identifier. Installons sur chaque ligne de comparateur un calculateur respectif relier directement.
Chaque calculateur aura “Chaque” + 0. Sortie la couleur que nous désirons pour chaque liquide respectif.
A présent nous avons en sortie de tous les calculateurs le code de couleur du liquide et sa valeur.
Connectons ceci à notre affichage. Pour se faire, nous devons tout d’abord installer un calculateur sur chaque affichage de chiffre avec pour condition “Chaque” + 0. Sortie “Chaque” qui sera relié en sortie sur les lampes. Ceci va changer notre couleur directement.
Il nous faudra aussi un dernier calculateur afin de transformer toutes ces couleurs dans le signal de traitement des chiffres “Noir” pour mon exemple sur le binaire qui sera relié au traitement des nombre en chiffre.
Tous aurons en commun à leur entrée le câble sortant des différents calculateurs de changement de couleur que nous venions d’installer.
Nous avons terminé.
4.2.4. Affichage digital statique.
Nous pourrions avoir besoin d’afficher nos stocks. Cependant nous n’avons pas besoin de connaitre en tout temps toutes les stocks. Nous pouvons faire un sélectionneur manuel.
Il sera à nous d’aller changer l’afficheur par un moyen simple.
Pour cela, nous allons mettre autant de coffre que de ce que nous voulons afficher. Nous mettrons une marchandise dans un coffre puis une autre dans le suivant. Etc…
Ils seront là uniquement pour nous rappeler quelle marchandise contrôle cette ligne.
Devant chaque coffre autant de lampe et d’émetteur de constante puis des calculateurs.
Nous relions ensuite chaque lampe à son émetteur de constante et à l’entrée de son calculateur respectif par un câble rouge. Nous relions un câble vert tous les entrées des calculateurs. Il sera le câble d’arrivée des stocks de notre réseau (principal flèche vert 1).
Nous relions aussi les sorties de calculateurs entre eux avec un autre câble vert. Il sera la sortie des signaux pour notre afficheur (flèche rouge 2).
Nous mettrons la même condition à toutes les lampes. Soit « N’importe quoi » > 0.
Il nous suffit ensuite d’attribuer un signal chiffré à l’émetteur de constante et de le reporter dans les conditions du calculateur avec la marchandise.
Nous faisions la même chose sur tous les calculateurs et émetteur de constante en diférenciant bien le signal émis par chaque émetteur.
Nous avons à présent tous les affichages en même temps. Nous n’en voulons qu’un seul.
Nous allons éteindre les émetteurs de constante en les basculant sur « Inactif » et ne laissez allumer que celui que nous voulons pour notre afficheur.
La lampe allumé sera le témoin de notre affichage.
Astuce : Lorsqu’il s’agit d’une marchandise, nous mettons un coffre avec cette marchandise comme point de repère. Ce qui n’est pas possible avec un liquide. Un émetteur de constante fera illusion.
4.2.5. L’horloge.
Factorio est basé sur 60 ticks pour une seconde. Nous avons donc une unité de mesure du temps.
Commençons donc par positionner une temporisation. Nous avons vu par deux fois dans ce guide les explications de ces tempos. C’est pourquoi je ne l’explique pas une nouvelle fois.
Maintenant venons extraire le signal “T” = 0. Sortie “S” pour l’inclure dans une nouvelle tempo qui fera nos secondes.
Nous avons nos secondes mais si nous voulons nos minutes nous allons avoir un petit problème.
Lorsque nous allons extraire “S” = 0, ce signal ne sera plus un impulsion. Elle durera 1 sec soit 60 ticks. Donc notre mémoire va s’emballer.
Il nous faut créer une impulsion de ce signal “S” = 0. Sortie “M”. Pour cela nous allons insufflé l’opposé du signal un tick après. Cela aura pour effet d’effacer le signal. En effet si j’ai un signal “A” (1) et que je l’additionne à “A” (-1), je n’aurai pu de signal. Cependant lorsque je n’aurai pu le “M” (1) ne sera plus émis par l’extraction, j’aurai encore le temps d’un tick “M” (-1). Cela risque donc de retiré 1 de notre mémoire. Il nous faut donc ne prendre que les positifs de “M”.
Nous pourrons en faire de même pour les heures. Cependant nous n’oublierons pas que les heures sont sur 24h.
Nous pouvons continué si nous le désirons mais pour ce guide, nous nous en arrêterons là maintenant que nous avons compris comment faire.
Pour finir nous allons préparer un moyen de réinitialiser le tout.
Installons un émetteur de constante qui sera relié à toutes les entrée des tempos uniquement.
Dans notre émetteurs tous les signaux “T”, “S”, “M”, “H” de valeur supérieur à 60 qui est notre base de temps. Nous pourrons ainsi dépasser toutes les tempos et remettre le tout à zéro.
Ne serait-il pas intéressant aussi de pouvoir régler notre horloge?
Installons un émetteur. Son signal continue devra être transformé un impulsion pour être introduit sur toutes les tempos.
Pour finir nous allons extraire chaque nombre pour notre affichage. Pour les dizaines, diviser par 10. Pour les unités, modulo 10. Nous en profiterons pour donner des adresses afin de faciliter notre affichage.
Nous venons de terminer.
Vous avez toutes les connaissances.
Amusez-vous bien.
Remerciement
Je tenais à remercier les personnes suivantes dans l’ordre où elles m’ont permit d’apprendre tout ce que j’ai pu essayé de vous retranscrire par ce présent guide.
“[Zig] Helfima”.
Vous pourrez le retrouver sur “Twitch”. Principalement en soirée. Il a le projet fou de construire l’usine capable de lancer une fusée par minute (en peace full). A suivre.
Il est aussi à l’origine d’un mod que je conseille: [link]
Tu m’as appris les bases sur les combinators. Ton guide et ta disponibilité ont été pour moi, le premier support sur lequel je me suis appuyé. Merci.
“SherdGuy99”
Streamer et Youtuber Américain que vous pouvez retrouver sur Twitch en fin d’après-midi. Il a le projet d’usine délocalisé à grande échelle. Très bonne connaissance dans l’emploi des combinators. Je vous le conseille.
Tu m’as fait connaitre les possibilités des combinators et appris les chargements/déchargements des quais avec les combinators, l’arrêt de production avec une limite et le contrôle des centrales thermiques. Merci.
“GopherAti”
Je ne connais cette personne qu’au travers d’un forum où il a posté un excellent article sur les combinators “Combinators 101”. Je n’ai jamais discuté avec lui.
Tu m’as appris à créer des tempos, mémoires, pulseurs, allongement des signaux.
Merci donc à tous ceux cité ici pour votre participation dans mon guide.
Prochaine mise à jour.
Adressez moi vos demandes de tuto, si vous désirez des chapitres particuliers.
Je ne manquerais pas de les ajouter.
Merci.